Discussion:Parisianisme

Dernier commentaire : il y a 13 ans par HaguardDuNord dans le sujet On enlève des éléments pertinents de l'article ?
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Métaphore modifier

« les médias nationaux privilégient les faits divers et des événements qui se passent à Paris, qu'ils recourent souvent à la métaphore plaçant souvent le nom de la capitale d'un pays à la place du nom du pays lui-même (Paris menace d'opposer son veto à la résolution xyz) »
Il me semble que le terme de métaphore n'est pas approprié dans ce contexte, la métaphore étant une comparaison dont on omet l'un des termes ce qui n'est pas le cas ici. Il s'agit plus vraissemblablement d'une métonymie, voire d'une synecdoque : parler d'une partie pour évoquer le tout (encore que dans le cas présent, la capitale est souvent le lieu où siège le gouvernement donc où la décision est prise). Ceci étant, je ne suis pas grammairien, j'invite donc tout lecteur plus avisé que moi à corriger cette édition. Emmanuel 30 jun 2005 à 16:48 (CEST)

Nombreux contre-sens modifier

J'ai déjà repris Bobo et je sens qu'il faut faire quelque chose avec parisianisme également. Non seulement, comme le dit Emmanuel, les journaux parlent de Paris, par métonymie et non par métaphore, mais il s'agit d'une pratique internationale, que l'on retrouve dans tous les médias anglo-saxons, par exemple. Par ailleurs « pour un non-Parisien à opposer une méfiance systématique à ce qui émane de la capitale », ce n'est certainement pas du parisianisme, à la rigueur de l'anti-parisianisme. Enfin, la phrase sur « le parisianisme émane d'une société qui, bien qu'implantée dans la capitale, n'en est elle-même que rarement issue » est plus que discutable : les "parisianistes" détestent en effet le plus souvent les "nouveaux" Parisiens. Et puis, il faudrait créer provincialisme, pour faire bonne mesure... Rrose 30 jun 2005 à 20:44 (CEST)

Ou alors faire un redirect de Provincialisme vers Parisianisme afin de traiter les deux dans le même article. Et puis, le provincialisme, c'est pas quelque chose reproché aux gens de Provinces par les Parisiens coupable de parisianisme ? (enfin, c'est comme ça que je le comprends).
Je ne sais pas comment appeler le fait, pour une personne qui n'y habite pas, de détester Paris et tout ce qui s'y rapporte. Pas du parisianisme, en tout cas.
En tout cas, le parisianisme est :
  1. le fait de gens qui habitent Paris (et seulement Paris, pas sa banlieue)
  2. le fait de dénigrer le reste de la France, appelé la « Province »
Ça fait déja un début de définition, non ?
Tiens, c'est marrant, je me souviens subitement d'un passage de « L'Enfant » de Jules Vallès, où le héros passe son bac devant un aréopage de profs, dont tous viennent de Paris, sauf un qui est publiquement dénigré par ses confrères. Si le parisianisme a plus d'un siècle, on peut sûrement en fait un article. :) — Poulpy 30 jun 2005 à 20:57 (CEST)
Bien vu ! Tu t'y colles ? ;-) Rrose 30 jun 2005 à 21:10 (CEST)

J'aimais bien l'article de 2009, bien subversif et forcé de constater que vrai, si le Londonisme existe c'est juste entre club de foot, non de musées ou autres aspects culturels permettant un mépris et une défiance vis à vis de personne non Londonniene. En contre partie le "Buenos Airesisme" existe bien aussi, alors pourquoi certaines villes et pas d'autres ? Pourquoi l 'ethnocentrisme varie en fonction des pays voire des régions ? Le Barcelonisme n'existe que très peu, par contre le Catalanisme, beaucoup pourquoi ?

Alors je m'avance au milieu de l'assemblée : c'est moi qui ai introduit deux des notions dont il est question ci-dessus. Concernant la réaction des non-parisiens, je suis entièrement d'accord que cela serait qualifiable d'anti-parisianisme et je pensais modifier le texte en ce sens, mais ça nous aurait éviter une partie de cet échange. Egalement concernant le fait que le parisianisme émane de gens qui ne sont pas nés à Paris, à la réflexion, je crois qu'on peut peut-être scinder le parisianisme en 2 catégories :

  • une dimension universelle (n'ayons pas peur des mots !!!) : les Parisiens trouvent moins bien tout ce qui n'est pas Paris (cf. There's no place like home dans Le Magicien d'Oz pour faire un raccourci stupéfiant), comme n'importe qui d'autre sur la planète ;
  • une dimension specifiquement latino-française : l'intelligentsia, le microcosme comme l'appelait Raymond Barre, qui siège à Paris, ceux qui représente justement la capitale, le pouvoir central, etc. n'en sont que très partiellement issus. Et là, je ne suis pas psychanalyste, mais il y a une dimension psychanalytique certaine dans cette relation des citoyens français avec l'autorité et le pouvoir incarné par Paris : on le vilipende, on le conspue, tout en aspirant en faire partie et en se sentant arrivé le cas échéant. Et le parisianisme est à mon sens indissociable de cette démarche. Des réactions dans la salle ? Vincent alias Fourvin (Discuter) 30 jun 2005 à 22:39 (CEST)
Je ne pense pas : je vis à Paris depuis quelques années ; je commence à y connaître pas mal de gens, quasiment tous dans mon cas (existe-t-il encore des Parisiens de souche ? C'est une question qui m'intrigue) : Paris est pour la plupart juste un lieu d'habitation, en attendant de pouvoir aller ailleurs, le plus souvent là où ils étaient avant. Aucun n'a développé de complexe de supériorité.
Bien sûr, ce n'est que mon exemple ; il est parfaitement possible que tous les autres Provinciaux montés à Paris (cette expression mériterait d'être insérée dans cet article, tiens) soient devenus d'arrogants abrutis, et je ne pourrais pas le savoir car je ne les connais pas.
Maintenant, si je me rappelle mes souvenirs d'enfants de province, ceux dont on disait qu'ils avaient la tête enflée de leur importance, c'était les Parisiens, ceux qui habitent là-bas depuis le début, pas les Rastignac. Pas les types (dé)formés dans les écoles et les sièges de pouvoir de la capitale.
Tout simplement, le parisianisme, c'est juste du chauvinisme. Avec la puissance de feu du pouvoir central. — Poulpy 30 jun 2005 à 23:26 (CEST)

Des Parisiens pure souche, bien sûr qu'il y en a : j'en ai même épousé une (4 grands-parents parisiens) et moi-même je n'ai que 50% (au niveau des grands-parents) d'origines provinciales :) En revanche, pour y être assez viscéralement attaché à cette ville en dépit de mes gènes méditerranéens, Paris est bien sûr plus qu'un lieu d'habitation en attendant d'aller ailleurs :) Mais je manque peut-être du recul pour jauger de l'arrogance ou l'humilité de mes cocitadins. Ceci dit, j'ai vécu pas mal l'étranger, parfois lointain, je repartirais bien, en province ou à l'étranger, mais je me sais et sens potentiellement capable de nostalgie que d'aucuns, surtout un peu chatouilleux pourraient percevoir comme du parisianisme.

Mais je ne pense pas que ce soient ceux dont tu parles (et j'en connais aussi à la louche) qui soit à l'origine du parisianisme : en revanche, ce que j'observe, et que tu sembles implicitement confirmer, c'est qu'il est quasiment impossible de discerner un pur-souche d'un impatrié, alors que de très nombreuses autres villes en France font des ségragations explicites à l'égard de ceux qui ne sont pas du cru. Mais de ce fait je ne vois pas pourquoi un Charentais ou un Picard installés depuis de nombreuses années à Paris ne serait pas potentiellement capable de parisianisme lorsqu'ils se déplacent en Savoie ou dans le Perche... Quel regard portes-tu ? Vincent alias Fourvin (Discuter) 1 jul 2005 à 00:03 (CEST)

Je crois que l'ancienneté de l'ancrage à Paris importe peu. Ce qui compte, c'est juste un certain snobisme culturel, qui consiste à penser qu'il ne se passe de choses intéressantes qu'à Paris (siège de la plupart des institutions politiques, en effet, mais également culturelles, économiques, intellectuelles...) et à se comporter en tout lieu et en toute occasion comme si on était dans un coquetèle mondain de la rive gauche. D'ailleurs je soumets à nouveau (tout comme sur le Bistro) : germano-pratin ("de Saint-Germain des Prés") : je sens que le débat risque d'être tout aussi intéressant pour cette définition également ;-) Rrose 1 jul 2005 à 00:19 (CEST)

Le parisianisme commence peut-être avec "il n'est bon bec que de Paris", ballade de Villon. C'est aussi une prétention à vouloir représenter la France, toute la France: Paris concentre la plus grande part du budget de la culture, la presse, les éditeurs, sont concentrés à Paris, toutes les grandes voies de communications mènent à Paris (et non pas à Rome), les salaires y sont plus élevés, les syndicats, partis, entreprises y ont leur siège, la promotion passe par Paris, etc...

Paris concentre la richesse et le pouvoir. Les diplomés formés en région partent pour Paris. Les ministres, grands commis et énarques qui nous gouvernent sont parisiens, habitent Paris, mêmes quartiers centraux, dans leurs logements de fonction payés par tous, concentrés dans un périmètre. Mais peut-on dissocier facilement parisianisme, que tous critiquent comme un nombrilisme véniel, du centralisme qui l'engendre, qui est une technique de gouvernement, et du jacobinisme qui est l'idéologie des détenteurs du pouvoir et des défenseurs du système?

Métonymie modifier

Je considère sincèrement que cette phrase est, plus qu'inutile, erronée :

"qu'ils [les média] recourent souvent à la métonymie plaçant souvent le nom de la capitale d'un pays à la place du nom du pays lui-même (Paris menace d'opposer son veto à la résolution xyz)"

car la métonymie est plus que courante. Je vais essayer de le faire comprendre par une multitude d'exemples : - Paris et Berlin se sont entendus sur la PAC

  -> y aurait-il un Berlinianisme ?

- de vives tensions entre Paris et Washington

  -> y aurait-il un Washingtonianisme ?

- Bercy presse les assureurs de réduire les primes

  -> y aurait-il un Bercyisme ?

- Matignon pressé d'agir

  -> y aurait-il un Matignonisme ?

J'en aurais des dizaines de milliers, mais j'espère que quatre suffisent.

Donc la métonymie existe, c'est un fait, mais cela n'a rien avoir avec le "Parisianisme" Xtof 13 janvier 2006 à 12:31 (CET)Répondre

Tous tes exemples sont bons. Mais il me semble qu'ils reflètent la méthode des média français (donc parisiens) de transmettre l'information. Dans les autres pays du monde, parle-t-on de la même façon en utilisant ces métonymie ? Si oui alors ok ce n'est pas du parisianisme, sinon, c'est un exemple flagrant. Ganymede44 13 janvier 2006 à 13:43 (CET)Répondre

Un lien serait à faire avec le jacobinisme. Guénael.

Les citations données devraient être datées et présentées dans un ordre chronologique. Je propose une rubrique "faits et méfaits du parisianisme". Etoffé par des exemples. Ainsi, le transfert des cendres d'Alexandre Dumas de Villers-Cotterets au Panthéon. Les "grands hommes" n'ont-ils pas droit au repos dans les lieux qu'ils ont choisi, ou sont-ils soumis à l'obligation de résidence éternelle dans une ville qu'ils avaient choisi de quitter ou d'éviter, pour satisfaire la nécrophilie démagogique des caciques qui nous gouvernent? Il a été question pour les mêmes raisons de transférer les restes de George Sand. Résiste, Aurore! Ils sont devenus fous!

À corriger ou supprimer modifier

Le passage sur les « identités » me paraît fort douteux. En effet, les parisianistes ne nient pas plus que les autres l'identité de la Corse ou de la Bretagne, peut-être même moins que les autres puisqu'ils se fichent pas mal de ce qui se passe au-delà du périph'. NeuNeu 17 juillet 2006 à 19:17 (CEST)Répondre

Accepter d'autres langues alors qu'ils n'en ont qu'une (la langue de bois), c'est perdre leur pouvoir. Important, le pouvoir, c'est la seule chose dont dispose Paris, qui a peu d'autres activités productives à part montrer son paysage pour épater le monde. Notez leur réaction compatissante quand ils entendent au téléphone un accent provincial. Et pas question qu'il leur soit imposé à la radio ou à la télé ! --Pgreenfinch 17 juillet 2006 à 19:50 (CEST)Répondre
L'existence de langues régionales n'a jamais empêché Paris de concentrer le pouvoir. Quant à la réaction aux accents provinciaux, elle existe aussi en province, et pas forcément envers les accents des autres régions. NeuNeu 17 juillet 2006 à 21:54 (CEST)Répondre
J'admets bien volontiers que le parisianisme soit une forme particulière (et à mon avis très aigüe) de provincialisme, d'ailleurs cette ville est repliée sur son autosatisfaction et ses acquis si bien qu'elle évolue et s'adapte beaucoup moins facilement aux transformations du monde que d'autres parties du pays (cf l'épisode des jeux olympiques). Mais entre les divers provincialismes, c'est celui de Paris qui cherche à imposer ses pratiques aux autres, y compris sa façon de parler, et non l'inverse. --Pgreenfinch 17 juillet 2006 à 23:12 (CEST)Répondre
C'est votre avis que le parisianisme cherche à imposer sa façon de parler. En réalité, du fait de la différence de prestige entre dialectes, le parisianisme n'a pas besoin d'imposer quoi que ce soit, les provinciaux copient très bien tous seuls. Quoi qu'il en soit, ça n'a pas grand chose à voir avec l'affirmation de départ (négation de l'identité de la Corse, de la Bretagne, etc.), on pourrait même y voir une contradiction : vouloir remplacer les pratiques d'une région donnée par les pratiques parisiennes suppose de les considérer comme différentes.
On se demande aussi ce que les « régions d'Espagne ou d'Italie » viennent faire là, et rien n'indique que les gens qui nient l'identité linguistique de la Bretagne acceptent que « les autres pays possèdent différentes cultures ou langues » comme le prétend l'article, c'est pure supposition de la part de l'auteur qui, manifestement, cherche à faire passer son petit message politique. NeuNeu 18 juillet 2006 à 12:34 (CEST)Répondre
Je ne sais pas s'il a voulu faire passer un message politique, mais il y a une réalité politique, ne serait-ce que parce que Paris est le fief de l'administration centrale de très longue date et que cette ville s'en est imprégnée et considère comme une menace ou une incongruité tout ce qui va en sens contraire de l'uniformité culturelle. Tenez, quelle est la part du budget de la culture qui est phagocitée par Paris ? S'il y a des choses à revoir dans cet article, c'est plus pour étoffer cette main-mise que pour la minorer. Même Ottawa ou Bogota donne une plus grande place aux cultures autochtones et régionales dans leur musées que ne le fait Paris. --Pgreenfinch 18 juillet 2006 à 14:14 (CEST)Répondre
Il y a des réalités politiques comme le centralisme ou le jacobinisme (et, encore une fois, ces idéologies sont aussi populaires sinon plus en province qu'à Paris), mais ici on parle du parisianisme, défini dans l'article comme « attitude consistant à projeter sur le reste du pays ce qui se passe dans la capitale ». Si c'est pour reprendre ce qui est dit dans d'autres articles, une simple redirection fera l'affaire.
Puisqu'elles n'ont pas été justifiées, je vais supprimer, s'il n'y a pas d'opposition, les mentions incongrues des « régions d'Espagne ou d'Italie » qui arrivent là comme un cheveu sur la soupe. NeuNeu 18 juillet 2006 à 17:37 (CEST)Répondre

Cet article n'est-il pas "provincialiste" ? modifier

A la lecture de cet article, on ressent une aigreur assez forte qui témoigne d'un manque de distanciation entre les auteurs et le sujet. Après avoir lu la partie sur les médias, on ne serait même pas surpris de lire en phrase de conclusion : "c'est pas juste !".

Je crois que l'article devrait mieux distinguer les deux points suivants :

  • Tout d'abord, la France s'est structurellement constituée avec Paris comme plateforme d'échange centrale. On peut le regretter mais c'est un fait. Pour rebondir sur des commentaires écrits plus haut, en effet, l'écrasante majorité de la population d'Ile-de-France est constituée de personnes originaires de l'étranger ou d'autres régions françaises. Ceci est sans doute l'une des meilleures preuves que Paris joue depuis longtemps un tel rôle clé dans les échanges de toute nature du pays, et ce à la fois au niveau national et international.
  • Basé sur ce fait avéré, certains parisiens ont développé une attitude méprisante vis-à-vis du reste du pays. Et c'est bien cette attitude-là qui est qualifié de parisianiste. En effet, cette place spécifique que joue Paris en France tend à générer un cocktail détonnant qui n'est finalement qu'un mélange entre un chauvinisme standard (et donc teinté d'ignorance), et un élitisme suffisant bourgeois.

A mon sens, la contestation du rôle central joué par Paris en France n'a rien à faire, en tant que telle, dans un article sur le parisianisme. C'est bien l'attitude méprisante qui découle de ce rôle joué par Paris qui doit être qualifié par la notion péjorative de parisianisme. Metropolitan 18 jui 2008 à 11:03 (CEST)

Merci modifier

Bravo aux auteurs de cet article, svp poursuivez vos efforts !!! et nah le berliniasisme ou le washingtonianisme n'existe pas ; la France est sans doute un des seul pays qui fait de la propagande sur sa capital (si on suivrait TF1 l'hexagone ne s'appellerais plus la France mais empire parisien). Un bel exemple: émeutes de 2005: trois voitures qui brûlent devant l'élysée ont suffient à faire les gros titres, Salah Gaham mort durant ces mêmes émeutes mais cette fois ci en province na JAMAIS été ne serais qu'une seule fois parut dans un journal téléviser national ! quand je regarde TF1 je me croirais au journal régional d'Ile de France !! y'a qu'a regarder, 1 fois sur 2 le sujet traiter parle de Paris ou de l'ile de France. c'est difficile voir impossible de trouver des sources, mais la propagande médiatique parisienne existe bel et bien... Toufik-de-Planoise ★ Me parler ★ le 11 octobre 2009 à 23:18 (CEST)Répondre

On enlève des éléments pertinents de l'article ? modifier

Bonjour,
je déplore le fait que des éléments pertinents, neutre et pouvant être sourcés on été retirés de l'article. La rubrique "Dans les médias" a, n'en déplaise à certains, totalement ça place. Et bien que je soit un fervent opposant au centralisme qui pourri notre pays, je crois avoir assez de recul et de neutralité pour estimer que la rubrique doit être réinsérée dans l'article.
Cordialement, Toufik-de-Planoise ★ Parler à un Ours ★ 11 décembre 2010 à 17:50 (CET)Répondre

Tu affirmes que les évènements qui ont été retirés peuvent être sourcés : c'est bien mais s'ils peuvent être sourcés il faudrait le faire. J'ai donc rajouté le bandeau demandant des sources qui avait disparu dans la dispute.
Pour ne pas bloquer la discussion je n'ai pas remis la version de Turb (d · c · b) mais j'aurais été en droit de le faire car en cas de désaccord de fond c'est à celui qui veut ajouter du contenu de prouver (et non seulement d'affirmer) la pertinence et la vérifiabilité du propos, ce qui n'est pas le cas en l'état. Dans le même esprit, je me suis abstenu du bandeau {{R3R}} mais la guerre d'édition n'est évidemment pas la solution.
Je ne saurais trop conseiller d'éviter dans l'article les propos évasifs qui peuvent conduire à la non-neutralité.
Et puisque l'on parle de position personnelle, j'ai trouvé que le traitement de l'épisode neigeux à Paris avait été sur-médiatisé, mais ceci est ni plus ni moins une opinion personnelle, non un fait, encore moins encyclopédique.
O. Morand (d) 12 décembre 2010 à 00:10 (CET)Répondre
Pour une prise de conscience, j'ai mis en valeur tous les problèmes des paragraphes en question (soit tout en fait). Turb (d) 12 décembre 2010 à 02:02 (CET)Répondre
Le problème n'est pas seulement les sources, mais surtout la conception de ce texte. Ce n'est pas une analyse d'un concept (définition, histoire, applications...) mais une liste de ce que le(s) rédacteur(s) défini(ssen)t comme du parisianisme. "Dans les médias" n'a globalement pas sa place car ce n'est qu'une illustration, une sélection propre au(x) rédacteur(s), donnant l'impression que le parisianisme n'existe que depuis 5 ans... HaguardDuNord (d) 12 décembre 2010 à 18:50 (CET)Répondre

De nos jours modifier

L'article traite uniquement du sujet dans les siècles précédent. Il me semble qu'il serait intéressant d'avoir un paragraphe sur le parisianisme de nos jours, avec les avantages et les inconvénients dans différents secteurs : Politique, économie, culture...

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