Koui (République centrafricaine)
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Koui, anciennement De Gaulle est une localité située au nord-ouest de la République centrafricaine, dans la préfecture de Ouham-Pendé dont elle constitue le chef-lieu de l'une des six sous-préfectures.
| Koui | ||
| Administration | ||
|---|---|---|
| Pays |  République centrafricaine
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| Préfecture | Ouham-Pendé | |
| Commune | Koui | |
| Pcode commune | 3131 | |
| Démographie | ||
| Population | 13 600 hab. (2014) | |
| Population communale | 37 235 hab. (2015) | |
| Densité | 15 hab./km2 | |
| Géographie | ||
| Coordonnées | 6° 57′ 07″ nord, 15° 27′ 12″ est | |
| Altitude | 1 160 m |
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| Superficie communale | 248 366 ha = 2 483,66 km2 | |
| Divers | ||
| Ancien nom | De Gaulle | |
| Localisation | ||
| Géolocalisation sur la carte : République centrafricaine
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Géographie modifier
La commune de Koui frontalière du Cameroun, se trouve à l’ouest de Bocaranga. Elle est limitée à l'est par le Ngou affluent de la rivière Mbéré qui forme la frontière avec le Cameroun.
Histoire modifier
Après la mort du général de Gaulle, le Président Bokassa rebaptise la localité située sur la rivière Koui, en hommage au Président français. Le poste de contrôle administratif de Koui est érigé en sous-préfecture à partir du par démembrement de la sous-préfecture de Bocaranga.
Administration modifier
La commune de Koui, est l’unique commune de la sous-préfecture[1]. Elle constitue l’une des sept communes d’élevage de la République centrafricaine, créée dans le but de donner une assise territoriale et foncière aux pasteurs Peuls Mbororo[2]. Le maire de la commune d’élevage de Koui étend son influence sur les éleveurs des préfectures de l’Ouham-Pendé et de l’Ouham.
Villages modifier
Les villages principaux sont : Mbossarou, Koui, Sangolodoro et Ngeng-Nzeung.
La commune compte 114 villages en zone rurale recensés en 2003 : 5Km, Alache, Ardo-Djobdi, Badi, Bakoussa, Bang, Banon-Yerimon, Baria, Belaka, Belke, Bere, Bezere 2, Bi, Bita 2, Boboye, Bocaranga-Koui, Bogang 6, Bogang 6, Bogang Carrefour, Bogang-Mere, Bomango, Bomari 2, Bonawala, Boraguel, Bossabina 2, Bossabina-Sokorta, Bossarou, Bouzou 2, Bowai 2, Boyaye-Baria, Boyay-Koubili, Boyay-Wantounou, Boyaywantounou 2, Bozockwe-Bomaki 1, Bozokwe Biri, Degaule-Chic, Dewa 1, Dock, Dole, Douknoumon, Doza, Doza-Wahorou, Edem, Foulbere, Gassol-Zoda, Gbabiri-Boyaye, Gbabiri-Mbartoua, Gbabiri-Mbindao, Gbafou, Gbenou, Gbozockwe-Wosso, Goedi-Koui, Goidi 1, Goidi 2, Gombou, Gounzai, Iyazabo 1, Iyazabo 2, Iyazabo 3, Jean 0, Basse, Kare, Kayala, Kayang, Kazanga, Kella-Moelle 1, Kella-Moelle 2, Kella-Moelle 3, Kpetene, Kpokwane, La Douane, Lamourde, Lima, Makounzi-Wali, Mbella, Mbodala, Mboneguene, Mboussara, Méré, Moinam, Momaye, Moum-Di, Ngore, Ngueng-Nzeung, Nzakoundou, Pana, Pana 1, Pana 2, Patasse, Piti, Populaire, Saah 1, Saah 2, Safou, Sangoldoro, Sanguere 3 Mbororo, Sanguere 3 Musulman, Sanguere-Bombaye, Sanguere-Lim, Segdou, Tassi, Tigoun, Toro, Toubanco 3, Toubanko 1, Toubanko 2, Wantiguira, Wantiguira 1, Wantiguira , waourou- liringuel,Musulman, Yazi, Youma 1, Youma 2, Youma 3, Youwélé, Zoguel[3].
Notes et références modifier
- OCHA, Reliefweb, Atlas administratif de la République centrafricaine 2013
- Rapport de mission Etude Conflits, mars 2004, p. 13
- RGPH 2003, Recensement général de la population et de l’habitat, 2003
