Geórgios Rállis
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| Geórgios Rállis Γεώργιος Ράλλης | ||
.jpg) Geórgios Rállis en 1981. | ||
| Fonctions | ||
|---|---|---|
| Premier ministre de Grèce | ||
| – (1 an, 5 mois et 11 jours) |
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| Président | Konstantínos Karamanlís | |
| Gouvernement | Rállis | |
| Législature | IIe | |
| Coalition | ND | |
| Prédécesseur | Konstantínos Karamanlís | |
| Successeur | Andréas Papandréou | |
| Biographie | ||
| Nom de naissance | Georgios Ioannou Rallis | |
| Date de naissance | ||
| Lieu de naissance | Athènes (Grèce) | |
| Date de décès | (à 87 ans) | |
| Lieu de décès | Athènes (Grèce) | |
| Nationalité | Grecque | |
| Parti politique | ND | |
| Religion | Christianisme orthodoxe (Église de Grèce) | |
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| Premiers ministres de Grèce | ||
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Geórgios Rállis (en grec moderne : Γεώργιος Ράλλης) ( - ), est un homme d'État grec.
Biographie modifier
Il vient d’une ancienne famille d'hommes politiques grecs, son père est Ioánnis Rállis et son grand-père maternel est Geórgios Theotókis. Il étudie le droit et la science politique avant de combattre l’Italie fasciste en 1940.
Il occupe divers postes de ministre. Notamment, après le retour de la démocratie en 1974, celui de l’éducation où il réforme les programmes scolaires et adopte le grec démotique comme la langue grecque publique. Et en 1978, il est ministre des affaires étrangères, il est le premier à ce poste à se rendre en Union soviétique. Il négocie aussi l’accession de la Grèce à la CEE. Il dirige le gouvernement en 1980 mais perd les élections en 1981. Pendant cette année la Grèce réintégre l’OTAN.
Malgré ses origines patriciennes, sa modestie et sa simplicité le rendirent toujours populaire parmi les Grecs. Il meurt le d’une insuffisance cardiaque. Sa femme Lena est morte en 2015.
Il fut membre de la franc-maçonnerie[1].
Références modifier
- Evstathiou Diakopoulou, O Tektonismos stin Ellada (La Franc-Maçonnerie en Grèce), Ionios Philosophiki, Corfou, 2009, p. 297.
Liens externes modifier
- Ressources relatives à la vie publique :
