Discussion:Promotion canapé

Promotion canapé = harcèlement sexuel

En faite c’est une forme de harcèlement sexuel, je m’explique. Si dans une entreprise, un chef donne une promotion à une employée parce qu’elle a fait des trucs pour avoir le poste (par la suite il sera toujours là pour lui rappeler comment elle a obtenue la place et fera pression sur elle, pour avoir d‘autres relations de ce type). Non seulement le chef profite de son rang pour avoir des relations sexuelles. En plus cela se fait au détriment d’une autre employée plus qualifié et compétente, donc cela décrédibilise le travail des femmes en général et véhicule le cliché sexiste selon laquelle « quand une femme obtient une promotion, c’est forcément parce qu’elle couche ». Cela peut rendre l’ambiance franchement délétère, favoriser les rumeurs (si une femme obtient une promotion grâce à son travail et ses compétences, il y aura toujours quelqu'un pour dire « normal elle couche » même si ce n‘est pas vrai) et surtout cela fait passer le message suivant « les filles, si vous voulez une promotion, vous savez ce qu’il faut faire ». Bref c’est abject. OccultuS ^{(Pogawędzić)} 4 octobre 2007 à 17:50 (CEST)

pas de simplification

Tant il est vrai que dans certains cas on peut se trouver devant une forme de chantage , il faut admettre qu'il existe aussi des cas de consentement mutuel... difficile d'occulter les deux possibilités ! Yakafaucon 5 octobre 2007 à 14:34 (CEST)

stupides !

Par entêtement stupide et par reflexe doctrinaire vous avez dénaturé cet article qui fait double emploi avec harcèlement sexuel vous impliquez que l'un ne va pas sans l'autre !!! Stupidité de naifs !!
Pourquoi avoir supprimé les lignes suivantes : Si cette pratique se fait par consentement mutuel (dans une démarche de stratégie), elle se rapproche d'une forme de prostitution ; si elle se fait sous la pression d'un chantage ou de menaces, elle entre dans le cadre d'un harcèlement sexuel. Cela semblait un bon compromis !!

Yakafaucon 11 octobre 2007 à 20:06 (CEST)

Ah tiens, c'est là aussi, cette grosse colère.

Je constate que vous êtes au bord de l'insulte, mon dévoué Yakafaucon : j'ai le sentiment que je suis stupide et naïf...

À bien vous relire, en fait vous êtes du mauvais côté du bord... rv¹⁷²⁹

J'ai reformulé votre point de vue quelques lignes plus bas, et j'ai tout fait pour le faire plus clairement et d'une façon plus élégante. Dites-moi donc gentiment ce qui ne va pas dans ce que j'ai écrit.

Merci d'avance

rv¹⁷²⁹ 11 octobre 2007 à 21:21 (CEST)

Réponse à Yakafaucon : tout simplement parce que c'est reconnu et réprimé par la loi, stratégie ou pas, homme ou femme (cf code du travail)--Rosier 12 octobre 2007 à 11:12 (CEST)

proposition

L'article ( que perso je n'aurai pas écrit) me parait neutre, et je n'ai que 2 remarques et propositions de modifications : "Il est cependant possible qu'un salarié accorde ses faveurs à son supérieur hiérarchique dans l'espoir d'obtenir une promotion. Même si le supérieur hiérarchique en question n'a pas, explicitement ou implicitement, fait de cette relation une condition à l'obtention de cette promotion, le harcèlement sexuel peut être invoqué, tout particulièrement par d'autres salariés non promus^{[réf. nécessaire]}.

On peut y voir un parallèle avec le mariage d'intérêt (qui a marqué toute l'histoire politique depuis des siècles) tout en y apportant la nuance que le fait d'offrir « ses faveurs » n'implique pas des liens permanents, mais représente une « monnaie d'échange » ponctuelle qui peut toutefois être répétée.

Mais c'est uniquement parce que l'on m'a demandé de passer regarder que je fais cette proposition.

Bonne journée --Rosier 12 octobre 2007 à 11:09 (CEST)

La neutralisation de salarié est en effet indispensable. Je suis d'accord sur le fait que le commentaire sur la monnaie d'échange n'a rien d'encyclopédique. rv¹⁷²⁹ 12 octobre 2007 à 12:07 (CEST)

PS: j'ai déjà vu une référence sur le cas où il y avait dénonciation par d'autres employés, mais ça va être coton pour la retrouver...