Albert von Seckendorff

Albert Evan Edwin Reinhold von Seckendorff (né le à Ebersdorf - mort le au château de Brand (de) près de Marktredwitz) est un officier de marine allemand, un diplomate et un maréchal de la cour du prince Henri de Prusse.

Albert von Seckendorff
Albert von Seckendorff
Fonction
Ambassadeur d'Allemagne au Venezuela (d)
Titre de noblesse
Baron
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 72 ans)
Château Brand (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
MarineoffizierVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Conflit
Distinctions

Biographie

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Il est le fils d'Adolf von Seckendorff (de). En 1890, Otto von Bismarck charge Seckendorff, vice-consul d'Allemagne à Tianjin, de défendre les intérêts de l'AG Vulcan Stettin. Seckendorf parvient à obtenir des renseignements du général Li Hongzhang sur les délibérations à la cour et intervient en faveur de l'AG Vulcan Stettin auprès du vice-roi Liu Kungyi Nanyang für die AG Vulcan Stettin aus[1]. Entre son séjour à Shantou et à Tianjin, Seckendorff achète le château Brand en 1890 alors propriété de Johanna von Voß, née baronne von Beust.

Le , Seckendorff reçoit la charge de maréchal de cour du prince Heinrich von Preußen avant d'être intronisé officiellement le . Il reste à ce poste jusque la fin de la monarchie en Allemagne le . Au début de l'année 1902, Seckendorff accompagne Henri de Prusse dans une visite d'État aux États-Unis. En 1913 et 1915, Seckendorff obtient des audiences auprès de Sun Yat-sen lors de missions diplomatiques.

Du au , il est mis à disposition du commandant suprême des forces armées en mer Baltique.

Bibliographie

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  • (de) Hans H. Hildebrand/Ernest Henriot, Deutschlands Admirale 1849-1945 Band 3: P-Z (Packroß bis Zuckschwerdt), Biblio Verlag, Osnabrück 1990, (ISBN 3-7648-2482-4)

Références

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  1. (de) Chunxiao Jing, Mit Barbaren gegen Barbaren. Die chinesische Selbststärkungsbewegung und das deutsche Rüstungsgeschäft im späten 19. Jahrhundert., LIT Verlag Münster, 2002, p. 139.

Liens externes

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