Georges David
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Georges David est un auteur français né à Richelieu, en Indre-et-Loire, en 1878, et mort à Mirebeau, dans la Vienne, en 1963.
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Après avoir publié en 1912 un recueil de poèmes intitulé Le Toit qui fume et préfacé par Léon Bocquet, il se consacra essentiellement au roman et à la nouvelle. Le romancier et essayiste Jean-Richard Bloch le considérait en 1934 comme " l'une des meilleures plumes d'aujourd'hui ".
Parmi ses œuvres, dont Mirebeau et sa population peuvent apparaître au premier abord comme les figures centrales, on citera notamment La Parade (1929), Cure-Bissac (1930), 2 000 habitants (1930), La Carne (1931), L'Aristocrate (1933), Madeluche (1934), Passage à niveau (1935) Pascaline (1938) et La ville aux eaux mortes (1956).
Notes et références
modifierBibliographie
modifier- Georges David, Passage à niveau, préf. Jean Prugnot, témoignage d'Henri Verdon, " Voix d'en bas ", Bassac, Plein Chant, 2017
- « Engagement, action et trahisons : écrire et échouer avec Guéhenno, David, Nizan », Jean-Kely Paulhan, Cahiers Jean Guéhenno 5, , p. 57–71.
- « Un écrivain du peuple, Georges David, notre voisin de Mirebeau, répare des montres et dirige la Fanfare Municipale... Il écrit aussi des romans... », Maurice Poignat, Le Courrier de l'Ouest, ;
- « Lettre de Touraine », Henri Verdon, Europe, , p. 202–211 ;
- « L'horloger de Mirebeau, Georges David (1878-1963) », Jean-Kely Paulhan, Europe, janvier-, p. 304–313.
- Georges David, Cure-Bissac [1930], avec la présentation de la réédition de 1954 par l'auteur, " Voix d'en bas ", Bassac, Plein Chant,2018
