Discussion:Anticommunautarisme

Dernier commentaire : il y a 16 ans par Phil94 dans le sujet Neutralité
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Exemple de texte anti-breton / brittophobe

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« L'avantage des séjours en Bretagne, c'est qu'on peut être totalement dépaysé sur le plan du langage (d'où mon lexique franco-breton à l'usage des touristes mal inspirés).

Et celà, on le doit au merveilleux système éducatif breton. Car la Bretagne peut s’enorgueillir de tout mettre en œuvre pour l’échec scolaire. Oui, pour, et non pas contre.

Dernier exemple en date : la reconnaissance des écoles DIWANN en tant qu’établissements publics. Quels merveilleux vecteurs de l’éducation régionale que ces soit-disantes écoles !

Le nom provient de la traduction bretonne de « Tu dis quoi ? ». C’est en effet la première réaction des pauvres enfants inscrits de force par des parents rétrogrades, lorsque l’instituteur les accueille en langue bretonne, inconnue d’eux jusqu’alors. Qu’il est lent, l’apprentissage de ce dialecte, fruit de l’assemblage des diverses variantes locales (NB : on dénombre 3 variantes principales de la langue bretonne, selon que les habitudes de consommation se portent plutôt sur le chuchen, l’alcool de choux-fleur, ou celui d’artichaut , qui produisent à hautes doses des défauts d’élocution radicalement différents, en fonction des zones cérébrales atteintes) !

Qu’il est loin, le Français de Pascal, Montaigne et Hugo !

Qu’il est long, le chemin jusqu’au baccalauréat, que le Breton moyen obtient vers 23 ans (s’il l’obtient !), 3 ans après le Français statistique !

Ces pauvres enfants génétiquement modifiés par apport de sang breton, à tête de mule et caractère de cochon, ne sont pas moins assidus qu’ailleurs. Mais imaginez les ravages d’une sélection par concours des enseignants, qui en temps normal, descend déjà fort loin dans les classements pour contenter les besoins, et qui, dans le cas d’individus bilingues français-bretons, doit atteindre des abîmes insondables de médiocrité, voire même déroger à la règle pour recruter un contingent suffisant de bretonnants pédagogues.

Dans ces conditions, voici l’approche bretonne du principe « quatre vins pour sang d’une classe d’âge au niveau baccalauréat » : le quatre, c’est leur note moyenne à l’examen, le vin, ils le boivent à qui mieux-mieux ; quant au sang, il est déjà plus chargé en gammas GT à leur âge que chez le pire des cancéreux du foie que la médecine ait connu !  »

Pas besoin de commentaire puisque ce genre "d'idée" est courant.

la source ? l'intérêt d'un tel texte ? à blanchir d'urgence... Lo2b 31 janvier 2007 à 22:48 (CET)Répondre
Peut-on savoir d'où vient ce texte? Merci. Kergidu 5 février 2007 à 23:54 (CET)Répondre
Aucune idée. ClaudeLeDuigou 6 février 2007 à 15:28 (CET)Répondre

Article militant

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Wikipédia est une encyclopédie neutre. Cet article est un article militant anti-républicaniste. La neutralité exigerait de présenter les différents points de vue (le point de vue républicaniste et les autres points de vue réels et sourcés et non issus de la réflexion individuelle de l'utilisateur Luzmael). Lo2b 31 janvier 2007 à 22:53 (CET)Répondre

Parfaitement d'accord sur le principe (pas sur tes commentaires) ! Tous les points de vue sont la bienvenue mais pas la censure (je suis clair ?)
Par ailleurs on peut toujours améliorer les articles.
Il y a déjà des sources et des exemples (peut être trop nombreux en fait) et on peut en effet en rajouter (pas de problème, s'il sont pertinents).
Je constate que ceux qui crient au NPOV et autres, ne font AUCUN apport : ils se lancent dans des reformulations approximatives ou orientées, voire ils censurent. Qu'ils commencent par apporter des sources , des idées, ... D'accord Lo2b ? : alors au boulot !Luzmael 31 janvier 2007 à 23:13 (CET)Répondre
Si nous sommes d'accord sur le principe, cela veut dire que nous parviendrons à un texte consensuel. En effet, je n'ai rien modifié pour deux raisons :
1) il y a apparemment un début de guerre d'édition entre toi et Es2003; donc je n'ai pas voulu en rajouter
2) contrairement à ton article militant et non sourcé, je veux prendre le temps de rédiger quelque chose de neutre et de sourcé, ce qui prend plus de temps, et du temps je n'en ai pas en ce moment. Quoi qu'il en soit tu as confondu dans ta rédaction article encyclopédique et tract militant : cette page est actuellement indigne de Wikipédia. Lo2b 1 février 2007 à 09:47 (CET)Répondre
J'appelle ça se défiler en ayant jeté son fiel. Toujours aucun apport en vue : ceci aussi est indigne d'un wikipédien !Luzmael 1 février 2007 à 10:20 (CET)Répondre
C'est en effet un choix que j'assume : m'abstenir de contribuer si je n'ai pas le temps de contribuer réellement plutôt que d'écrire des choses non sourcées (et, en l'occurence, en ce qui te concerne, partisanes). Lo2b 1 février 2007 à 13:20 (CET)Répondre

Commence par faire des apports et l'article en bénéficiera, notamment dans l'exposé de points de vue différentsLuzmael 1 février 2007 à 14:30 (CET)Répondre

Article totalement retravaillé

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Comme demandé par Luzmael, j'ai retravaillé l'article. Etant donné le ton militant et parfois primaire de certaines parties, le les ai totalement réécrites. J'attends vos avis. Lo2b 1 février 2007 à 23:07 (CET)Répondre

Une précision sur la non-reconnaissance de minorités par la République sur le plan religieux. Cet aspect renvoie à la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905 qui précise que "la République ne reconnaît ni ne salarie aucun culte". C'est-à-dire qu'elle affirme que les questions religieuses ne sont pas du ressort de l'État, que la croyance et l'incroyance ne concernent que la conscience individuelle. Il ne faut pas oublier que c'est une loi libérale, modérée.
Dans le domaine politique et social, on peut rappeler la loi Le Chapelier (1791), qui abolit les organisations professionnelles, interdisant ainsi le syndicalisme jusqu'en 1867, au nom du refus des corps intermédiaires. De même, l'idée de parti a longtemps été rejetée comme contraire à l'expression de la nation (le député devant voter non en fonction d'intérêts partisans, mais suivant sa conscience). Attis 2 février 2007 à 16:10 (CET)Répondre
OK, je jette un coup d'oeil dès que possible.Luzmael 3 février 2007 à 12:57 (CET)Répondre
J'ai revu la structure de l'article qui n'avait plus aucune logique.Luzmael 6 février 2007 à 21:39 (CET)Répondre

Proposition 1

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L'anticommunautarisme est un terme surtout utilisé en France. Il sert à désigner deux attitudes différentes :
  • soit une opinion motivée par la volonté de défendre l'idéal d'état-nation (prévalent en France et cher notamment au mouvement "républicain") par opposition aux traditions multi-culturelles des pays anglo-saxons ,
  • soit un ensemble de préjugés à l'encontre de "communautés" humaines définies:
  • sur la base d'une origine (juive, arabe, ...)
  • sur une base régionale (alsaciens, bretons, corses, ...)
  • à partir de préférences sexuelles.
Ce paragraphe est redondant avec le paragraphe "Situation en France". Donc je propose de l'enlever ou de le déplacer.
Non, il s'agit toujours de la définitionLuzmael 6 février 2007 à 21:56 (CET)Répondre
Je ne suis pas d'accord. Par ailleurs, l'expression "ensemble de préjugés à l'encontre de "communautés" humaines définies" n'est pas neutre et doit être reformulée. Lo2b 6 février 2007 à 21:58 (CET)Répondre
Hem, problème car je maintiens mon opinion et tu ne me donne pas d'argument complémentaire ? Je me reconnecte demain. Bonne soiréeLuzmael 6 février 2007 à 22:04 (CET)Répondre
OK, on le laisse dans la définition. Mais je l'allège et le reformule. Bonne soirée également. Lo2b 6 février 2007 à 22:11 (CET)Répondre
OK, je laisse dans la définition ce qui relève de la présentation des différentes communautés (après tout, pourquoi pas...). En revanche, je déplace/fusionne ce qui concerne les "préjugés" dans le nouveau paragraphe "Dérive de l'anticommunautarisme français" (cf. ci-dessous). Bonne soirée également. Lo2b 6 février 2007 à 23:39 (CET)Répondre

Proposition 2

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Cette seconde attitude - basée sur des préjugés - est assimilable à du racisme même si elle n'est pas sanctionnable par la loi française (voir plus bas). A la suite de Sartre ("Réflexions sur la question juive"), on ne désignera donc pas cette attitude du mot "opinion".
Ce paragraphe est totalement orienté, donc je le retire sans discussion.
Il n'est pas orienté puisque il permet de distinguer deux attitudes différentes, l'une qui est une opinion basée sur la conception de l'état-nation, l'autre beaucoup moins respectable qui est un ensemble de préjugés assimilable à du racisme (quand ce n'est pas tout simplement!). Cela permet JUSTEMENT de ne pas tout confondre ce qui semble ton cas. Je te demande donc de rétablir ce paragraphe - possiblement dans une autre formulation (c'est celle que j'ai trouvée mais d'autres peuvent être meilleures).Luzmael 6 février 2007 à 21:59 (CET)Répondre
Je ne suis pas du tout d'accord. Selon moi, tu confonds une définition de l'anticommunautarisme avec une présentation de ses (supposées) dérives. Même si je ne suis pas d'accord avec le contenu (où as-tu vu une telle dérive ??? des sources ! des sources !), je le mets provisoirement dans un nouveau paragraphe que j'intitule "Dérive de l'anticommunautarisme français". je pense que c'est un compromis acceptable par tous. Lo2b 6 février 2007 à 22:22 (CET)Répondre
Il ne s'agit pas de dérives car la NATURE même de ces deux positions est différente. L'une ne dérive pas de l'autre (cela peut arriver cependant dans quelques cas : voir Alain Soral).

Proposition 3

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Par contre, les défenseurs de l'état-nation à la française voient dans l'existence de communautés d'origine ou régionales un danger pour l'unité de la nation (selon le principe "un seul peuple, une seule langue, un seul état").
Cet "anticommunautarisme d'opinion" a conduit à une politique linguistique hostile aux langues régionales depuis la fin du XIXème siècle et la plus grande partie du XXème siècle. Plus positivement, le souci d'éviter une montée des communautarismes permet de préserver la cohésion sociale.
Ce paragraphe est redondant avec celui sur "Anticommunautarisme et identités régionales". Donc je propose de l'enlever ou de le déplacer.
OK on le déplace si cela est plus cohérentLuzmael 6 février 2007 à 22:00 (CET)Répondre
OK ! Déplacé et fusionné avec le paragraphe idoine. Lo2b 6 février 2007 à 22:09 (CET)Répondre
Le paragraphe sur la « brittophobie » est démesurément long pour un truc aussi anecdotique. De plus, on ne voit pas bien en quoi l' « opposition de certains élus aux panneaux routiers bilingues breton-français en Bretagne » relève de cette « brittophobie ». NeuNeu 7 février 2007 à 15:56 (CET)Répondre
Demande la suppression de panneaux en langue française pour les remplacer par des panneaux monolingues dans la langue internationale majoritaire et observe ce qu'on en dira. Kergidu 8 février 2007 à 00:02 (CET)Répondre
On en dira que c'est idiot de vouloir mettre des panneaux en chinois au lieu de panneaux compris de tous, mais ça n'a toujours rien à voir avec de la « brittophobie ». NeuNeu 8 février 2007 à 12:36 (CET)Répondre
Par ailleurs, que cela plaise ou non à Luzmael Kergidu, en l'état actuel des choses la langue de la République française est le français et la Bretagne est une région française. La comparaison avec "la langue internationale majoritaire" n'est donc pas fondée. Une encyclopédie est là pour dire la vérité telle qu'elle existe et non telle que la rêvent certains ou la cauchermardent d'autres ! Lo2b 8 février 2007 à 18:11 (CET)Répondre
Je ne comprenais rien à cette remarque : Il y avait une raison, car elle m'est adressée par erreur.Luzmael 16 février 2007 à 14:38 (CET)Répondre
En réponse à Neuneu (il m' a fallu chercher la question qui date !) : La suppression de panneaux bilingues est en opposition déclarée avec les mesures officielles de défense de la langue bretonne - ceci avec d'autres mesures visant à donner un meilleur statut à la langue et à la culture bretonne. C'est en cela que cette action fait partie de la liste des exemples de brittophobie.--Luzmael 29 juin 2007 à 22:04 (CEST)Répondre
En fait, il s'agit surtout de l'opposition de maires et d'habitants de communes à une initiative privée, de l'association Bemdez en l'occurrence. Parler de brittophobie, quand il s'agit de Bretons... serait-ce la version bretonne de la "haine de soi"? Attis 30 juin 2007 à 02:09 (CEST)Répondre
Il ne s'agit nullement d'une initiative privée, c'est une décision du Conseil Général du Morbihan. ClaudeLeDuigou 30 juin 2007 à 19:39 (CEST)Répondre
En bon français, celui qui a l'initiative est le premier à proposer. S'il y a eu mobilisation du "mouvement breton" (qu'est-ce que ça veut dire? les nationalistes?) pour son adoption par le Conseil général, ce dernier n'est pas à l'initiative du projet. Du moins, si on respecte la langue. Ceci dit, on ne peut parler de "brittophobie" que si les élus bretons rejetant les panneaux ont exprimé une peur ou un rejet des Bretons ou de leur culture, d'"anticommunautarisme" s'ils ont combattu, selon eux, un communautarisme. D'après l'un des communiqués de Bemdez, les causes du rejet de maires n'est pas si "clair". Tu es sûr que la "brittophobie" n'est pas un terme exprimant le jugement "subjectif" du "mouvement breton" à l'égard d'un rejet qu'il considère comme une agression intolérable? En tout cas, cela nous renvoie surtout à une querelle entre Bretons et "brittophobie" semble plus une injure de "politique locale". Attis 30 juin 2007 à 21:31 (CEST)Répondre
Attis devrait vraiment apprendre le français ! Seul celui qui peut lancer un projet a l'initiative de ce projet. Les associations n'ont pu qu'influencer la décision de lancer le projet. Mais avant cette décision du Conseil général, il n'y a pas de projet et donc la seule initiative revient au conseil général. Quant à la définition de "brittophobie", je trouve que tu vas bien loin ... "haine de soi" "subjectif" ... Tu seras bientôt l'expert capable de définir ce qui est de la "brittophobie" et ce qui n'en est pas ? (lol)--Luzmael 30 juin 2007 à 23:11 (CEST)Répondre
1)Je te rappelle que tu n'as toujours pas explicité l'origine et l'emploi d'un néologisme si rare ("brittophobie") que l'on est autorisé à s'interroger sur son existence.
2)L'initiative est l'"action d'une personne qui est la première à proposer, entreprendre, organiser quelque chose" (dixit le Robert). Si des associations ont été les premières à proposer la mesure au Conseil général, qui l'a votée, elles en ont bien l'initiative.
3)Admettre que les "sentiments anti-bretons" peuvent être éprouvés par des Bretons, sous prétexte qu'ils s'opposent à des mesures concernant la langue bretonne, amène à s'interroger sur le caractère politique et subjectif du qualificatif de "brittophobe". Des Bretons éprouveraient des "sentiments anti-bretons"? En bref, ce seraient de "mauvais Bretons", mus par des idées "antinationales"... J'ai l'impression de me retrouver sous Vichy. Attis 1 juillet 2007 à 16:38 (CEST)Répondre
"Vichy": on appréciera le style...ClaudeLeDuigou 1 juillet 2007 à 17:41 (CEST)Répondre
1/ Cela a déjà été fait sur Wikipedia. Tu as des talents pour fouiller ... donc tu devrais trouver.
2/ Les associations n'ont rien "proposé" du tout. Elles ont "demandé", c'est différent. Elles n'ont aucune pertinence pour proposer mais elles peuvent influencer la prise de décision par leurs demandes.
3/ je ne peux pas sonder les sentiments anti-bretons de certains (à quel titre). Pour le reste, je te laisse à ton délire (même si tu es en progrès relatif puisque tu es passé de la chasse aux sorcières à Vichy).--Luzmael 1 juillet 2007 à 18:38 (CEST)Répondre
Parler de délire permet de ne pas répondre.
1)Tu n'as toujours pas référencé "brittophobie". D'ailleurs, cette partie est la reprise d'un article supprimé parce qu'il renvoyait à un néologisme. Si la "brittophobie" existe, quels documents la citent, voire la définissent?
2)Tu n'as pas répondu à la question des "bretons brittophobes". Des Bretons sont qualifiés de "brittophobes". Cela signifie donc que l'on peut rajouter cette phrase : "La brittophobie peut également désigner des Bretons opposés à des mesures favorables à la langue ou à la culture bretonne". À moins que tu n'aies un argument contraire valable, je rajoute. Attis 1 juillet 2007 à 20:41 (CEST)Répondre

..... De passage, je me permets d'apporter une précision importante : il s'agissait dans cette affaire de la protestation de certains Bretons contre des panneaux en langue bretonne imposés dans des villages où l'on n'a jamais parlé breton (ou plus parlé le breton depuis, au moins, le XVème siècle), et en imposant à des villages au nom français (non obligatoirement celtique, mais aussi latin) des noms inventés par un groupe militant qui cherche, selon l'idéologie constante du nationalisme en Bretagne, mais payé par le Conseil Régional, à "rebretonniser" la partie française, largement majoritaire, de la Bretagne, alors même que l'emploi naturel de la langue bretonne est en voie de disparition sur les lieux même où elle avait toujours été parlée. Cette polémique est analysée de façon éclairante par Françoise Morvan, dans un article publié sur le site du GRIB http://www.communautarisme.net/grib/L-Affaire-des-panneaux_a32.html?PHPSESSID=0fc26756be182844. Une dernière remarque : avoir à apporter cette précision dans un article, d'ailleurs ni fait ni à faire, sur "l'anticommunautarisme", à la sous-partie "brittophobie", est caractéristique. Toute protestation contre une quelconque décision politique impliquant, de près ou de loin, l'emploi de la langue bretonne, est considérée chez nous comme une "attaque contre la langue bretonne", voire comme un "acharnement" "anti-breton", et Attis a bien raison de faire attention à l'histoire de cette expression "anti-breton", ou "anti-français", ou "anti-soviétique", etc. Alain Derrien 1 juillet 2007 à 21:02 (CEST)Répondre

Si l'on parle de Françoise Morvan ou du GRIB on n'est en effet pas loin de l'acharnement anti-breton. Dans le même fil, je pourrais citer Alain Derrien lui-même sur wikipedia lorsqu'il se réjouit de la disparition de la langue bretonne : tu es clairement brittophobe, Alain !--Luzmael 1 juillet 2007 à 21:22 (CEST)Répondre
On se calme, de part et d'autre. Pour n'être pas aisée, la discussion est préférable aux volées de bois vert... Bon, pour avoir cherché sur Internet, "brittophobie" apparaît clairement comme d'usage local et essentiellement partisan (ex : parti breton). C'est exactement le genre de précision à apporter. Attis 1 juillet 2007 à 22:03 (CEST)Répondre

La vérité telle qu'elle existe

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J'aime bien cette phrase: "la" vérité telle qu'elle existe, dans sa totalité? ou seulement les petits bouts qui plaisent ici à l'un et là à l'autre? Je m'excuse d'abord d'avoir osé une tentative de réponse à une question esquissée. Si elles dérangeaient il ne fallait ne lire ni l'une ni l'autre. Il vaut mieux éviter la lecture si on veut garder sa foi intacte. A part cela, reconnaissons l'échec de l'école républicaine qui fait confondre le chinois et le breton. Les deux langues sont parlées dans la française république, l'une depuis plus longtemps que l'autre. C'est dans wikipédia, dans des articles politiquement et francocentriquement incorrects. Kergidu 8 février 2007 à 21:04 (CET)Répondre

Le raisonnement par l'absurde pour échapper à la question qui gêne. Ce n'est plus une page de discussion, c'est une page de poésie dadaïste! Que dire? Sinon être attérré... Attis 8 février 2007 à 22:05 (CET)Répondre

Atterris et respecte l'orthographe, à défaut de respecter l' égalité républicaine pour les langues, et qui s'appelle les droits civils et politiques à l'ONU, une bande de comploteurs communautaristes . Kergidu 9 février 2007 à 00:37 (CET)Répondre

Ah! la remarque est jolie (pour un simple écart oublié) de la part d'un type qui assassine l'orthographe dans la plupart de ses interventions! Ainsi : "Aterris"... Quand on veut donner des leçons, il vaut mieux être sûr de n'en avoir pas à prendre soi-même!

Tu as bien raison. Un rappel à l'ordre orthographique s'impose parfois, j'ai corrigé en conséquence. Mais "assassine" ne serait pas un tantinet exagéré?

Et merci d'arrêter tes attaques personnelles! Je n'ai jamais dit que je ne respectais pas l'égalité républicaine et je n'ai jamais évoqué de "comploteurs communautaristes". Tu serais assez aimable de cesser ton délire de la persécution et de garder tes fantasmes pour toi. Attis 9 février 2007 à 9:09 (CET)

Je m'excuse de ne pas avoir la blague hilarante. La différence de nos cultures respectives explique l'incompréhension humoristique entre nous. Ton "délire de la persécution" ne serait pas légèrement excessif? Kergidu 10 février 2007 à 10:11 (CET)Répondre

Apparement, Kergidu adore la provocation. Je viens de reverter toute une série de rajouts uniquement partisans et non informatifs. Qu'il soit en croisade en faveur de l'indépendance de la Bretagne ou de quoi que ce soit d'autre ne l'autorise pas à prendre des libertés avec la rigueur d'une encyclopédie. Attis 9 février 2007 à 10:39 (CET)Répondre

Merci du conseil utile, même si je ne croisade pour aucun schisme ni catéchisme (où l'aurais-je fait?), conseil dont je suis prêt à faire profiter tout le monde à la première occasion. Kergidu 10 février 2007 à 10:11 (CET)Répondre

Merci pour ce nouveau néologisme : "croisader"! Mais, tu sais, il existe déjà un verbe pour exprimer ton idée : c'est "se croiser". Attis 10 février 2007 à 13:03 (CET)Répondre
Certains néologismes enrichissent la langue (croisader), ce n'est pas forcément le cas de "communautarisme". Et puis après la "bravitude", fini le conservatisme linguistique. Kergidu 14 février 2007 à 16:54 (CET)Répondre
"Certains", tu l'as dit. L'enrichissement, c'est quand ils permettent de qualifier une nuance de pensée ou une réalité inédite. Quand il font doublon avec un terme, ce n'est pas d'enrichissement dont il s'agit, mais de confusion. Attis 14 février 2007 à 18:41 (CET)Répondre

Affirmation de l'anticommunautarisme

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Certains hommes politiques se déclarent publiquement anticommunautaristes :

  • Nicolas Sarkozy, avant d'affirmer que "le vote juif n'existe pas" (dimanche 11 février dans Arrêt sur Image sur la 5, émission qui lui était consacrée),
  • Jean-Marie Le Pen, à l'émission de Giesbert, sur la 5, dimanche 11 février, après avoir affirmé qu'"il n'y a pas d'immigration maghrébine".

Paragraphe inutile : la quasi-totalité des hommes politiques français se déclarent anticommunautaristes. Lo2b 13 février 2007 à 14:26 (CET)Répondre

Où vois-tu une guérilla d'édition?

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Luzmael, à mes demandes de référencement, tu réponds par l'effacement. Or, une information rigoureuse, notamment une citation, est celle dont on peut présenter la source. En rejetant cette demande, tu te montres partisan du moindre effort. De même, il n'y a pas d'introduction à cet article : il faut en créer une. Quant aux références TV et radio, ce n'est pas moi qui ai décidé qu'elles étaient insuffisantes, c'est la règle de Wikipédia (Wikipédia:Citez vos sources ou encore Wikipédia:Vérifiabilité). Relis-la et mets-toi au travail, avant de t'enfoncer dans le déni. Quand toi ou un autre l'aura fait, crois-moi, je serai le premier à m'en féliciter. Mon but n'est pas la suppression, mais l'amélioration de l'article. Pas la peine, donc, de creuser de tranchée. Attis 13 juin 2007 à 09:56 (CEST) Quant au POV, tu peux parfaitement dire : "Sarte a dit dans tel texte que...", mais pas "on peut dire avec Sartre (qui n'est pas cité) que...". Attis 13 juin 2007 à 10:13 (CEST)Répondre

L'affaire des panneaux

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Luzmael tient absolument au refus d'élus aux panneaux bilingues comme une marque de brittophobie. Problème : sa source est un forum d'habitants (c'est-à-dire une source à la scientificité et à la neutralité douteuses), les élux sont tout de même plutôt des Bretons (s'agirait-il de la fameuse "haine de soi"?) et, de tels refus, on n'en a pas qu'en Bretagne et à l'égard du breton. Parler de "brittophobie" est plus une interprétation de ce rejet. Mieux vaut dire, dans ces conditions, qu'untel affirme qu'il s'agit de brittophobie. Attis 21 juin 2007 à 09:09 (CEST)Répondre

Néologisme rare

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« La brittophobie (néologisme peu employé)... » On peut avoir des références? Cela nous permettrait de mieux cerner l'emploi de ce néologisme (militant, régional, scientifique...). Attis 23 juin 2007 à 23:53 (CEST)Répondre

Neutralité

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J'arrive sans doute "après la tempête", mais cet article n'est largement pas neutre, à commencer par son introduction : "une idéologie qui s'oppose à la reconnaissance publique de minorités". Comme proposé plus haut par Luzmael, c'est plutôt une opinion motivée par la volonté de défendre l'idéal républicain ! -- Norailyain 26 juin 2007 à 11:10 (CEST)Répondre

C'est effectivement un peu étonnant. j'ai essayé de relativiser un peu les termes. Je prendrai plus de temps pour lire l'article et la discussion. --Gracque 6 octobre 2007 à 00:12 (CEST)Répondre
Il est tout de même curieux d'assimiler les anticommunautaristes à des racistes et à des xénophobes alors que ce sont plutôt les communautaristes qui exercent une forme de racisme et de xénophobie. Cet aspect de l'article manque donc de neutralité.Phil94 (d) 6 janvier 2008 à 14:24 (CET)Répondre

article orienté

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Nous retrouvons plusieurs foix le terme "islamophobe" mais il y a un paragraphe "communauté juive" parlant de radicalisme. L'article est totalement orienté, bien qu'insinueusement. Il faut parler une fois pour toutes des dérives possibles de l'anticommunautarisme sans préférence, et parler de tous les communautarismes exxistant, sans en stigmatiser un. Le rédacteur voudrait occulter le communautarisme d'un certain milieu musulman je trouve.

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