Rue Maurice-Sibille
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| Rue Maurice-Sibille | ||||
| Situation | ||||
|---|---|---|---|---|
| Coordonnées | 47° 12′ 39″ nord, 1° 33′ 53″ ouest | |||
| Pays |  France |
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| Région | Pays de la Loire | |||
| Ville | Nantes | |||
| Quartier(s) | Centre-ville | |||
| Début | Rue des Cadeniers | |||
| Fin | Rue Flandres-Dunkerque-40 | |||
| Morphologie | ||||
| Type | Rue | |||
| Forme | Rectiligne | |||
| Histoire | ||||
| Création | 1840 | |||
| Anciens noms | Rue Cambronne | |||
| Géolocalisation sur la carte : Nantes
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
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Situation et accès modifier
Située dans le centre-ville de Nantes, la rue Maurice-Sibille, qui relie la rue des Cadeniers (devant l'entrée ouest du cours Cambronne) à la rue Flandres-Dunkerque-40 (dans le prolongement de la rue du Bâtonnier-Guinaudeau), est bitumée et ouverte à la circulation automobile.
Origine du nom modifier
Elle honore Maurice Sibille, député de la Loire-Inférieure de 1889 à 1932,
Historique modifier
La voie est d'abord nommée « rue Cambronne », le , en hommage à Pierre Cambronne (1770-1842), général d'Empire[1] puis « rue Maurice-Sibille » par délibération du conseil municipal du [2].
En 1946, les travaux d'aménagement du tunnel ferroviaire de Chantenay sont entamés. Cette partie est souterraine, et achevée en 1950[3].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire modifier
Références modifier
- Pied 1906, p. 49.
- « Maurice-Sibille (rue) », archives municipales de Nantes (consulté le ).
- Renault 2012, p. 23-24.
Voir aussi modifier
Bibliographie modifier
- Édouard Pied, Notices sur les rues de Nantes, A. Dugas, , 331 p., p. 49-50.
- Jean-Louis Renault, Le tunnel ferroviaire de Chantenay. Un point noir au cœur de Nantes, Nantes, Groupement d'analyse et d'étude de Loire-Atlantique, , 144 p. (lire en ligne).
