Cœur d'Aryenne

livre de Jean Malonga

Cœur d'Aryenne est un roman de Jean Malonga. Sa première publication, en 1953, est commémorée comme l'acte de naissance de la littérature congolaise[1],[2]. La célébration du soixantième anniversaire de celle-ci en 2013 a été suivie d'une réédition de l'œuvre aux éditions Hémar et Présence africaine[3],[4].

Cœur d'Aryenne
Auteur Jean Malonga
Pays Afrique Équatoriale Française
Drapeau de la république du Congo République du Congo
Genre Roman
Éditeur Présence Africaine
Lieu de parution Paris
Date de parution 1953
Chronologie

Le texte traite plusieurs thèmes souvent repris par la suite dans de nombreux romans congolais : l'identité culturelle, le métissage racial, l'unité nationale, la réhabilitation de l'opprimé et la coexistence pacifique des communautés[5].

Résumé

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Véritable histoire d'amour entre le jeune noir Mambéké, fils de Yoka et de Dongo, et la jeune blanche Solange, fille de Roch Morax ; toute la fiction se déroule à Mossaka en Afrique-Équatoriale française lors de la colonisation européenne. Négrophobe, violent et raciste, Roch Morax veut à tout prix mettre fin à cette relation si forte. Un jour, quand il découvre que sa fille est enceinte d'un noir, il cherche à nuire à celui-ci et à l'enfant par des menaces. Solange est prête à tuer son propre père au nom de l'amour afin de protéger son enfant[6],[5].

Notes et références

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  1. Myriam Matondo Nkenda, « L'Union des écrivains et artistes congolais (UNEAC) célèbre les 60 ans de la littérature congolaise », Le Troubadour,‎ (lire en ligne)
  2. Loïcia Martial, « L’institut français célèbre le 70e anniversaire de la publication du premier roman congolais », Radio France internationale,
  3. « Cœur d'Aryenne », sur Presenceafricaine.com
  4. Hermione Désirée Ngoma, « Littérature : le roman Cœur d'Aryenne réédité soixante ans après sa parution », sur Adiac-Congo.com,
  5. a et b Liss Kihindou, « Cœur d'Aryenne, de Jean Malonga », sur Valets des livres,
  6. « Le Cœur d'Aryenne de Jean Malonga, de nouveau en libraire », sur JournaldeBrazza.com,