Utilisateur:WCL20 LYCEELOUISARMAND InèsB/Brouillon
Les cartes postales de la Première Guerre Mondiale modifier
Histoire modifier
Les cartes postales font leurs première apparitions en Octobre 1869 en Autriche-Hongrie. Dès lors, elles furent un nouveau moyen de communication pour les deux Confédérations allemandes en 1870 puis atterrissent en France en 1873. En effet, les exemplaires des ces dernières remontent à la ville de Strasbourg et sont considérées comme rares. Elles sont retrouvées par le Comité Auxiliaire de la ville. Avant leurs apparitions, les militaires blessés à l'armée, de terre comme de mer, étaient autorisé à utiliser des cartons édités de la même façon que nos cartes actuelles afin de transmettre des nouvelles à leurs familles respectives.
Intérêts modifier
La transmission de nouvelles depuis différents pays n'est pas le seul objectif de ces cartes. En effet, l'aspect moralisateur ayant pour intérêt principal de remonter le moral au sein des troupes et des personnes se situant à l'arrière est également l'un des objectifs. La contribution à la bonne transmission de ces cartes montre l'intention d'exalter un esprit de patriotisme et la supériorité militaire, ce qui met en évidence leurs actes d'héroïsmes réels ou fictifs.
Activité modifier
D'après Paul.R Weber, les cartes postales sont synonymes d'ardent défenseur de la pensée française en Alsace. De ce fait, de par le choix de couleurs ou d'illustrations choisies, une signification est la plupart du temps associée reflétant une profonde sensibilité exprimant les émotions des auteurs. A titre d'exemple, les méfaits de la guerre pouvant marqué l'esprit des soldats se traduisent par leurs impressions sur les cartes.
Les dessins, des peintures, les aquarelles ou encore les gravures constituent une rareté au niveau des cartes postales ce qui crée par la suite un intérêt commerciale et éveille la curiosité auprès d'un grand nombres de collectionneurs.[1]
- René Muller, « Mulhouse : ses illustrateurs de cartes postales et de cartes de voeux. », Bulletin historique, , p. 115 à 139