Discussion:Antoine de Sartine
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Le nom de sa mère fut Whyte ou White, d'une famille Irlandaise, créée baron d'Albi (Freiherr von Albi) en 1513 par l'Empereur Maximilien.
S'il n'y a pas d'opposition sur quelques semaines je ferai la correction.
--R.S.
Un roman, parmi les enquêtes de Nicolas Le Floch, écrit par Jean François Parot, est intitulé l'honneur de Sartine, chez J C Lattès en novembre 2010. --Agapite (d) 4 mars 2013 à 10:45 (CET)
2 Sartine avec la même épouse modifier
Bonjour.
Travaillant sur la famille Gradis [1] avec quelques membres de laquelle le ministre Sartine était en relation (j'ajouterai cela plus tard), je remarque sur le présent article "Antoine de Sartine", le paragraphe suivant : Il prend pour épouse Catherine Wilts, comtesse d'Alby, dame d'honneur de la reine d'Espagne, fille de Charles Wilts, secrétaire d'État pour le royaume d'Irlande.
Me reportant à l'article à l'article Antoine Sartine[2], je remarque la paragraphe suivant : Antonio de Sartine avait épousé Catherine Wilts, comtesse d'Alby, dame d'honneur de la Reine et fille de Charles Wilts, Secrétaire d'État pour le royaume d'Irlande. Il est le père de l'administrateur français Antoine de Sartine.
De toute évidence, il y a une confusion que je n'ai pas le temps personnellement de rectifier en sourçant. Il faudrait aussi vérifier si l'un est bien le fils de l'autre, etc. Si un contributeur avait l'amabilité de s'acquitter de ces quelques tâches, les deux articles s'en porteraient mieux.
A toutes fins utiles, pour éviter la confusion et être plus précis, l'on pourrait aussi renommer l'art. Antoine Sartine en "Antonio (de) Sartine" (puisqu'il fut ainsi connu en émigrant en Espagne) et/ou renommer l'art. Antoine de Sartine en "Antoine de Sartine fils" ou "Antoine Gabriel de Sartine" (puisqu'un buste à ce nom trône à Versailles et que c'est sous ce nom que je l'ai trouvé dans un ouvrage de 1931). Cdmt' --Mylenos (discuter) 29 septembre 2018 à 16:22 (CEST)
Sartine et la déclaration du 9 août 1777 modifier
Sartine très inquiet du nombre de personnes de couleur vivant en France, notamment les esclaves amenés par leurs maîtres planteurs des colonies, inquiet aussi du nombre d'affranchissements (puisqu'en Métropole, l'esclavage a longtemps été jugé interdit, ce qui n'est pas le cas dans les colonies), oeuvre à la déclaration du 9 août 1777, dite déclaration du Roi pour la police des noirs (http://staraco.univ-nantes.fr/fr/ressources/documents/d%C3%A9claration-du-roi-pour-la-police-des-noirs-1777) qui interdit à toute personne noire ou mulâtre d'entrer en France. Voir "le droit des noirs en France au temps de l'esclavage" par Pierre H. Boulle et Sue Peabody publié chez l'harmattan. Il fait créer des dépôts où enfermer les esclaves en attendant leur expulsion vers les plantations. IL déclare dans un rapport "Les nègres se multiplient chaque jour en France par la grande communication de l'Amérique avec le Royaume. on y favorise les mariages avec les Européens Les maisons publiques en sont infectées. les couleurs se mêlent, le sang s'altere. une prodigieuse quantité d'esclaves enlevés à la culture dans les colonies ne sont amenés en Frace que pour flatter la vanité de leurs maîtres et ces mêmes esclaves, s'ils retournent en Amérique, y rapportent l'esprit de liberté, d'indépendance et d'égalité qu'ils communiquent aux autres, détruisent les liens de la discipline, de la subordination, et préparent ainsi une révolution dont les colonies voisines fournissent déjà des exemples et que la vigilance la plus active ne saurait assez prévenir. p 96 du même ouvrage. 2A01:CB08:94F:D200:4D75:992A:7216:5C07 (discuter) 31 octobre 2022 à 17:40 (CET)