Discussion:Endorphine

Recherches

Sauf erreur, on ne peut dire que la structure moléculaire du tabac et de l'alcool est similaire à celle des opiacés. Le tabac fumé en particulier libère lors de sa consommation près de 4000 substances différentes ! Si l'on ne s'intéresse qu'à son constituant célèbre, la nicotine, sa structure est très proche de l'acétylcholine, neuromédiateur bien connu.

Cet article devrait être réécrit par un spécialiste.

Je suis en train de faire des recherches sur les endorphines et quand j'aurais fini mes recherches, je mettrai a jour cet article.

Versions à ne pas restaurer car contenant du copyvio

• 6 novembre 2006 à 13:27 . . 80.65.227.57 (Discuter | Bloquer) (Rôles des endorphines)

Question d'un ignorant sur la catégorisation

Je n'y connais rien, mais cet article ne devrait-il pas être catégorisé dans Catégorie:Classe_pharmacologique plutôt que dans Catégorie:Pharmacologie ?

Probable erreur

La version anglaise dit "Studies in the early 1980's cast doubt on the relationship between endorphins and the runner's high." Comme dit précédemment : "Cet article devrait être réécrit par un spécialiste.".

Simple question

Je viens de voir qu'une forte libération d'endorphine procure une certaine euphorie, presque comparée à celle que procurent des drogues. Je voulais tout simplement comprendre, comment on libere l'endorphine, j'ai vue dans une série, et je sais bien que ce n'est pas forcemment une reference, qu'en se taillant le bras, on libere de l'endorphine. Bon est ce possible ? Ce qui expliquerait d'où vient l'idée de se "mutiler".

Mon expérience personnelle En comparant les effets décrits sur ce site avec ceux que j'ai ressentis, à plusieurs reprises, j'en arrive à la conclusion que j'ai vécus plusieurs épisodes de "rush" d'endorphines. Presque tous les effets décrits s'appliquent à ceux que j'ai vécus. Je sais maintenant comment les provoquer et les éviter, mais je ne sais pas si ça peut fonctionner pour d'autres personnes. Je vis ces épisodes à chaque fois que je ressens un "stress" intense et assez prolongé. Par exemple, lorsque j'assistais à des parties de hockey où mon petit-fils évoluait. Si je ne me calmais pas (en m'éloignant, par exemple), je finissais par sombrer dans un rêve éveillé qui pouvait durer jusqu'à deux heures. Les gens, autour de moi, ne s'en rendaient pas compte, sauf qu'il me trouvait plutôt euphorique. Un autre symptôme est la perte de notion du temps: une heure peut sembler 5 minutes, même si je me souviens de tout ce qui se passe durant ces épisodes. J'ai ressenti les mêmes sensations lors de plaisirs intenses. Si je fais un effort physique intense et prolongé,je ressens aussi le début de cette sensation. Je m'arrête alors, car j'ai un peu peur d'une "crise de coeur". J'ai passé de nombreux test (dont certains furent très exhaustifs), mais aucun malaise n'a été détecté, ce qui me convainc encore plus qu'il s'agit des effets de l'endorphine. p.vigneault@sympatico.ca 14 mars 2009

Importance capitale

Le fait de libérer de l'endorphine ou endomorphine peut être quelque chose de très important à la vie. Après tout, à quoi ça sert de vivre sans jouir???

La meilleure façon d'en libérer, c'est de faire de l'exercice physique intense pendant 20 minutes par jour et de faire l'amour tout les jours....et avec amour!

[à ceux] qui rédigent cette page

Dans la section "Histoire" nous lisons que "D'après une étude d'Olds et Milner en 1952, il a été démontré que ces récepteurs opiacés provoquaient chez les mammifères des sensations de plaisir. Une expérience consistait à présenter à un rat une petite pédale qui en l'actionnant transmettait de l'endorphine (alors appelée enképhaline) à son cerveau."

Primo: L'étude d'Olds&Milner date de 1954

Secundo: Il s'agissait d'une stimulation éléctrique au septum pellicidium

Tertio: Et les récepteurs opiacés et les enképhalines ne sont ni nommés ni decouverts que 20 ans après.

[censuré]