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Spectacle interrompu par la police Belge

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Le 9 mai 2012, la police de Bruxelles (une centaine de policiers et un camion anti-émeute), interrompt un spectacle de Dieudonné, fait couper l'électricité de la salle, évacue les 500 personnes présentes et dresse deux procès verbaux pour « propos xénophobes » et « incitation à la haine raciale », lesquels procès verbaux sont transmis au parquet[1],[2].
A la suite de l’interruption de son spectacle, Dieudonné dépose une plainte pour « attentat aux droits et liberté d’expression, association de malfaiteurs, collusion de fonctionnaires, usage illégitime de violence et menaces avec ordre ou sous condition »[3],[4].
En novembre 2013, la procureur du Roi abandonne les charges pour propos antisémites retenus contre Dieudonné, la justice bruxelloise reconnaissant ainsi « que l’humoriste n’a pas tenu de propos antisémites ou incitant à la haine raciale[3],[5] ».

Quenelle

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  • Quenelle, comment un geste antisémite est devenu un emblème[6]
  • Quenelle : Dieudonné porte plainte et vise la Licra[7]
  • Lyon : six justiciers «anti-quenelle» interpellés[8]
  • Quenelle: Mamadou Sakho dit avoir été piégé par Dieudonné[9]
  • Dieudonné: une quenelle avec Sakho, une quenelle pour Yann Barthès[10]