Barbara Vanderlinden

Curatrice, critique d'art, historienne de l'art, écrivaine belge

Barbara Vanderlinden, née en 1965, est une critique d'art, éditrice et commissaire d'exposition belge.

Barbara Vanderlinden
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A travaillé pour

Son travail de commissaire tout au long des années 1990 est lié à Roomade[Qui ?] et à son Laboratorium (art exhibition)[Quoi ?][1].

Biographie

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Barbara Vanderlinden a occupé le poste de directrice de la « Brussels Biennial »[2],[3] et a organisé plus de cinquante expositions et diverses biennales internationales, y compris la « Taipei Biennial: Do You Believe in Reality? »[4],[5] au Taipei Fine Arts Museum (en); « Manifesta 2, biennale européenne d'art contemporain »; « Generation Z »[6] au MoMA PS1 à New York, et Two Hours Wide, Two Hours Long 58/98 au Centre culturel de Belém à Lisbonne.

Plus récemment[Quand ?], elle a occupé le poste de professeure et directrice du centre d'étude et de recherche Exhibition Laboratory de l'Université des arts d'Helsinki (Taideyliopisto) en Finlande, où elle a organisé « Laboratory of Hearing »[7].

Auparavant, elle a été professeure et initiatrice (2001) du nouveau programme Gwangju Biennale International Curator Course[8] de la Biennale de Gwangju, à Gwangju en Corée du Sud ; professeure associée en études curatoriales pour le CCS Bard Master of Arts Program in Curatorial Studies à Annandale-on-Hudson aux États-Unis; professeure associée (2004-2008) en études curatoriales et histoire des expositions à San Francisco Art Institute (SFAI) aux États-Unis.

Elle est l'auteure d'un ouvrage de référence[réf. nécessaire] en matière d'histoires d'expositions et des biennales en Europe intitulé : The Manifesta Decade: Debates on Contemporary Art Exhibitions and Biennials in Post-Wall Europe [La décennie manifeste : débats sur les expositions d'art contemporain et les biennales en Europe après la chute du mur de Berlin] (MIT Press. 2005).

Elle travaille sur une série de publications consacrée à la nouvelle génération d'artistes contemporains, intitulée : Prognostics ,sorties en mars/. Elles sont consacrées au travail des artistes Amalia Ulman, Ho Rui An et Jaakko Pallasvuo.

Notes et références

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  1. Claire Bishop, Antagonism and Relational Aesthetics in October 110, 2004. October Magazine, Ltd. Massachusetts, USA: Massachusetts Institute of Technology, p. 51. [en ligne]. [Consulté le 03.01.2016]. Disponible à l’adresse : [1]
  2. Anonieme, 2008, « Première Biennale de Bruxelles ». Dans : lalibre.be, 11 septembre 2008 [en ligne]. [Consulté le 03.01.2016]. Disponible à l’adresse : [2]
  3. Miss Cinnamon, 2008. « Biennale de Bruxelles 1 - La kaléidoscopie moderne », miss-cinnamon.over-blog.com, 10 octobre 2008 [en ligne]. [Consulté le 03.01.2016]. Disponible à l’adresse : [3]
  4. Anonieme, 2004, Taipei Biennial. Dans: universes-in-universe.org [en ligne]. [Consulté le 03.01.2016]. Disponible à l’adresse : [4]
  5. Anonieme, 2004. « Taipei Biennial ». Dans : e-flux.com[en ligne]. [Consulté le 03.01.2016]. Disponible à l’adresse : [5]
  6. Klaus Biesenbach, Alanna Heiss, Barbara Vanderlinden, 1999. « Generation Z ». Dans :momaps1.org [en ligne]. [Consulté le 03.01.2016]. Disponible à l’adresse : [6]
  7. Anonieme, 2015. « Announcements: Laboratory of Hearing, University of the Arts Helsinki », 2015. Dans : artandeducation.net[en ligne]. [Consulté le 03.01.2016]. Disponible à l’adresse : [7]
  8. Anonieme, 2009. « Announcements: Gwangju Biennale International Curator Course », 2015. Dans : artandeducation.net[en ligne]. [Consulté le 03.01.2016]. Disponible à l’adresse : [8]

Liens externes

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