Rue de Lannoy (Lille)
La rue de Lannoy est une rue de Lille.
| Rue de Lannoy | |
 Entrée de la rue à partire de la rue Pierre Legrand | |
| Situation | |
|---|---|
| Coordonnées | 50° 38′ 03″ nord, 3° 05′ 48″ est |
| Pays |  France |
| Région | Hauts-de-France |
| Ville | Lille |
| Quartier(s) | Fives |
| Début | Rue Pierre-Legrand |
| Fin | rue Jacquard (Hellemmes) |
| Morphologie | |
| Type | Rue |
| Longueur | 960 m |
| Largeur | 12 m |
| Histoire | |
| Création | Moyen-Âge |
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Situation et accès
modifierLa rue située dans le quartier de Fives relie la rue Pierre-Legrand à la rue Jacquard à Hellemmes qui la prolonge. Elle se termine à la chapelle d'Elocquès à la la limite de Lille et d'Hellemmes. Elle est desservie par la station de métro Fives. Son tronçon Est à l'approche d'Hellemmes est éloigné du métro.
Origine du nom
modifierLa rue est ainsi dénommée car elle était sur une route qui conduisait à Lannoy[1] Ce parcours direct a cependant été interrompu à Villeneuve-d’Ascq dans les années 1970 lors de l'aménagement de la ville nouvelle.
Historique
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La rue est sur le tracé d’une voie existant dès le Moyen-Âge dénommée chaussée de Lannoy, ensuite route départementale 6.
Lors du siège de Lille de 1667, Louis XIV avait logé dans une ferme de la rue détruite dans les années 1920.
La rue de Lannoy au XXIe siècle
modifierLa rue résidentielle assez peu commerçante est à double sens de circulation assez importante. Une ancienne maison rurale à l'angle de la rue Pierre-Legrand témoigne de l'ancienneté de la rue. La majorité des constructions sont des maisons en brique d'un ou deux étages de la deuxième moitié du XIXe siècle, début du XXe siècle, d'architecture vernaculaire ou de style éclectique, peu d'immeubles récents.
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Maisons de style éclectique. -
Chapelle d'Elocqués
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
modifierSalle des fêtes de Lille-Fives
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Salle des fêtes -
Salle des fêtes de Fives
Références
modifier- A. Bertrand, Les rues de Lille : leurs origines, transformations et dénomination, imprimerie Castiaux, , 226 p. (lire en ligne), p. 180
