Giovanni Simone Comandè

peintre italien
Giovanni Simone Comandè
Naissance
Décès
Activité

Giovanni Simone Comandè né à Messine, est un peintre italien de la Renaissance qui a été actif à Messine au XVIe siècle.

Biographie modifier

Comndé (Cumandeo), Giovanni Simone est le fils du peintre Stefano est né à Messine. Il n'est pas possible de préciser la date precise de naissance que Francesco Susinno (1724) rapporte comme étant environ 1558 ; Hackert (1792), 1588 ; Grosso Cacopardo (1821) et G. La Farina (1840), 1580. Le plus probable, cependant, semble être celle indiqué par Susinno, car une Crucifixion, qui existait dans la cathédrale de Taormina détruite, portait la signature et la date 1595[1].

Selon les informations il a d'abord étudié les lettres puis étudie l'art de la peinture dans l'atelier du Deodato Guinaccia. Il est alors envoyé, aux frais de l'État, étudier auprès de l'école vénitienne[2] avec Véronèse. De retour à Messine, avec son frère Francesco il fonde un atelier. Il meurt à Messine d'une angine, selon Susinno en 1630 ; selon Grosso Cacopardo en 1633 et selon La Farina en 1626[1].

Œuvres modifier

  • Martyre de saint Barthélemy (avec son frère Francesco), église Saint-Barthélemy, Messine.
  • Mages (avec son frère Francesco), monastère de Basico.

Bibliographie modifier

  • (it) F. Susinno, Le vite de' pittori messinesi [1724], Florence, 1960, p. 121.
  • (it) C. La Farina, Intorno le belle arti, e gli artisti... in Messina, Messine, 1835, p. 82.
  • (it) Gaetano Grano, Philipp Hackert, Memorie de' pittori messinesi e degli esteri che in Messina fiorirono dal secolo XII sino al secolo XIX, Messine, 1821.
  • (it) Giuseppe La Farina, Messina e i suoi monumenti, Messine.
  • Artistes siciliens

Liens externes modifier

Notes et références modifier

  1. a et b (it) Francesca Campagna Cicala, « Comandè, Giovanni Simone in "Dizionario Biografico" », sur treccani.it, (consulté le ).
  2. Histoire de la peinture en Italie : depuis la Renaissance des beaux-arts ... - (Page 369) de Luigi Lanzi, Luigi Antonio Lanzi, Armande Diundé-Defley, 1824.