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Le racisme actuel

Le racisme individuel

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Le racisme individuel est une forme d’ensemble de plusieurs idéologies racistes qu’une personne peut avoir envers une autre personne (xénophobie, bellicisme, haine, homophobie etc.…) De nos jours c’est très courant, surtout si on vit dans un pays multiculturel ou il y’a une abondance de diversité. Chacun est différent et cela entraine souvent de la haine, des préjugés et quelques fois de la violence .Une femme autochtone est décédée au Québec, à cause de l’absence de prise en charge à l’hôpital. Le gouvernement a confirmé qu’il existait, effectivement, du racisme systémique au sein du réseau de santé au Québec. Autrement qualifié de racisme systémique, le racisme individuel fait partie de notre ère. Dans certains pays, elle est parfois explicite, c’est-à-dire que les individus qui adoptent cette attitude en sont fiers et le manifestent ouvertement. Cependant, il y a d’autres pays comme le Canada ou c’est interdit, car cela n’entre pas dans les normes et est appelée dans ce cas de : discrimination raciale. Le racisme de tous les jours peut se manifester de plusieurs façons. Il regroupe tous les comportements qu’une personne faisant partie d’une « minorité visible » peut être confrontée. Les auteurs de ces comportements peuvent s’exprimer par des gestes, regards et même la manière de parler. Par exemple, une surveillance policière attentive de l’entrée d’un noir dans un magasin, se reculer d’une personne qui porte le voile dans un transport en commun…etc. Les minorités raciales accèdent plus difficilement ou participent inégalement aux services tels que l’éducation, l’hébergement etc. Tous cela sont des exemples du racisme systémique.

Le racisme politique

En ce qui concerne le racisme politique, il y a ce qu’on appelle : les mouvements racistes. Peu de partis politiques se revendiquent ouvertement comme racistes. Aux États-Unis, par exemple, il existe plusieurs groupes extrémistes (islamophobe, antisémites. Etc.) Selon le recensement du SPLC, qui maintient un suivi vigilant des groupes extrémistes dans le pays, les groupes radicaux étaient au nombre de 917 en 2016, contre 457 en 1999. Parmi ceux-là, 193 sont des groupes qualifiés de « séparatistes noirs », dont le nombre a explosé ces dernières années après la multiplication des fusillades qui ont couté la vie à des victimes noires.Cela montre que le racisme n’est pas complètement éradiqué de la société. Plusieurs pays n’ont pas encore compris le principe d’égalité pour tous. Ces groupes qui propagent la haine ne défendent pas une cause noble et ils savent très bien qu’ils sont en train de combattre une cause non éthique. Selon Morris Dees et Richard Cohen, les mouvements suprémacistes blancs américains s’efforcent de créer des réseaux internationaux en France, au Royaume-Uni et ailleurs en Europe. Plus de 30 réunions « internationales » de groupes défendant la race blanche ont eu lieu en 2013.Malgré l’abondance et la prédominance de ces mouvements racistes, il y’a plusieurs manifestations qui se font à travers le monde. Plusieurs individus se mobilisent pour essayer de trouver une solution aux problèmes de discriminations. À la suite de la mort de Georges Floyd, à travers le monde, des milliers de personnes sont descendues dans les rues pour s’associer au mouvement de colère contre les discriminations raciales et les méthodes policières, né aux États-Unis.

L’antiracisme

L’antiracisme est l’exemple parfait d'un ensemble d'actions visant à supprimer dans la société une race marginalisée. L’antiracisme des années 1980 mené par SOS racisme et d’autres associations a acclimaté l’idée de race et réveillé des passions qui étaient éteintes. À la suite du combat, cela a rendu légal les concepts « d’appartenance raciale ou ethnique », revendiqués par SOS Racisme sous le terme du « droit à la différence ».

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