Saïda Hossini

Biographie
Nationalité	marocaine
Activité	Paléontologue
Directeur de thèse	Jean-Claude Rage (d)

Saïda Hossini, née en 1950 est une paléontologue marocaine, spécialiste des grenouilles de Pléistocène.

Biographie

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Hossini a fait ses études de doctorat à Paris, où elle a étudié les espèces d'anoures de la fin d'oligocène et du miocène en France^[1].

Carrière

Hula Painted Frog or Discoglossues/Latonia nigriventer is the only extant species in the latonia genus and is the closest living relative to Latonia ragei

Saïda Hossini enseigne à l'université Moulay Ismail, faculté des sciences de Meknès. Son travail au Maroc comprend l'examen du dépôt des grottes et a examiné les restes d'amphibiens du site de la carrière Thomas, près de Casablanca^[2]^,^[3].

Elle a identifié pour la première fois en Afrique la présence du genre Baleaphryne sur le site du Jebel Irhoud (carrière "Ocre") au Maroc^[4].

Distinctions honorifiques

En 2010, le programme de recherche archéologique sur les premiers peuplements du littoral atlantique du Maroc, auquel elle participait avec d'autres chercheurs marocains et français, a remporté le premier Prix Clio 2010 de l'archéologie, décerné chaque année à Paris^[5].

Liens externes

Notices d'autorité :
- VIAF
- IdRef
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Notes et références

↑ Les anoures (amphibiens) de l'oligocène terminal et du miocène en France sur theses.fr
↑ (en) Jean-Paul Raynal, Fatima-Zohra Sbihi-Alaoui, Abderrahim Mohib, Mosshine El Graoui, David Lefèvre, Jean-Pierre Texier, Denis Geraads, Jean-Jacques Hublin, Tanya Smith, Paul Tafforeau et Mehdi Zouak, « Hominid Cave at Thomas Quarry I (Casablanca, Morocco): Recent findings and their context », Quaternary International, vol. 223-224,‎ 2010, p. 369–382 (DOI 10.1016/j.quaint.2010.03.011, lire en ligne)
↑ Jean-Paul Raynal, Fatima Zohra Sbihi-Alaoui, Abderrahim Mohib et Mohssine El Graoui, « Contextes et âge des nouveaux restes dentaires humains du Pléistocène moyen de la carrière Thomas I à Casablanca (Maroc) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 108, n^o 4,‎ 2011, p. 645–669 (DOI 10.3406/bspf.2011.14065, lire en ligne, consulté le 17 novembre 2022)
↑ (en-GB) Saïda Hossini, « Les Anoures (Ambhibiens) du Pléstocéne inférieur (" Villafranchien ") du Jebel Irhoud (carriére " Ocre "), Maroc », Annales de Paléontologie, vol. 87, n^o 2,‎ 2001, p. 79–97 (DOI 10.1016/S0753-3969(01)80004-5, lire en ligne)
↑ Le Matin, « L'archéologie marocaine remporte le titre », sur lematin.ma (consulté le 17 novembre 2022)

[1] Les anoures (amphibiens) de l'oligocène terminal et du miocène en France sur theses.fr

[2] (en) Jean-Paul Raynal, Fatima-Zohra Sbihi-Alaoui, Abderrahim Mohib, Mosshine El Graoui, David Lefèvre, Jean-Pierre Texier, Denis Geraads, Jean-Jacques Hublin, Tanya Smith, Paul Tafforeau et Mehdi Zouak, « Hominid Cave at Thomas Quarry I (Casablanca, Morocco): Recent findings and their context », Quaternary International, vol. 223-224,‎ 2010, p. 369–382 (DOI 10.1016/j.quaint.2010.03.011, lire en ligne)

[3] Jean-Paul Raynal, Fatima Zohra Sbihi-Alaoui, Abderrahim Mohib et Mohssine El Graoui, « Contextes et âge des nouveaux restes dentaires humains du Pléistocène moyen de la carrière Thomas I à Casablanca (Maroc) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 108, n^o 4,‎ 2011, p. 645–669 (DOI 10.3406/bspf.2011.14065, lire en ligne, consulté le 17 novembre 2022)

[4] (en-GB) Saïda Hossini, « Les Anoures (Ambhibiens) du Pléstocéne inférieur (" Villafranchien ") du Jebel Irhoud (carriére " Ocre "), Maroc », Annales de Paléontologie, vol. 87, n^o 2,‎ 2001, p. 79–97 (DOI 10.1016/S0753-3969(01)80004-5, lire en ligne)

[5] Le Matin, « L'archéologie marocaine remporte le titre », sur lematin.ma (consulté le 17 novembre 2022)

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