Discussion:Nogent-sur-Marne

Dernier commentaire : il y a 4 ans par Cangadoba dans le sujet Nogent mérovingien
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Explication de ma correction dans "Lieux de culte": L'Eglise appelée "Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours", plus connue comme Eglise des mormons, n'est pas une Eglise protestante. Elle prend ses doctrines en partie dans un livre propre à elle qui est le livre Mormon.

Article de bonne qualité = Bon Article? modifier

Il s'agit là d'un article imagé classifié complet et clair... Il remplit les conditions pour être classé bon article... Alors pourquoi pas?

Maison des artistes ? modifier

Bonjour, je viens de lire l'article sur Nogent car je me pose une question (dont je ne trouve pas la réponse ici…). Le peintre Willem van Hasselt a vécu plusieurs années à Nogent, dans un endroit appelé "Maison des artistes". Quelqu'un sait-il de quoi il s'agit (ou s'agissait) ? Je précise que c'était entre 1957 et 1963. Merci de me répondre ici ou sur ma page de discussion si vous avez la réponse. Serein 10 mai 2007 à 13:40 (CEST)Répondre

Bonjour, je vis à Nogent depuis plusieurs années. La Maison des artistes est un ensemble de lotissements créés par la ville de Nogent (à moins que ca ne soit par une association.. Je ne suis pas sûr), réservés aux artistes sculpteurs et peintres. — Adrille [discuter - contributions] 4 juillet 2007 à 02:00 (CEST)Répondre

La Maison nationale des Artistes de Nogent-sur-Marne se situe sur une propriété de 10 hectares, un parc à l’anglaise classé, deux châteaux, un château du XIXe siècle et un autre du XVIe elle est reservé aux artistes plasticiens et maintenant a toutes les formes d' art , elle dispose d' ateliers d' artiste en exercice sur son domaine permettant un lien entre les artistes a la retraite et ceux en exercice,

Source pour inclusion dans la section « Histoire » modifier

16 juin 2011 à 21:33 (CEST)

Bonsoir,

Je dépose une citation pouvant servir à la section « Histoire » de Nogent-sur-Marne.

« L'armée s'occupe de religion musulmane

Dans les premiers mois de la guerre, en 1914 et en 1915, plusieurs facteurs ont favorisé une prise en compte rapide du religieux islamique par l'autorité militaire. Tout d'abord, l'ampleur des pertes, qui singularise ce conflit par rapport à la guerre de 1870 : il faut traiter la commotion des opinions publiques. Ensuite, l'expérience acquise en matière de religion des sujets nord-africains comme l'atteste le rapport Depont. Mais, plus anciennement encore, pèsent les contrecoups d'une controverse ouverte dès 1908 dans l'Algérie et la Tunisie coloniales avec l'introduction de la conscription. L'un des enjeux du respect du religieux islamique fut donc de parer les objections qui avaient été formulées à l'occasion des discussions sur le service militaire indigène en Algérie. Plusieurs personnalités arabes avaient manifestées des opinions défavorables à ce recrutement en arguant de la question du religieux, tel Ali Mahieddine, assesseur musulman au conseil général d'Oran qui dénonçait l'impossibilité pour le soldat musulman de pratiquer ses devoirs religieux. Avec trente-deux bataillons nord-africains envoyés en France avant la fin septembre 1914, il était nécessaire d'être prudent sur cette question.

C'est en matière d'inhumations que les efforts pour permettre la pratique religieuse sont les plus visibles. Les consignes sont, là encore, très précoces puisqu'elles datent du 16 octobre 1914. Elles proviennent du 2e bureau de la direction du service de santé du ministère de la Guerre qui précise, le 8 décembre suivant, les « règles à suivre pour l'inhumation des militaires musulmans » dans un texte signé par le ministre de la Guerre : « Le souci d'être inhumé suivant les rites consacré par la religion et les usages musulmans paraissent préoccuper au plus haut point les militaires indigènes qui viennent à décéder en France, ainsi que leurs familles. »

Les directives du ministère concernent alors tous les aspects du rite funéraire musulman (l'enveloppe du corps dans un linceul, la cérémonie dirigée par un musulman, l'orientation de la tombe de sorte que le visage soit placé en direction de La Mecque) ainsi que des indications pour les inscriptions en arabe à porter sur les tombes. Un modèle de stèle est dessiné par des militaires : constituée d'une planche verticale d'environ soixante centimètres de largeur, couronnée d'une découpe en forme d'arc outrepassé (en fer à cheval) sur laquelle est consignée en graphie arabe la formule épitaphe anonyme : « hadhâ qabr almahrûm » (ceci est la tombe du rappelé à Dieu), que devait compléter la mention du nom ; le tout est surmonté d'un croissant et d'une étoile. Ces stèles ont surtout servi à l'arrière du front, dès 1915 dans les espaces musulmans des cimetières parisiens, à Bagneux, Pantin, Ivry et Nogent-sur-Marne.

La réalisation architecturale la plus symbolique de cette gratitude à l'égard des combattants musulmans fut la mosquée du jardin colonial de Nogent-sur-Marne. Sa construction est, au départ, envisagée comme une réponse aux autorités militaires allemandes qui avaient fait construire dans le camp de Zossen, à proximité de Berlin, une mosquée visitée à des fins de propagande par des « publicistes » turcs, persans et égyptiens. L'édifice est inauguré en avril 1916 et confié aux imans attachés au gouvernement militaire de Paris. Le texte de leur allocution en arabe est traduit et rend compte de la cérémonie, non dénuée de mise en scène : « Nous sommes les enfants de la France, nous sommes venus volontairement de notre pays pour aider jusqu'à notre dernier souffle notre noble mère la France, qui est la représentante du droit et qui marche dans la voie droite : la voie de la Justice et nous avons la conviction absolue que la victoire est pour elle, ses armées et ses alliés. »

C'est également à Nogent-sur-Marne que fut édifié en 1919 une koubba, c'est-à-dire un pavillon carré surmonté d'une corniche et d'une coupole, dans le cimetière où reposaient les dépouilles de combattants musulmans. Émile Piat est à l'origine de la construction de cet édifice funéraire. Consul général, promu au grade de ministre plénipotentiaire en février 1919, il était attaché au cabinet du ministre des Affaires étrangères et chargé de la surveillance des militaires musulmans dans les formations sanitaires de la région parisienne à Nogent, Carrières-sous-Poissy et Moisselles. Dans une lettre du 14 juin 1918, il écrit à son ami, le capitaine Jean Mirante, officier traducteur au gouvernement général en Algérie : « l'érection d'un monument à la mémoire des tirailleurs morts des suites de leurs blessures aurait une répercussion heureuse parmi les populations indigènes de notre Afrique ». Obtenant le soutien financier de la section algéroise du Souvenir français, par l'entremise de Mirante, il reçoit une somme de 1 810 francs destinée aux frais de la décoration de la koubba. Le gros œuvre est financé et effectué par le marbrier funéraire Héricourt. Au-delà de son architecture typique, le caractère religieux du monument est explicite ainsi qu'en témoignent les deux versets du coran (sourate III, versets 169 et 170) devant êtrre inscrits au frontispice après avoir été choisis par le mufti Mokrani en poste au camp retranché de Paris. L'édifice fut inauguré le 16 juillet 1919.

La koubba de Nogent fut édifiée à la fin de la première guerre mondiale grâce à une conjonction d'initiatives : la politique de gratitude et de reconnaissance de l'institution militaire à l'endroit des soldats venus du domaine colonial, l'empathie d'un consul entreprenant et l'entremise d'un officier des affaires indigènes en poste à Alger, le soutien d'un édile communal et la générosité d'un marbrier. C'est ce surplus de signification qui en fait un symbole d'une mutuelle reconnaissance. »

— Mohammed Arkoun (dir.) (préf. de Jacques Le Goff), Histoire de l'islam et des musulmans en France du Moyen Âge à nos jours, Paris, éd. Albin Michel, 2006 (ISBN 2-226-17503-2), quatrième partie « Temps présent », chap. I « Présence de l'islam en France », p. 714–717.

Ce sujet est absent de la notice.

Très cordialement,

Βερναρδ []-

L’article 'Estelle Debaecker' est proposé à la suppression modifier

L’article 'Estelle Debaecker' est proposé à la suppression, voir :

Il est encore temps de donner son avis. Alphabeta (d) 1 décembre 2011 à 21:17 (CET)Répondre

Histoire de la rue des Héros Nogentais modifier

Anciennement dénommée « Rue des Jardins »… Quelqu'un connaitrait-il l'origine, la signification et la date du changement de nom de cette rue propre à la ville de Nogent-Sur-Marne ? (Hommage à des soldats tombés au combat ?) Teuxe (d) 2 avril 2012 à 15:08 (CEST)Répondre

Vous pourriez peut-être répéter la question dans w:fr:Wikipédia:Oracle : là-bas ils sont incollables... Alphabeta (d) 9 juin 2012 à 17:59 (CEST)Répondre

L’article 'Lycée Albert-de-Mun' est proposé à la suppression modifier

L’article 'Lycée Albert-de-Mun' est proposé à la suppression , voir :

Il s’agit d’un établissement privé situé à Nogent-sur-Marne. On signale qu’un autre établissement privé, le Lycée Edgar-Poe (d · h · j · · DdA) (situé à Paris intra muros) a récemment été jugé admissible. Alphabeta (d) 29 mai 2012 à 16:44 (CEST)Répondre

L’article 'Lycée Montalembert' est proposé à la suppression modifier

L’article 'Lycée Montalembert' est proposé à la suppression, voir :

On s’acharne quelque peu sur Nogent et ses établissements scolaires, puisque cette « procédure » suit de peu une autre « procédure » :

Alphabeta (d) 9 juin 2012 à 16:44 (CEST)Répondre

Je répète ici les remerciements mérités par Rene1596 (d · c · b) qui a fourni le cliché Fichier:Montalembert, école, collège, lycée, à Nogent sur Marne, France.jpg.
Naturellement si vous disposez d’autres clichés (détails du lycée Montalembert ou du lycée Albert-de-Mun son voisin), ces clichés sont les bienvenus dans Wikipédia...
Et il est encore temps d’intervenir de donner son « avis » dans la page Discussion:Lycée Montalembert/Suppression.
Alphabeta (d) 16 juin 2012 à 20:34 (CEST)Répondre

L’article « Jacques J. P. Martin » est proposé à la suppression modifier

L’article « Jacques J. P. Martin » est proposé à la suppression. Voir :

Alphabeta (d) 7 décembre 2012 à 17:32 (CET)Répondre

Nogent mérovingien modifier

Recopie pour une meilleure compréhension, d'échanges en provenance de différentes PUs (+ mise en page)

Bonjour Ramessou Mériamon. J'ai annulé la modification que vous avez faites sur l'article Nogent-sur-Marne, modification que vous avez faites à plusieurs reprises, 3 si vous êtes effectivement l'IP 89.84.31.157 et modification annulées préalablement par Antoniex} et JLM}. Pour ma part la raison de l'annulation vient du fait que le texte que vous retirez est sourcé. Il n'y a, encore une fois pour ma part, aucun problème concernant le texte sous refnec (même si je trouve un retrait un peu sec), mais la partie concernant la charte de 692 est puissamment sourcée par un lien vers la BNF. Elle ne peut donc guère être retirée sans indiquer de raisons solides ainsi que vous le faite. Merci donc de bien vouloir passer en Pdd de l'article. Cdt. --Cangadoba (discuter) 17 octobre 2019 à 15:24 (CEST)

Bonsoir, la raison pour laquelle je l'ai effacé (l'article de Nogent-sur-Marne) est que certaines choses m'ont parut bizarres. 1) Comment le roi Clovis 1er qui as vécu de 466 à 511 à pu habité en 692 à Nogent-sur-Marne. 2) Comment le roi Childebert III qui as vécu de 650 à 662 à pu habité en 695 à Nogent-sur-Marne enfin 3) Comment Clovis III qui es né en 670 à régné de 675 à 676 puis enfermé tout de suite dans un monastère ( voir biographie) à pu faire une charte en 692. Expliquez moi tout cela, je peux me t(romper, nul n'est infaillir et je n'ai pas la science infuse. Merci de vôtre réponse. Cordialement Ramessou Mériamon (discuter) 17 septembre 2019 à 19:26
Bonsoir, merci de votre réponse. Les choses sont beaucoup plus claires, et il y a effectivement là quelque chose de problématique, soit une (grosse) maladresse du rédacteur initial, soit un vandalisme sournois. Je cherche encore un peu à déblayer tout ça. Une chose est sûre, le texte de Grégoire de Tours concerne Chilpéric Ier. Clovis Ier n'a probablement jamais logé à Nogent, je n'ai pas regardé pour Childebert. Si la Charte de 692 est attribué (au XIXe siècle) à Clovis III, elle peut, les temps étant troublés, lui avoir été attribué à postériori. Enfin, un autre Clovis, le fils de Chilpéric, pourrait avoir eu une importance locale un peu avant 692. Enfin encore, il y a plusieurs documents (au moins un sinon deux) de cette époque relatifs à Nogent. Je ne les ai pas encore identifiés. De cette "profusion de Clovis" vient probablement l'erreur de date concernant Clovis Ier. Il y a également des documents archéologiques que je consulte actuellement. Bref, vous avez clairement mis le doigt sur un problème et je vous en remercie. Il me semble cependant préférable de laisser encore un peu le texte fautif, le temps de démêler tout ça, exception faite bien sûr en ce qui concerne Clovis Ier et Childebert. --Cangadoba (discuter) 18 octobre 2019 à 19:51 (CEST)Répondre

Fin de la recopie des PU. Je vais ensuite, ainsi que je l'ai indiqué, supprimer une partie du texte fautif. --Cangadoba (discuter) 18 octobre 2019 à 20:29 (CEST)Répondre

  Ramessou Mériamon : Un élément (rapide et incomplet) de réponse vis à vis d'une des questions que vous posiez en début de paragraphe. Cette source de 1887 indique (p.35-36 du pdf, 38-39 du texte) que Clovis III était en le 5 juin 693 à Nogent-sur-Marne - ce qui me semble une allusion à notre charte. Donc je ne saurais expliquer plus avant pourquoi, mais un Clovis III roi en 693 ne semble pas poser problème à un spécialiste des chartes mérovingiennes (mais il s'agit d'un spécialiste du XIXe, j'ignore l'opinion des spécialistes modernes sur ce sujet). --Cangadoba (discuter) 19 octobre 2019 à 17:17 (CEST)Répondre
Bonjours, je viens de voir sur Wikipedia que Clovis III était considéré comme un usurpateur, hors il y a bien un Clovis qui est mort après 692 mais c'est Clovis IV, donc je pense que c'est celui la qui a fait une charte, sur Wikipedia en anglais, je vois bien un papier de 693 de Clovis IV mais je ne sais pas si cela est une charte. Donnez moi les renseignements en vous remerciant à l'avance. Cordialement Ramessou Mériamon (discuter) 19 octobre 2019 à 12:35
Effectivement Clovis IV est un candidat très très sérieux pour être celui qui a édicté cette charte. Mais pour en être sûr, il faudrait pouvoir disposer du texte de la charte, voire d'une analyse précise de celui-ci, ce que je n'ai pas trouvé. Pour info, le document visible sur WP:EN est un jugement, un document judiciaire ou juridique qui ne concerne pas Nogent-sur-Marne (mais qui semble dater de quelques mois avant celui qui nous intéresse). --Cangadoba (discuter) 20 octobre 2019 à 15:34 (CEST)Répondre
Rectificatif, dans la source de 1887 que j'ai donné ci-dessus (celle ci, il s'agit bien de Clovis IV sous le numéro III, puisqu'il y est mentionné comme étant le fils de Clothilde (en p.37). Ceci suggère fortement que la charte nogentaise est bien de lui, mais je cherche toujours une source solide. --Cangadoba (discuter) 20 octobre 2019 à 16:01 (CEST)Répondre
Bon, je consulte encore de vieilles analyse de chartes, mais il semble bien que celle qui nous intéresse soit un texte du 5 juin (et non 5 mai) 692 (ou 693, vraisemblablement daté de « la seconde année du règne », j'ai aussi 691) de Clovis IV (CaD le fils de Clotilde, unanimement désigné sous le nom de Clovis III) et fait à Nogent. Sa première analyse semble être l'oeuvre d'un certain K. Pertz (qui a probablement un lien avec Georg Heinrich Pertz puisque l'ouvrage en question est le Diplomata - je note au passage que Georg a un fils nommé Karl. Il s'agirait de la donation à l'abbaye de St-Denis d'une dotation annuelle de 100 sous pour acheter des trucs à Marseille. --Cangadoba (discuter) 20 octobre 2019 à 16:32 (CEST)Répondre
A noter, je trouve bien ici (cf. p.273 et 274) un diplôme de Clovis III (IV donc...) du 5 mai 692, mais fait à Saint-Cloud et non à Nogent. --Cangadoba (discuter) 20 octobre 2019 à 16:46 (CEST)Répondre
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