Discussion:Alliances électorales du Front national

Dernier commentaire : il y a 15 ans par Maurilbert dans le sujet Bandeaux "pertinence" et "admissibilité"
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Formule de propagande modifier

Qualifier l'accord de Dreux de « purement tactique » est un mensonge d'une grossièreté infinie. Le FN a participé pleinement à la gestion municipale, avec, notamment, le poste d'adjoint à la sécurité, confié à Jean-Pierre Stirbois, n° 2 du FN. Cet accord rappelait également qu'en 1983, il n'y avait qu'« un ruisseau » (la formule est de Jean-Yves Le Gallou) entre droite et FN. La plateforme RPR-UDF-CNIP de janvier 1986 est mise en exergue par le club de l'horloge pour rappeler la convergence entre les partis de droite gouvernementale d'une part, le FN d'autre part. L'accord de Dreux n'est pas un accident, c'est la conséquence logique du positionnement idéologique de la droite dans les années 1980. --Lucrèce 28 août 2006 à 18:43 (CEST)Répondre

Pour le bêtisier juridique modifier

"Jean-Marc Matthieu, responsable du FN en Haute-Savoie, participe à la campagne du ministre des Finances, en tant qu'actionnaire de la société SERVICE, laquelle a imprimé et diffusé, pour le compte des Républicains indépendants une série de tracts très hostiles à François Mitterrand et à la gauche (selon Joseph Algazy). Je ne sais pas qui est ce Algazy mais s'il écrit cela texto, il ne démontre rien sauf sa nullité abyssale en droit commercial. Parce que si un actionnaire est responsable de la conduite de la société dont il possède des actions, alors je vais vérifier où en sont mes stock options. Georgio 29 août 2006 à 16:40 (CEST)Répondre

Joseph Algazy est ancien professeur à l'université de Tel-Aviv et rédacteur au quotidien Ha'aretz. La société SERVICE, ce n'est pas Total ou General Electric ; c'était une société où les actionnaires étaient tous des militants politiques et collaboraient ensemble, principalement pour la rédaction de tracts lors des campagnes électorales. Cette histoire est bien connue, M. Algazy en parle, Frédéric Charpier aussi, plus longuement et plus explicitement, dans Génération Occident. Avant de nous faire un cours de droit amusant, revoyez donc vos cours d'histoire. --Lucrèce 29 août 2006 à 16:57 (CEST)Répondre
J'ai fait des études supérieures de droit et d'histoire ce qui me donne une vision plus large et me permet de relever ce genre d'inepties. Un actionnaire n'est pas le gérant d'une société. Il n'a pas de pouvoirs décisionnaires. Aucune mention d'ailleurs de la forme de cette société. La confusion est très courante entre les actions (très étonnant en l'occurrence pour une société de militants) et les parts sociales. Est-ce une SA, une SARL ? Rien n'est dit. Sauf qu'un type se retrouve à participer "à la campagne du ministre des Finances, en tant qu'actionnaire de la société SERVICE". Cette démonstration, qui n'en est pas une, est à mourir de rire et, si elle est textuellement ainsi rédigée, en dit long sur le sérieux de ces journalistes (notamment celui de l'ex-Vrai journal). Georgio 29 août 2006 à 17:07 (CEST)Répondre
Cette question est assez marginale pour le sujet (qui concerne davantage le PFN), et je n'ai pas Génération Occident sous la main. Je confirme cependant que vous ne connaissez rien à la société SERVICE, et que j'en reparlerai quand j'aurai tout le matériel nécessaire à disposition. Cette société était petite, et ne regroupait que des gens se connaissant bien, militant ou ayant milité à l'extrême droite, et voulant rendre service à la droite, du moins la droite giscardienne. Il est fort possible que ce soit une SARL, et que, par conséquent, il faille plutôt parler de porteur de part, en toute orthodoxie juridique, mais Joseph Algazy citait un journal (sans émettre une seule réserve sur le faits, je précise), d'où la confusion possible. --Lucrèce 29 août 2006 à 17:19 (CEST)Répondre
Je n'ai jamais prétendu connaitre la société SERVICE mais le DROIT DES AFFAIRES, lui je le connais et l'affirmation présentée est une abhération juridique. Si c'est une petite société comme je le présumais, ce n'était certainement pas une société par actions. Si c'est une SARL (ca peut être une SNC quelconque, voire une société de fait), le fait qu'il soit détenteur de parts sociales ne l'implique pas dans la gestion de la société, à moins qu'il ne soit le détenteur majoritaire de ces parts sociales et qu'il soit le gérant de droit (ou de fait, à prouver) de cette société. Georgio 29 août 2006 à 17:27 (CEST)Répondre

CNI et phase non finie modifier

En septembre 1988, le nouveau dérapage verbal de Le Pen sur « Durafour crématoire » provoque les démissions de nombreux anciens élus de droite qui avaient ralliés le FN, à l'instar de François Bachelot ou de Pascal Arrighi. Le CNI en accueille la majorité. Le député Yann Piat est exclue du mouvement en octobre et adhère à l'UDF.
Mais qu'est que le CNI ? Est-ce le Centre national des indépendants et paysans ?

Sinon au début de l'article on a :
Le FN refuse d'appeler officiellement à voter pour le candidat de gauche. Il a en effet choisi, parmi ses thèmes de la campagne, la dénonciation virulente du nouveau « Front populaire »[1]. Cependant, Georges Frêche intervint personellement pour plaider sa cause auprès d'une quinzaine de militants FN où il dénonça les « criminels gaullistes ». Frêche, donné perdant, est cependant élu contre le candidat UDR de quelques centaines de voix. L'attitude du candidat socialiste ne provoque à l'époque aucun commentaire offusqué de la direction du parti socialiste [2]. Cette
Donc une phrase non finie ^^' Pallas4 7 septembre 2006 à 07:31 (CEST)Répondre

Correction effectuée sur l'article. Georgio 7 septembre 2006 à 10:46 (CEST)Répondre

Le cas Raoult modifier

Effectivement, l'élection d'Éric Raoult dépend du score du candidat FN, mais cela n'est vrai que depuis 1993, voire depuis 1997. En 1988, le candidat FN n'était pas présent au second tour. --Lucrèce 8 septembre 2006 à 19:09 (CEST)Répondre

Le sottisier historique modifier

Jean-Claude Martinez n'a jamais appartenu au PS, il a fréquenté des membres du PS pour « préparer une thèse sur la psychanalyse du PS », selon ses propres termes (Les Dossiers du « Canard enchaîné », n° 69, octobre 1998, p. 48). Il a revanche milité au RPR et même été le « délégué aux idées » (sic) de Bernard Pons.

Comme je l'ai déjà dit, Éric Raoult et les autres n'avaient à craindre aucune triangulaire, puisque, suite à l'accord de Marseille, il n'y a eu aucune triangulaire, sauf dans deux circonscription où aucun des vaillants députés RPR dont il est question dans l'article ne se présentait.

Parler de « sévère défaite » pour les cantonales de 1985, c'est se f... du monde, c'est bien FOG. En voix, le PS avait un niveau tout à fait correct. C'était une défaite, mais rien d'alarmant, contrairement aux européennes de 1984.

Le déplacement d'1 % des voix permet de faire basculer de nombreux députés. Donc, le sondage du Fig mag en février 1986 n'avait rien pour rassurer la droite. Que vous plaise ou non, Georgio, l'avance de la droite dans les sondages, confortable à l'été 1985, s'est amenuisée jusqu'à devenir extrêmement faible. Cela s'est soldé par deux sièges d'avance. --Lucrèce 8 septembre 2006 à 23:42 (CEST)Répondre

Je me fous de ce que vous pensez de FOG. Vous n'avez pas à le cennsurer.
Vous avez déjà été rappelé à l'ordre pour vos citations tronquées et encore à "présent". A chaque fois que quelqu'un peut vérifier votre documentation et vos citations, votre mauvaise foi est démontrée (ah le fameux RPF, parti fasciste selon René Rémond). Votre militantisme est tellement patent que vous ne pouvez jamais intervenir sur un article plus ou moins politique sans le transformer en foire d'empoigne. Et c'est toujours plus ou moins en rapport avec Mitterrand, De Gaullle et le Front National, comme par hasard. Ouvrez donc un blog comme il vous a été proposé. Vous y régleriez vos comptes. D'ailleurs vous écriviez sur le site "Lionel.Reviens", pourquoi ne pas continuer ? Et Lionel va peut-être revenir. Georgio 9 septembre 2006 à 18:27 (CEST)Répondre
Il est question de faits. FOG, en bon journaleux de droite sectaire, tord les faits. Or, le résultat du PS interdit à toute personne censée de parler de « sévère défaite », ce n'est pas du tout ainsi que cette élection est présentée par les autres commentateurs.
Vous ne me répondez pas sur le reste, préférant l'attaque personnelle mensongère. --Lucrèce 9 septembre 2006 à 18:44 (CEST)Répondre

Gros mensonge sur les élections de mars 1986 modifier

Georgio essaie de faire figurer dans l'article que les listes de droite (sans le FN) auraient obtenu plus de voix que les listes de gauche aux élections régionales de 1986. C'est grossièrement faux, du moins pour certaines régions. Prenons le cas de la Haute-Normandie. En Seine-Maritime, la liste PS-MRG obtient 202 534 voix, la liste PCF, 72 128 voix, et la liste d'union de la droite 234 075 voix. Dans l'Eure, la liste PS-MRG obtient 79 566 voix, la liste PC, 22 394, la liste UDF, 65 215, et la liste RPR, 44 002. Au total, les listes de gauche obtiennent donc 376 590 voix, contre 343 292 à la droite. --Lucrèce 9 septembre 2006 à 18:59 (CEST)Répondre

Encore des manip grossères de Lucrèce. Déjà , René Rémond dans Notre siècle (1988) p 883, à propos des élections cantonales, cite "les défaites successives de la Gauche" qui perd alors encore "7 présidences de départements" n'en détenant plus que 28 contre 71 à la Droite. Pour les régionales, p 889, il note la supériorité de la droite de 10 % par rapport à la gauche en excluant les extrêmes. Drôle d'oublier dans les additions en Haute Normandie les listes divers droites. Et surtout de faire une généralité alors que le résultat global est incontestable, même avec la plus parfaite mauvaise foi. Georgio 9 septembre 2006 à 19:11 (CEST)Répondre
Les élections cantonales furent une défaite, mais, en voix, je l'ai dit et je le répète, ce n'est pas une sévère défaite, adjectif impropre que vous ne justifiez nullement, puisque vous parlez des sièges (là, c'est plus douloureux, vu le découpage des cantons). De même, vous incluez l'extrême droite dans le total droite, alors que vous l'en distinguez dans votre version, pour justifier insidieusement l'alliance avec le FN. J'ai inclus toutes les listes de droite dans mes calculs, de même que pour la région Languedoc-Roussillon :

Aude : gauche, 89 627 ; droite, 66 734 Gard : gauche, 140 477 ; droite, 109 320 Hérault : gauche, 172 164 ; droite, 142 256 Lozère : gauche, 14 781 ; droite 28 464 Pyrénées-Orientales : gauche, 77 478 ; droite, 69 834

Soit au total, 494 527 voix pour la gauche, et 416 608 pour la droite. --Lucrèce 9 septembre 2006 à 19:21 (CEST)Répondre

C'en devient orwellien modifier

Je viens de revérifier dans la Base élection du monde.fr, il n'y a aucune liste divers droite dans l'Eure, ni en Seine-maritime lors des élections régionales de mars 1986. Georgio ment comme il respire, c'est scandaleux. --Lucrèce 9 septembre 2006 à 19:26 (CEST)Répondre

Non, en fait le PS a gagné toutes les élections depuis 1981 et si ce n'est pas apparu, c'est à cause du découpage électoral. Franz Olivier Giesbert et René Rémond sont des bonimenteurs mais Eric Zemour, l'ancien chroniqueur de Stéphane Bern sur Canal + est au dessus-de tout soupçon (ilest contributeur dans Le Figaro tout de même). Enfin, sa version donne foi à celle du très mitterrandien Pierre Favier. Voilà en fait la réelle pensée de Lucrèce.
Je suis fatigué d'aller voir vérifier toutes ses assertions, la plupart du temps tronquées. Il y avait des candidats divers droites dont certaines ont plombé les listes UDF/RPR mais ce n'est m^me pas le sujet de l'article.
Soyons clair, LE FN et la droite, c'est la même chose et Mitterand a été un grand, voire le seul, résistant face à Pétain, Salan, De Gaulle et Le Pen. Georgio 9 septembre 2006 à 19:50 (CEST)Répondre

1986/1992 : des alliances programmatiques et indispensables modifier

Contrairement aux mensonges grossiers que diffuse Georgio (se croyant sur le site de l'UMP), les alliances de 1986/1992 étaient, dans certaines régions du moins, indispensables à la droite pour obtenir la présidence, et programmatiques. En effet :

— Comme l'indique Le Monde du 17 septembre 1987 (« De la Normandie à la Côte-d'Azur ») : « Dans cinq régions, l’union de la gauche détient la majorité relative, si les élus UDF et RPR ne s’associent pas avec ceux du Front national. Il s’agit de l’Aquitaine, présidée par M. Jacques Chaban-Delmas (RPR), de la Franche-Comté, dirigée par M. Edgar Faure (UDF-rad.), du Languedoc-Roussillon de M. Jacques Blanc (UDF-PR), de la Haute-Normandie, dont M. Roger Fossé (RPR) est responsable, et de la Picardie, dont le président est M. Charles Baur (UDF-PSD). Les budgets, pour 1987, de ces cinq régions ont tous été adoptés avec l’appui des élus du FN, parfois au prix de nombreuses difficultés, comme en Aquitaine. »

— En effet, le budget 1987 de l'Aquitaine n'a été adopté que grâce aux concessions de Jacques Chaban-Delmas au FN (« M. Chaban-Delmas ayant fait des concessions — Le budget de l’Aquitaine est voté avec l’appoint du Front national », Le Monde, 11 février 1987).

— À partir de 1988, l'alliance droite/FN au conseil régional de Franche-Comté est devenu un programme commun régional en bonne et due forme, comme l'a publiqué déclaré le président élu suite au décès d'Edgar Faure : « Il n’y a eu d’accord avec le Front national que sur un programme. » (cité dans « Au conseil régional de Franche-Comté — M. Chantelat admet que la majorité a passé un “accord-programme” avec le FN », Le Monde, 20 avril 1988).

— Jacques Blanc a signé un programme commun régional avec le FN dès 1986, appelé « programme d’action » (« Le Pen et Pandraud se passent le sel », L'Humanité, 30 juin 1997).

— En PACA, ce fut une cogestion explicite et assumée (cf. par exemple Frédéric-Joël Guilledoux, Le Pen en Provence, éd. Fayard, 2004).

— Et la liste n'est pas close, mais je m'arrête là pour le moment. --Lucrèce 10 septembre 2006 à 15:41 (CEST)Répondre

Il n'y a pas d'Union de la gauche mais une liste PS/MRG et une liste PCF. Seuls les voix de ces deux listes leurs donnent une majorité relative mais non absolue. Le groupe le plus important reste celui de l'Union de la Droite RPR/UDF. Le groupe FN est dans tous les cas dans la position de celui d'un arbitre. Tiens, vous citez l'Humanité maintenant ? Quant c'est moi, vous le rejetez? bizarre, non ? Bonnes vacances tout de même.  Georgio 14 septembre 2006 à 10:21 (CEST)Répondre

Protection modifier

Cette page est protégée, je pense qu'il est superflu d'en détailler les motifs. Inisheer :: Canal 16 10 septembre 2006 à 00:39 (CEST)Répondre

Bandeaux "pertinence" et "admissibilité" modifier

Bonjour! Cette page étant dorénavant plus stable qu'elle ne l'a déjà été (euphémisme), je propose:

  • de retirer le bandeau {{pertinence}} apposé jadis, au plus fort d'un conflit d'édit, par un contributeur aujourd'hui bloqué.
  • de retirer le bandeau {{admissibilité}}, apposé récemment par un contributeur qui a pourtant largement contribué auparavant à cet article, consacrant, selon moi, par le fait même, son admissibilité.

Merci! --Maurilbert (discuter) 4 mai 2008 à 18:51 (CEST)Répondre

mes deux propositions ci-dessus n'ayant appelé aucune réaction au bout de presque 1 semaine, je retire donc les 2 bandeaux. --Maurilbert (discuter) 11 mai 2008 à 17:15 (CEST)Répondre
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