Diamanthina van’t Ruytershof

jument BWP

Diamanthina van’t Ruytershof (née le à Sint-Niklaas, morte en juin 2023) est une jument de robe noire inscrite au stud-book du BWP.

Diamanthina van't Ruytershof
Informations
Espèce
Race
Couleur
Sexe
Date de naissance
Date de décès
Lieu de décès
Taille
1,75 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Mère
Carthina Z (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Inathina van't Ruytershof (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Elle est montée en saut d'obstacles par les cavaliers belges Niels Bruynseels et Constant van Paesschen, avec lesquels elle atteint le plus haut niveau. Elle devient ensuite reproductrice, atteignant des records de prix à la vente de ses embryons.

Histoire

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Diamanthina van’t Ruytershof naît le [1], à l'élevage de Bert van den Branden[2], situé à Sint-Niklaas en Belgique[3].

Elle est formée au saut d'obstacles et suit une carrière sportive au plus haut niveau, en même temps que son frère étalon Emerald van't Ruytershof[4]. L'élevage van de Helle en fait l'acquisition en 2010[4]. Elle est montée dans un premier temps par le cavalier belge Niels Bruynseels qui atteint avec elle le niveau international en 2011 et 2012[4]. Elle est récupérée par un autre cavalier belge mi-2023, Constant van Paesschen, qui la monte à 1,45 m et atteint le niveau 5 étoiles lors de s dernière année sportive[4].

Après sa carrière sportive, en 2015, elle est récupérée à l'élevage van de Helle tenu par Paul Maïs et Edith Dereys[4]. Elle y meurt en juin 2023, peu de temps avant ses 20 ans[4],[5], des suites de coliques[6].

Description

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Diamanthina van’t Ruytershof est une jument de robe noire inscrite au stud-book du BWP[2]. Elle mesure 1,75 m[3].

Palmarès

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Origines

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Diamanthina van’t Ruytershof est une fille de l'étalon Selle français Diamant de Semilly, et d'une jument Zangersheide, Carthina Z, par Carthago[2],[3]. Elle présente donc des origines partiellement françaises, aussi bien côté paternel que côté maternel puisque sa grand-mère maternelle est une fille du Selle français Lys de Darmen[8].

Elle présente 35,95 % d'origines génétiques Pur-sang selon le site web Hippomundo[9].

Descendance

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Elle est considérée comme une excellente jument reproductrice[4], ainsi qu'une jument emblématique de par les performances de son frère Emerald[8]. La valeur commerciale de sa descendance s'est nettement accrue car elle est très recherchée par les éleveurs[8].

En dehors de sa carrière sportive, Diamanthina a donné douze poulains à partir de plusieurs embryons par an, dont Kentucky, Le Blue Diamond van’t Ruytershof, et Inathina van’t Ruytershof, la sœur de Kentucky[4]. Le Blue Diamond a été sacré champion de la Pavo Cup avec Jan Vermeiren[8].

Sa fille Utrella van de Helle (par Echo van het Spieveld et Heartbreaker) a été vendue en 2020 pour la somme de 94 000 euros[7].

Ses premiers poulains van de Helle sont nés en 2018, et le total de ses descendants van de Helle est de 18[4]. Ses embryons atteignent un record de prix lors des ventes Fences de 2021, avec 61 000 euros déboursés pour un embryon par Chacfly[10],[8].

Notes et références

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  1. (en) « Diamanthina vd Ruytershof », Fédération équestre internationale (consulté le ).
  2. a b et c « Informations générales de DIAMANTHINA VAN'T RUYTERSHOF - Info chevaux », sur infochevaux.ifce.fr, Institut français du cheval et de l'équitation (consulté le ).
  3. a b et c (en) « Diamanthina van’t Ruytershof », sur HorseTelex (consulté le ).
  4. a b c d e f g h i et j Massias 2023.
  5. (en) « Diamanthina van 't Ruytershof passed away », sur Equnews International, (consulté le ).
  6. Julien Counet, « Diamanthina s'en est allée », sur So Horse, (consulté le ).
  7. a et b Laura Petit, « Diamanthina van het Ruytershof s’en est allée », sur grandprix.info, Grand Prix magazine, (consulté le ).
  8. a b c d et e La rédaction, « Diamanthina van't Ruytershof s'est éteinte », sur L'Éperon, (consulté le ).
  9. « Diamanthina van't Ruytershof », sur hippomundo.com (consulté le ).
  10. Julien Counet, « Diamanthina van't Ruytershof, reine de Fences », sur studforlife.com, (consulté le ).

Annexes

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