Discussion:Séder de Pessa'h

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Giandra de castro dans le sujet Complément d'info
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Je n'arrive pas à me souvenir la signification de certains éléments du plat du Seder ; ce serait bien de les mettre, ide pour le fait d'être accoudé à gauche ou les gouttes de vin.
Il me semble aussi quil est préu de laisser une place vide pour la venue du Messie ; pourriez vous le confirmer ?
szdavid 4 avr 2004 à 13:21 (CEST)

bonjour, penses à lier cette page à d'autres...relatif à la religion, à une fête... Anthere

Elle est renvoyée depuis l'article Pessa'h szdavid 4 avr 2004 à 13:53 (CEST)
ce n'est pas beaucoup :-) ant
Ben, c'est quand même bien spécifique ; je l'ajoute aussi au projet Judaïsme  :-) szdavid

Il y a une wikipedia juive en construction ...

http://www.jewpedia.com Rémy

Mais pas tout à fait dans le même état d'esprit ...

Correction modifier

8. On bénit la matsah et on la consomme. La matsah, c’est un pain, mais qui a été cuit rapidement, sans poudre à pâte, de sorte qu’il n’a pas levé. Ce pain représente la rapidité avec laquelle les hébreux sont partis d’Égypte, en se dépêchant de faire cuire leur pain.

Le pain est normalement fait avec de la levure, et pas de la poudre à pâte (levure chimique en France), et c'est cette levure qui est interdite pendant les fêtes de Pessah, d'où la consommation de matsah ou pain azyme, non levé.


Complément d'info modifier

Pour le vin : on enlève une goutte a chaque plaie d'égypte que l'on cite, afin d'enlever de son verre une part de réjouissance. En effet, nul ne doit évoquer, sans compassion, la souffrance d'autrui, fussent-ils les bourreaux du peuple juif. --Giandra de castro (discuter) 16 novembre 2014 à 13:25 (CET)Répondre

Référence pour la coupe d'Élie modifier

on en répartit le contenu entre les convives pour ce qui sera la quatrième coupe, en complétant si nécessaire[réf. nécessaire].

Je demande une référence car cette affirmation contredit : "vin qui orne le milieu de la table et auquel personne ne touche" de La Haggadah de Pessach, à l'usage du rite Séfardi, commentée par J. Güns et traduite par L. Blum, Tel Aviv, 1970, p. 40. cité par Menahem Macina, Arrière-fond juif de l’Anamnèse eucharistique, Ephemerides Liturgicae, Rome. Teofilo 1 janvier 2008 à 17:32 (CET)Répondre

Matériau modifier

Graphie modifier

Séder, Seder, séder ou seder? (Majuscule et accent aigu).

Le français a tendance à choisir la minuscule par défaut: l'emploi d'une majuscule doit pouvoir se justifier... Ce serait le cas, par exemple, si le mot était utilisé dans un sens spécifique qui diffère de son sens général. Ainsi le mot «académie» prend habituellement une minuscule, mais on lui mettrait la majuscule lorsqu'on entend l'Académie française ou l'école de peinture du XIXe s. Du même coup, il me semble qu'on abuse des majuscules lorsqu'on en met à tous les mots d'origine hébraïque; les titres (des livres ou des prières) d'accord, mais sinon?

De même, dans le mesure où on considère que le mot est francisé, il pourrait y avoir une certaine tentation de mettre l'accent. (Quoique: «a priori» s'écrit souvent sans accent...)

Quel est le consensus moderne sur la question? En l'absence de consensus, pourrait-on mentionner les différentes graphies dans le premier paragraphe (et mettre une prononciation, du même coup); quoi qu'il en soit, pour les besoins de l'article, il faudrait faire un choix et uniformiser.

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