Utilisateur:Pierre5018/Brouillon-Amérindiens

les Amérindiens

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Iroquois

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Pompadour Vaudreuil iroquois mémoires https://books.google.ca/books?id=WAdbAAAAQAAJ&lpg=PA395&ots=B_0BdGswld&dq=m%C3%A9moires%20de%20madame%20de%20pompadour%20vaudreuil%20iroquois&hl=fr&pg=PA395#v=onepage&q=m%C3%A9moires%20de%20madame%20de%20pompadour%20vaudreuil%20iroquois&f=false la France avoit tort aussi de s'avancer sur le domaine de la Grande-Bretagne en Amérique, et de travailler à rétablir Dunkerque. Cependant le roi reçut la nouvelle d'un avantage remporté par ses troupes sur celles de l'Angleterre, en Amérique, près de l'Ohio. Cet avantage procura l'alliance des Iroquois, qui s'offrirent de s'unir à la France contre les Anglois. Ils adressèrent à cette occasion un discours à M. de Vaudreuil, qui commandoit les troupes du roi. Ce discours rendu public à Versailles fit du bruit; le voici tel que me le communiqua M. le comte d'Argenson.

«Que l'esprit incréé et créateur conserve la » vie et la gloire au capitaine des François et à » ses vaillants guerriers; que l'étendue de leur » courage puisse se mesurer par le nombre de » leurs blessures. Nous qui sommes des nations » aussi anciennes que les astres, et les plus cou» rageux qui combattent sur la terre, venons » t'offrir le bras droit de nos guerriers. Les robes » noires qui sont parmi nous ont eu soin de nous » faire connoître ta nation comme la plus vail» lante qu'il y ait après la nôtre, parce qu'ils ont » vu que ces guerriers pouvoient apprendre de

» nôtres ce qu'ils ne savoient pas encore. Notre »nation, qui compte plus de cent mille lunes, » vient donc s'unir à tes forces pour t'assister, » afin de régaler nos femmes et nos enfants des » corps morts des ennemis du capitaine des Fran»cois. Dispose de notre valeur, recois le calu» met de paix pour toi, la hache de nos guerriers » contre tes ennemis ; et en signe de joie fais trois » bonds pour t'élancer de la terre qui se réjouit » de nous porter, et pousse trois cris vers le so» leil qui s'est levé pour éclairer nos nations. »

« Ces Iroquois,, dit le roi, me seront d'utiles alliés, car ils mangeront autant d'alliés qu'ils en trouveront, et les Anglois seront effrayés de combattre contre des gens si affamés de gloire; car les Iroquoi^dévorent leurs conquêtes. »

  • New York

Documents of the Assembly of the State of New York. : New York (State). Legislature. Assembly. : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive, iroquois, niagara. https://archive.org/details/documentsofassem00newy

citation diplomatie

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La fameuse guerre des Iroquois, qui devait en quelque sorte s'éterniser parce que la France ne nous aidait point à la faire finir, commença sérieusement en 1637. L'ambition en fut le principe; la diplomatie, le soutien. Ce n'étaient plus des Sau vages courant sus à l'ennemi, mais des conquérants calculateurs, agissant avec ensemble, d'après un plan mûrement réfléchi et une politique à longue portée. L'approche des Hollandais et des Anglais sur les derrières de leurs cantons avait pu les effrayer, mais les progrès des Français au nord et à l'ouest du lac Ontario dut les surprendre également. Alors, de deux maux choisissant le moindre, ils se dirent amis de leurs plus proches voisins et se tournèrent avec résolution contre les autres. De leurs habitudes sédentaires était né une sorte de gouvernement régulier, dont le mécanisme se perfectionna bientôt d'une manière étonnante. Tout projet se discutait avant que d'être adopté, et une fois l'exécution décidée, la marche des choses ne souffrait pas d'obstacle.[1]

Les Pères Brebeuf et Chaumonot, qui hivernaient chez les Neutres (1640-41), apprirent que les Onneyouts, l'une des nations iroquoises, étaient gouvernés alternativement par un homme et par une femme, mais que le chef de la guerre était toujours un homme. Ils se rendirent compte aussi de la position relative qu'occupaient les Cinq Cantons par rapport aux lacs Ontario et Erié.

Grande paix de Montréal

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citation

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Les Sauvages du Haut-Canada racontaient aux missionnaires qu'il étaient allés autrefois en guerre contre une nation de l'occi dent, peu éloignée de la mer, et qui péchait les huîtres ou coquil lages nacrés dont on faisait la monnaie courante dans presque toute l'étendue de l'Amérique du Nord. Ce peuple, ajoutaientils, combat de grands animaux aquatiques. A la description qu'ils en donnaient, nous comprenons qu'il s'agit des alligators et des caïmans du Mississipi. C'est en effet du golfe du Mexique que venaient les " monnaies "ici mentionnées. Cartier en avait vu sur le Saint-Laurent, au cours de ses visites à Québec et à Montréal. Les Andastes, habitants des rives de la Susquehanna, procuraient au commerce des Sauvages un bon nombre de ces " pourcelaines " comme on les nommait ; aussi les Andastes étaient-ils qualifiés par les Iroquois de u Peuple de la Pourcelaine."


Iroquois et guerres

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La guerre iroquoise et la mortalité en Nouvelle-France, 1608-1666 John A. Dickinson Volume 36, Number 1, juin 1982 URI: https://id.erudit.org/iderudit/304030ar DOI: https://doi.org/10.7202/304030ar

Relations NF et autochtones

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Cette tradition s’est maintenue durant toute la période coloniale fran�çaise. D’ailleurs, cette représentation des Amérindiens comme des «enfants» ne s’est pas limitée au champ diplomatique. Selon les conceptions de l’époque, le degré de civilisation atteint par les sociétés amérindiennes aurait correspondu à celui de l’«enfance» de l’humanité, l’Europe plus développée ayant, bien sûr, atteint l’âge adulte de la civilisation. Cette conception de la supériorité européenne doublée de l’observation de l’en�sauvagement des Français au contact des Amérindiens a conduit les auto�rités coloniales à renoncer au projet initial «de ne faire qu’un seul peuple »7 et en conséquence à s’objecter aux mariages interethniques. Cependant, la pratique en était depuis longtemps répandue en Acadie et elle y demeura généralisée partout dans les pays en amont de Montréal de même qu’en amont de la Nouvelle-Orléans. Enfin, à partir de la fin des années 1740, les autorités coloniales françaises ont pratiqué à l’égard des Amérindiens une politique davantage inspirée par la conquête que par l’alliance, investis�sant la métaphore diplomatique du père d’une connotation nettement plus patriarcale européenne, donc davantage coercitive. La politique im�périale se distanciait ainsi non seulement d’une tradition d’accommodement diplomatique, mais également de l’univers interculturel et métis de proximité des Amérindiens et des Canadiens (Français) des Grands Lacs et du Mississipi.

Erudit Modèles coloniaux, métaphores familiales et logiques d’empire en Amérique du Nord aux XVIIe et XVIIIe siècles Denys Delâge La gouvernance en Nouvelle-France Volume 18, numéro 1, automne 2009 URI : https://id.erudit.org/iderudit/1054771ar DOI : https://doi.org/10.7202/1054771ar

John Smith et Pocahontas

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Message des ancêtres…

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« Chacun devrait étudier pour vivre en paix avec tous les hommes. » Loi tribale n° 121 des Algonquins de l'Est

supplice d'un prisonnier de guerre chez les iroquois

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1813

homme et femme iroquois

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http://www.comte-argenteuil.com/ind06.jpg

Tecumseh, Détroit, Brock, Michilimackinac

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Résurgence autochtone, John ASaul

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Actualités en société http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/451881/john-saul-un-pays-a-reinventer?utm_source=infolettre-2015-10-07&utm_medium=email&utm_campaign=infolettre-quotidienne Il y a plus de 400 ans, sur les rives du Saguenay, près de Tadoussac, Samuel de Champlain concluait une entente avec quelques nations autochtones, qui devenaient par conséquent ses alliées. Quelque 160 ans plus tard, le roi de Grande-Bretagne, George III, statuait, dans la même foulée, qu’il fallait laisser aux autochtones la « possession entière et paisible des parties de Nos possessions et territoires qui n’ont été ni concédées ni achetées et ont été réservées pour ces tribus […] ». C’est écrit dans la Proclamation royale du Canada. Pour résumer, on pourrait dire que le reste n’est que mensonge. C’est-à-dire que les traités conclus avec de nombreuses nations autochtones du Canada ont ensuite été bafoués par les gouvernements successifs du pays.

Légendes

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Opinion sur les pensionnats et le génocide culturel

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Conrad Black : https://nationalpost.com/opinion/conrad-black-canadas-treatment-of-aboriginals-was-shameful-but-it-was-not-genocide

Espagnols

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  • Le miroir de la cruelle et horrible tyrannie espagnole perpétrée au Pays-Bas par le tyran duc d'Albe et autres commandants du roi Philippe II
    • Johannes Gysius, Bartolomé de las Casas, 1620
    • Le miroir de la cruelle et horrible tyrannie espagnole perpétrée au Pays-Bas par le tyran duc d'Albe et autres commandants du roi Philippe II, publié au Pays-Bas en 1620. Traductions françaises de deux ouvrages antérieurs détaillant les atrocités et les crimes commis par les Espagnols en Europe et dans le Nouveau Monde. I - Johannes Gysius (mort en 1652).- Origine et évolution des troubles aux Pays-Bas, 1616. II - Bartolomé de las Casas (1474–1566).- Brevísima relación de la destrucción de las Indias (Très brève relation de la destruction des Indes), écrit en 1542, publié en 1552.

Bibliothèque numérique mondiale, wdl.org/fr/item/515.

les autres

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Les Européens débarqués de l'Atlantique sur les terres du nouveau continent n'étaient en aucune manière des découvreurs ou des évangilisateurs de peuples sauvages. De plus, la chaîne de montagnes que l'on appelle les Alleghanys leur barrait le chemin du côté du nord et de l'ouest. Nos grands lacs, dès qu'ils en connurent l'existence, devinrent pour eux ce qu'avait été Ultima Thulé pour les anciens Romains. Sans doute, ils furent étonnés, un jour, d'apprendre que les Français parcouraient ces régions lointaines et y vivaient en bons rapports avec les Sauvages ; sans doute ils se demandèrent ce que pouvaient bien faire des hommes civilisés dans un pareil milieu, — mais la pensée ne leur vint pas de les imiter : ils en étaient incapables ; les montagnes qu'ils avaient derrière eux leur ôtaient l'envie de connaître ce qui se passait au delà. Ce ne sont pas les montagnes, ni les rivières, ni les forêts profondes, ni les bêtes féroces, ni les Sauvages plus féroces encore, ni la rigueur du climat, ni la difficulté des voyages, ni les distances qui ont jamais arrêté les Français.« canada-francais »