Discussion:Grégoire Ier

Dernier commentaire : il y a 10 ans par Ps2613 dans le sujet Image infobox et amour connaissance
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Sans titre modifier

J'ai terminé ma restructuration de cet article. Les commentaires, précisions, corrections et ajouts sont les bienvenus.

Cbrunet (d) 26 janvier 2008 à 16:27 (CET)Répondre

Merci beaucoup pour tout le travail effectué  . Une chose qui ma un peu choqué : le "mourut", mais bon, c'est une histoire de gout. Kelson (d) 26 janvier 2008 à 17:09 (CET)Répondre

Image infobox et amour connaissance modifier

Bonjour, félicitations à ceux qui ont travaillé sur cet article. En l'ouvrant j'ai cependant été surpris par le tableau de Zuraban dans l'infobox. C'est certainement la meilleure image disponible un plan artistique, mais on l'y voit habillé comme un pape du XVIIe siècle, portant la tiare avec les trois couronnes qui en fait commencé a être portée par les papes sous le pontificat de Boniface VIII, au tournant des XIIIe et XIVe siècles, c'est-à-dire quand même sept cent ans après la mort de Grégoire Ier. Je me permet donc de mettre dans l'infobox une image de bien moindre valeur sur un plan artistique, mais un peu meilleure sur un plan documentaire.

Sinon j'étais venu sur l'article parce que je cherchais quelque chose sur la phrase qu'on lui attribue : « l'amour est connaissance » (amor notitia est), idée qui sera infiniment, reprise notamment par Guillaume de saint Thierry, Guigues du Pont ou Nicolas Kempf. Mais je ne sais pas de quel écrit de Grégoire vient cette phrase. Cordialement.--Ps2613 (discuter) 15 novembre 2013 à 02:55 (CET)Répondre

Homélie sur l'évangile XXVII, PL 76: 1207A : « «Je ne vous appellerai plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître. Mais je vous ai appelés amis, parce que tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître. » Tout ce qu’il a entendu de son Père et qu’il a voulu faire connaître à ses serviteurs pour en faire ses amis, qu’est-ce là donc, sinon les joies intérieures de la charité et les réjouissances de la patrie d’en haut, qu’il inspire chaque jour à nos cœurs par le souffle de son amour ? Dès que nous en venons à aimer ce que nous avons entendu au sujet du Ciel, nous commençons à le connaître, car l’amour est lui-même connaissance. Aussi le Seigneur avait-il tout fait connaître à ceux qui, dégagés des désirs terrestres, brûlaient des flammes d’un très grand amour. »
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