Saint-Césaire-de-Gauzignan

commune française du département du Gard
Saint-Césaire-de-Gauzignan
Saint-Césaire-de-Gauzignan
Saint-Césaire de Gauzignan, vue de la route de Saint-Maurice.
Blason de Saint-Césaire-de-Gauzignan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Frédéric Gras
2020-2026
Code postal 30360
Code commune 30240
Démographie
Population
municipale
389 hab. (2021 en augmentation de 3,18 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 50″ nord, 4° 12′ 20″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 202 m
Superficie 6,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Alès-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Césaire-de-Gauzignan

Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Droude, le ruisseau de la Candouillère et par divers autres petits cours d'eau.

Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune rurale qui compte 389 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Césairiens ou Saint-Césairiennes.

Géographie modifier

Saint-Césaire-de-Gauzignan se situe à 28 km de Nîmes, 17 km d'Alès, 18 km d'Uzès, 57 km d'Avignon et 61 km de Montpellier.

Les communes notables les plus proches sont :

Communes limitrophes de Saint-Césaire-de-Gauzignan
Alès Euzet Saint-Jean-de-Ceyrargues
Anduze   Uzès
Lédignan Moussac Castelnau-Valence

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 892 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 3,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Deaux à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 14,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 967,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[7],[8],[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[I 1],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (63,9 %), zones agricoles hétérogènes (18 %), forêts (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,2 %), terres arables (0,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Droude et le ruisseau de la Candouillère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1987, 1993, 1994, 1997, 2001, 2002 et 2010[15],[13].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Césaire-de-Gauzignan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 165 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 165 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1983[13].

Histoire modifier

Les origines du village remonteraient au VIe siècle,  période à laquelle des moines arrivèrent en provenance de l’abbaye de Saint-Victor de Marseille. Ils avaient défrichés des terrains pour y planter diverses cultures. Ils construisirent également sur un promontoire ce qui allait devenir plus tard l’église paroissiale,  puis de nos jours le temple.

Le village doit son nom à Césaire d’Arles qui était moine puis évêque d’Arles. Il naquit vers 470 à Chalon-sur-Saône et décéda le à Arles. La trace écrite la plus ancienne  qui relate la présence d’un groupe d’habitants remonte à 1033.

Le nom de la commune évolua au fil des siècles. Il faut remonter en 1295 pour y trouver une des premières nominations : Villa Santi-Cesarü. Cette année-là, le village dépendait de Vézénobres et comptait 53 feux (foyers).

Par la suite, le village se nomma Grasilhanum (1310), Sanctus-Cesarius (1384), Prieuré Sainct-Cézary de Gaussignane (1620), Saint-Césaire-de-Gauzignan (1744) et Saint-Césaire-de-Grasignan (1789).

Le blason du village est de gueules au pal losangé d’argent et de sinople.

En 1295, le village fait partie de la viguerie d’Uzès.

En 1395, on note une baisse sensible de la population avec seulement 4 feux et demi.

Au XVIe siècle, Guillaume Calvière est le seigneur de Saint-Césaire-de-Gauzignan. Il est nommé consul de Nîmes en 1574.

En 1620, le village est uni au chapitre collégial de Beaucaire. Cette même année, les protestants construisent un temple sur un terrain offert par Pierre de Calvière. L’édit de Nantes de 1598 oblige les protestants à rendre le bâtiment au culte catholique. Le temple est détruit lors de la révocation de l'édit de Nantes en 1685. L’ancienne église accueille alors l’ensemble des habitants qui souhaitent vivre leur culte.

Le village est marqué par l’histoire du protestantisme, notamment le secteur de la Gardonnenque où est situé Saint-Césaire-de-Gauzignan. Louis XIV interdit la pratique du culte protestant. En 1698, Antoine Fromental, issu du Mas Nougier (situé sur la commune) et  qui enfreint la loi,  est condamné aux galères, il est libéré en 1700. C’est le cas également d’Estienne Jalabert, galérien de 1698 à 1711. D’autres Saint-Césairois font les frais de ces mesures : Jacques Eynart, Michel Coste, Firmin et Jacques Isnard, Alexandre et Étienne Trial, tous camisards, torturés et condamnés.

Pendant la Révolution française, la région connait une grande crise économique avec une augmentation de 60 % du prix du blé. De grandes violences avec de nombreuses destructions de châteaux se déroulent alors, appelées les Grandes Bagarres de Nîmes.

En 1802, une nouvelle organisation administrative se met en place. Chaque secteur prend le nom d’Églises consistoriales. Saint-Césaire fait partie du consistoire de Vézénobres.

1810, rénovation du four commun.

1843, travaux de rénovation et d’agrandissement du temple.

1866, le conseil municipal décide de construire une école communale.

Après des péripéties de devis, projets et subventions difficiles à trouver, le projet de l’école aboutit enfin en 1880.

1893, rénovation de la canalisation de la fontaine qui alimente le village en eau, construction également d’un lavoir.

1898, construction d’un nouveau cimetière sur un terrain acheté à M. Bourguet.

Durant la Première Guerre mondiale, de nombreux poilus du village donnèrent leur vie pour la défense du territoire.

1920, électrification de la commune.

1928, création de la coopérative viticole de Saint-Césaire-de-Gauzignan.

Fin 1928, installation d’une cabine téléphonique.

1933, inauguration de la nouvelle école et des bains douches[18].

Héraldique modifier

  Blason
De gueules au pal losangé d'argent et de sinople.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs modifier

Rattachements électoraux modifier

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Gard.

Liste des maires modifier

  • Alexandre Trial (1792 - 1797)
  • Pierre Simon (1799 - 1799)
  • Louis Issoire (1799 - 1800)
  • Pierre Mourgues (1800 - 1802)
  • Jules Liauron (1802 - 1808)
  • Alexandre Trial (1808 - 1815)
  • Louis Roussel (1815 - 1830)
  • Jean Liauron (1830 - 1835)
  • Isaac Coulon (1835 - 1856)
  • Louis Aurivel (1856 - 1865)
  • Julien Troulhias (1865 - 1871)
  • Auguste Batte (1871 - 1874)
  • Alexandre Trial (1874 - 1875)
  • Casimir Privat (1875 - 1876)
  • Auguste Batte (1876 - 1885)
  • Louis Aurivel (1885 - 1896)
  • Jean-Louis Bourguet (1896 - 1897)
  • Achille Pupil (1897 - 1911)
  • Albert Jalabert (1911 - 1913)
  • Sully Batte (1913 - 1915)
  • Raoul Levesque (1915 - 1917)
  • Jules Dubois (1917 - 1919)
  • Sully Batte (1919 - 1922)
  • Sully Barbusse (1922 - 1947)
  • Franck Valmalette (1947 - 1965)
Liste des maires successifs depuis 1965
Période Identité Étiquette Qualité
1965 2001 Guy Rousset   Maire honoraire (2001-2012)
1er Vice-président de la Communauté de communes (1992-2001)
Président du Syndicat intercommunal d'électrification de Saint-Césaire-de-Gauzignan (1980-2004)
Chevalier du Mérite agricole
2001 2008 Annick Assenat   Viticultrice
2008 En cours Frédéric Gras SE Employé
Conseiller départemental

Élections municipales de 2020

Le , la liste "Ensemble pour Saint-Césaire", conduite par Frédéric Gras, est élue dès le premier tour[19].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 389 habitants[Note 3], en augmentation de 3,18 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
222223267295317329359396409
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
400365314330281280264280278
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
288277306242237248237229227
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
190201194211212224263268318
2017 2021 - - - - - - -
382389-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 142 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 354 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 280 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 4,8 % 5 % 11,7 %
Département[I 7] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 233 personnes, parmi lesquelles on compte 83,1 % d'actifs (71,4 % ayant un emploi et 11,7 % de chômeurs) et 16,9 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 77 emplois en 2018, contre 142 en 2013 et 185 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 170, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,7 %[I 10].

Sur ces 170 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 4,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture modifier

24 établissements[Note 6] sont implantés à Saint-Césaire-de-Gauzignan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,2 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 24 entreprises implantées à Saint-Césaire-de-Gauzignan), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture modifier

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[24]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 28 27 30 24
SAU[Note 9] (ha) 490 497 559 467

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 27 en 2000 puis à 30 en 2010[26] et enfin à 24 en 2020[Carte 5], soit une augmentation de 14 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[27],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 490 ha en 1988 à 467 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 18 à 19 ha[26].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L’entrée nord du village

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[25].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Césaire-de-Gauzignan » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Césaire-de-Gauzignan » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Césaire-de-Gauzignan » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Césaire-de-Gauzignan » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Césaire-de-Gauzignan et Deaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Deaux » (commune de Deaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Deaux » (commune de Deaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  8. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan », sur Géorisques (consulté le )
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  18. Grégory Viguié, Saint Césaire de Gauzignan, son histoire, ses poilus, Nîmes, Lacour Rediviva, , 70 p. (ISBN 9782750450625).
  19. « Résultats élections municipales Saint Césaire de Gauzignan », sur 20minutes.fr, .
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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