Hipra entreprise pharmaceutique vétérinaire espagnole fondée en 1971.

Hipra
Création [1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs Joan Nogareda i Gifre (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Forme juridique Sociedad anónima (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Slogan Building immunity for a healthier worldVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège social Amer
Drapeau de l'Espagne Espagne
Activité Ape : 2120Z
Produits Laboratoire vétérinaire
TVA européenne ESA28063675Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.hipra.com

Elle a été mise en cause pour maltraitances sur des juments poulinières dans le cadre de son approvisionnent en gonadotrophine chorionique équine.

Histoire

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En 2011, Hipra compte 18 filiales dans le monde et deux usines, une en Espagne, la seconde au Brésil[2]. Sa filiale française est installée à Nantes[3]. D'après Le Point Vétérinaire, ce groupe est leader de son marché dans la Péninsule Ibérique[3].

Produits

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Ce groupe commercialise des produits de santé vétérinaires uniquement destinés aux animaux de rente[2]

Grâce à Hipra, l’Espagne espère lancer son vaccin anti-Covid-19 à la fin de l’année 2021, avec un feu vert européen en octobre[4].

Fermes à sang

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Hipra est connu pour se fournir en hormones gonadotrophine chorionique équine dans les fermes à sang de la société Syntex, accusée de cruauté envers les juments poulinières (avortements à vif, absence de soins vétérinaires, ponctions sanguines mettant la vie en danger) : selon la journaliste de Libération Sarah Finger, malgré de multiples alertes, la multinationale n'a jamais répondu à ce sujet[5].

Notes et références

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  1. « http://www.acvc.cat/bios/nogareda.html »
  2. a et b « Hipra, nouveau venu en santé animale », (consulté le ).
  3. a et b « Hipra, un laboratoire espagnol, crée la surprise en s’installant à Nantes », sur Le Point Vétérinaire (consulté le ).
  4. France Info, « L’Espagne espère lancer son vaccin anti-Covid à la fin de l’année », (consulté le ).
  5. Sarah Finger, « Juments saignées et avortées : l’inertie coupable des laboratoires français », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi

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Liens externes

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