Château de La Caillère

Le château de La Caillère est situé sur la commune de La Caillère-Saint-Hilaire, au sud du département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Château de La Caillère
Présentation
Construction
XIIIe siècle
Restauration
Localisation
Pays
France
Division administrative
Vendée
Commune
La Caillère Sainte Hilaire
Région historique
Bas-Poitou

Environnement

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Le château est situé dans un paysage de bocage calcaire, dans un talweg humide.

Histoire

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Après avoir rencontré le dauphin Charles à Chinon, Jeanne d'Arc y aurait séjourné en 1429 alors qu'elle se rendait à Poitiers pour y être interrogée[1]. Son hôte à Poitiers était maître Jean Rabateau, avocat général au Parlement de Paris replié à Poitiers et sieur de La Caillère[2].

Architecture

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Parc du château de La Caillère (bassins en cascade).

Château fortifié bâti au XIIIe siècle par Guillaume de La Caillère, il aurait été démoli durant la Révolution française[3]. Seule une tour subsiste de cette époque qui a donné son nom à la rue adjacente (rue de la tour)[4]. Sur le cadastre Napoléonien de 1825, une autre « tour », située plus au Sud, est mentionnée en ruine et pourrait faire partie de l'ancien château médiéval. Elle n'est plus visible.

Au XXIe siècle, la propriété de la tour dite « le château de la Caillère » qui se situe en face du parvis de l’église est composée d'une maison de maître datée de la moitié du XIXème Siècle qui fut agrandie vers 1920.

Notes et références

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  1. Abbé Louis Delhommeau, La Caillère. Essai d'histoire locale., Le livre d'histoire, , 150 p. (ISBN 2-84373-439-8).
  2. Henri Daniel-Lacombe, L'hôte de Jeanne d'Arc à Poitiers, maître Jean Rabateau., Paris, E. Lechevalier, , 192 p. (lire en ligne), p. 1-2.
  3. Abbé Armand Barraud, La Caillère : monographie d'une paroisse du Bocage vendéen, Vannes, Imprimerie Lafolye, , 48 p. (ISBN 2-0128-5894-5, lire en ligne), page 8.
  4. Guy de Raigniac, De châteaux en logis - Itinéraires des familles de la Vendée - Les Archives de Guy de Raigniac - Tome VIII (Relié), Éd. de Bonnefonds, , 244 p. (ISBN 978-2-9505-1732-6), pages 89-93.

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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