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Les Grands Thermes de La Bourboule sont un centre thérapeutique hydrothermal spécialisé dans la crénothérapie. Situé à La Bourboule, une vallée au cœur du parc régional des volcans d’Auvergne, plus exactement dans le massif des Monts Dore (Sancy), la station est implantée en bord de Dordogne, au pied de la roche des fées ; Roche située sur une faille volcanique, à l’origine de la remontée des eaux minérales. Ces eaux dont la source Choussy-Perrière, est dite « hyperthermale ». La réputation de sa signature minérale unique n’est plus à faire. Ses vertus curatives sont particulièrement efficaces dans le traitement des voies respiratoires (O.R.L.), de la dermatologie, et des affections des muqueuses bucco-linguales. La station propose également une spécialisation « post-cancer ».

L’établissement thermal est dirigé en régie municipale.

1. Le site thermal

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1.1 Les thermes

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Situé au cœur de la ville de La Bourboule, l’édifice thermal de 5000m² se tient le long de la rive droite de la Dordogne depuis la fin du l’XIXème siècle. Il s’érige à environ 850m d’altitude sur la caldera du stratovolcan de la haute Dordogne, vieux de 3 millions d’années. De style néo-byzantin reconnaissable à ses coupoles à écailles, l’édifice est inauguré en 1904, soit presque trente ans après le début des travaux.

1.2. L’espace Bien-Etre

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Depuis 2011, les Grands Thermes de La Bourboule proposent au grand public un accès aux soins de thermalothérapie ; massages et balnéothérapie thermale sont dispensés dans un cadre entièrement dédié à la détente et au bien-être.

2. Historique

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La tradition voudrait faire remonter la vocation thermale du lieu jusqu’à l’époque celtique et gallo-romaine. Bien que cette tradition ne repose que sur des hypothèses, une preuve plus solide, un écrit datant de la fin du Moyen-Age, en 1463, viendra révéler l’existence avérée d’une vétuste « maison de bains ».

Jusqu’à la fin du XVIIIème siècle l’intérêt pour l’eau minérale grandit. Bien qu’empiriques, plusieurs traités et communications, reposant principalement sur des perceptions physiologiques sont rédigées durant cette période. Notamment en 1734 lorsque Chomel, médecin du roi et intendant des eaux de Vichy, décrit la source de la Bourboule comme ayant une eau claire et salée, et capable de guérir les paralytiques que les eaux voisines n’avaient pu que soulager.

Sept sources sont alors connues : le Grand bain (49°C), le Bagnassou (38°C), la Fontaine des fièvres (30°C), la source de la Rotonde (34°C), la source du Jardin (25°C), sans oublier les sources du Coin et la source Nouvelle. A partir du XIXème siècle le développement du thermalisme bourboulien prend son premier essort.

1814 : Jacques Guillaume Lacoste (propriétaire de plusieurs sources) voit grand. Il rachète une petite « maison de bains » existante et en fait une construction à étage possédant 8 cabines individuelles avec baignoires de pierre. Cet établissement est considéré comme le précurseur des constructions futures.

Afin d’offrir le soin et le confort nécessaires aux curistes séjournant dans cette maison de bain, Hôtels et pensions fleurissent dans la petite vallée de la « Borbola »

La famille Choussy, imminente actrice du développement thermal de La Bourboule a très vite compris l’intérêt de ces sources. En 1828, elle rachète cet établissement et ses sources. On cherche alors à agrandir, améliorer, augmenter les capacités d’accueil et de débit d’eau. A cette époque, l’établissement Choussy accueille 228 malades.

De plus, Pierre Choussy, gestionnaire de l’établissement, est nommé inspecteur des eaux en 1836.

C’est aussi au XIXème siècle que le développement de la médecine permettra de véritables analyses scientifiques sur ces eaux bourbouliennes. En effet, les propriétés chimiques des eaux vont faire la renommée de La Bourboule.

En 1854, une découverte majeure va permettre la publicité et le réel développement de la station. Le baron Thénard, chimiste, décèle la présence d’arsenic en assez forte concentration dans les eaux de la Bourboule, mais toutefois à des doses buvables. Dès lors, la ville devient « la reine des eaux arsenicales ».

S’entame alors une course effrénée pour l’accès et le monopole de cette eau si particulière. De 1866 à 1879, la petite commune naissante connaît moult opérations de pompage : Ce qu’il est convenu d’appeler « la guerre des puits ». Suite à la délimitation officielle d’un périmètre de protection pour les eaux thermales, toutes les sources précédentes disparaissent pour laisser place à des puis creusés artificiellement. A cette époque, la propriété des sources de La Bourboule est partagée entre la famille Choussy, et la société Sedaignes, Mabru et Perrière. Cette guérilla pour l’accès aux eaux thermales aura pour conséquences le tarissement de toutes les sources puisque l’on creuse toujours plus profond, toujours dans la même nappe phréatique. Une seule d’entre elle est aujourd’hui exploitée ; La source Choussy-Perrière.

En 1875, la Compagnie des eaux minérales de La Bourboule est créée suite à la fusion de 7 propriétaires. Que ce soit à titre de propriété ou de fermage, ce statut leur confère des droits d’exploitation et de captage sur les eaux mais aussi des devoirs : Parmi eux, construire un établissement thermal de « premier ordre » qui pourra accueillir 420 malades de 1ère classe.

Ce projet d’envergure est confié à l’architecture clermontois Agis-léon Ledru. Cet édifice consistera en un vaste quadrilatère comprenant 4 galeries de type « basilical », ainsi qu’un hall central ouvert sur deux cours intérieures. L’architecte a donc opté pour un plan symétrique simple, des volumes sobres en respectant les codes de l’époque sans renier les plans des thermes antiques. Pour les concepteurs, il fallait que le bâtiment, en lui seul, constitut une invitation au voyage, qu’il soit exotique. Il fallait que le curiste, dès son arrivée soit comme transporté dans une sorte de « bizance » occidentale au cœur du relief montagneux de l’Auvergne.

Le caractère exotique du bâtiment lui vient principalement de ses coupoles, ses « dômes » inspiré du Moyen-Orient. Quatre sont placés aux extrémités du bâtiment, dominés par le dôme du grand hall, au centre. Ces dômes portent des écailles (se rapprochant du poisson) faites de zinc, sans doute pour rappeler la vocation aquatique du lieu. On qualifiera alors le style de l’établissement des Grand Thermes comme « byzantin bâtard », ou plus joliment comme « la perle byzantine ». L’architecture n’a pas oublié l’origine même du nom de La Bourboule : Borvo, dieu grec des sources. Des statues extérieures entourant les dômes sont encore visibles aujourd’hui.

Notons également le matériau : La pierre dite « de Bugette ». Il s’agit d’une pierre volcanique de couleur claire, caractéristique des mines d’extraction de la ville de La Bourboule. Cette pierre donne au bâtiment un aspect lumineux mais est relativement poreuse.

Le 19 Juin 1878, le ministère de l’Agriculture et du Commerce accorde l’autorisation d’exploitation et de délivrance d’eau minérale au public pour usage médical.

Le 30 Mars 1881, par décret, les sources sont déclarées d’utilité publique. Un nouveau périmètre de protection est tracé.

Jusqu’au milieu du XXème siècle, le développement et le succès fulgurant de la station thermale l’emporte. en 1930, après moult agrandissement et travaux de rénovation, les Grands Thermes de La Bouroule accueillent 23.400 curistes. Force est de constater l’essor considérable de cet établissement de 1er ordre. Les curistes et personnels de l’époque s’adonnent à un rituel fait d’élégance et de prestance. Les adultes portent un chapeau en public, les dames montrent leur plus belle robe, les donneuses d’eau, les porteurs de chaises, portent l’uniforme. Bien que censé être malades, les curistes entendent montrer d’eux une image de la bonne société. La Bourboule, ville reine des eaux arsenicales, est en vogue.

Ce développement sera prospère jusqu’au milieu du siècle, à l’entre-deux guerres. En 1945, la sécurité sociale remboursera les cures thermales désormais dites « conventionnée ». La station bourboulienne voit alors l’arrivée de la classe moyenne en son sein ; Ce qui aura pour conséquence la fuite de curistes fortunés qui ne veulent pas être « mélangé » à cette population.

Dans les années 1950, se développe l’ère des maisons d’enfants. Sorte de maison de santé où l’enfant séjourne et est assuré de se rendre aux thermes chaque jour pour effectuer ses soins. Les cures thermales, pour être remboursée doivent avoir une durée de trois semaines consécutives. Il est alors difficile pour les parents d’accompagner l’enfant, de le conduire aux thermes chaque jour. C’est le rôle des maisons d’enfants.

La Bourboule en compte une cinquantaine à cette époque, toutes éparpillées dans la petite ville. Les orientations thérapeutiques de l’établissement thermal permettent de soigner à la fois les voies respiratoires et la dermatologie. Affections souvent liées chez l’enfant présentant un terrain allergique. Ces structures sont uniques en France. On estime que le nombre d’enfants accueillis dans ces structures depuis les années cinquante s’élèverait aujourd’hui à plusieurs milliers. Aujourd’hui encore, 3 maisons d’enfants existent encore à La Bourboule. Et la station est toujours considérée comme la première station thermale pédiatrique d’Europe.

Aujourd’hui ce secteur est en plein essor, les Grands Thermes de La Bourboule ont connu une hausse de fréquentation de 34,5% entre 2016 et 2017. Les conséquences d’un mode de vie moderne poussent de nouveaux curistes à franchir le pas. A revenir à des médecines complémentaire, alternatives, et surtout naturelles. Chacun vient alors découvrir ou redécouvrir La Bourboule, son eau thermale et profiter d’un cadre naturel exceptionnellement préservé où il fait bon vivre s’oxygéner.


3. Eau thermale

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L’eau thermale de La Bourboule émane de la source Choussy-Perrière, résultat de l’activité géologique du stratovolcan de la haute Dordogne, vieux de 3 millions d’années.

Ce site volcanique correspond à la Caldera (fossé volcano-tectonique) qui se termine par une faille et son miroir de faille (surface lisse correspondant au plan de fracture géologique et de glissement d’un bloc sur l’autre) ; fracture à l’origine de la remontée des eaux thermales

L’eau de cette source est donc le résultat d’un voyage souterrain de plusieurs kilomètres. Proche du noyau terrestre, la température de l’eau augmente. Lorsque qu’elle atteint le cœur de la faille, elle est soumise à la pression des gaz et remonte à la surface. Durant sa remontée, sa température lui permet de se minéraliser ; De se charger en minéraux. Ce qui lui donnera sa signature minérale unique et immuable.

Le forage s’effectue à près de 80m de profondeur. L’eau thermale est captée à près de 58°. On dit alors qu’elle est « hyperthermale ».


3.1. Caractéristiques physiques

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L’eau thermale Choussy-Perrière présente un aspect limpide, non gazeux. L’absence d’odeur d’hydrogène sulfurisé est à noter.

Son goût est âpre, salé, un peu amer.

  • PH : 6,8
  • Densité : 1,05
  • Minéralisation : 6,52g / L
  • Température : 58°C
  • Débit : 400 L /mn
  • Résidivité : 159 ohm/cm à 18°C

3.2. Mesures chimiques (éléments mineurs)

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ANIONS :

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Bore : 11,5 mg/L

Arsenic : 6,2 mg/L

Fluor : 5,48 mg/L

Brome : 4 mg/L


CATIONS :

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Magnésium : 8,65 mg/L

Lithium : 6,2 mg/L

Strontium : 2,7mg/L

Fer : 1,3 mg/L

Manganèse : 1 mg/L


3.3. Composition minérale (éléments majeurs)

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Chlorures : 1700 mg/L

Sodium : 1636 mg/L

Bicarbonate : 1586 mg/L

Sulfates : 124 mg/L

Potassium : 89 mg/L

Calcium : 36 mg/L

4. Indications thérapeuthiques

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Cette eau présente des propriétés cicatrisantes, anti-infectieuses, anti-inflammatoires, et anti-radicalaires. Les minéraux et oligo-éléments qu’elle contient stimulent la régénération cellulaire et renforcent le système immunitaire. L’eau peut en effet freiner le processus de dégénérescence de la cellule. Les résultats se soldent souvent par des guérisons totales, sinon des améliorations très sensibles des affections.

Les orientations thérapeutiques de La Bourboule découlent naturellement des propriétés de l’eau thermale.

Une cure conventionnée s’étend sur une durée de 3 semaines avec des soins quotidiens 6 jours sur 7. Le curiste, dès son arrivée rencontre son médecin thermal qui établit une carte de cure personnalisé, adaptée à la/ les pathologie(s) ciblée(s).

4.1. Voies respiratoires (VR)

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Affections des voies respiratoires supérieures, de l’oreille moyenne (ORL) et des voies basses :

Rhinites allergiques, rhino-sinusites, rhino-pharyngites, angines et pharyngites chroniques, otites séreuses ou aiguës, catarrhes tubaires, laryngites chroniques, Asthme, bronchites, dilatation des bronches, trachéites spasmodiques, emphysème

4.2. Dermatologie (DER)

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Syndrome dermo-respiratoire, eczéma atopique, prurits, psoriasis, ichtyose, dermatites, acné, urticaire, séquelles de brulures

4.3. Affections des muqueuses bucco-linguales (AMB)

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Gingivites et affections des muqueuses buccales, lichen plan, aphtoses, maladies parodontales

4.4.Post cancer

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La cure dermatologie Post-cancer permet de restaurer la qualité et les fonctions des tissus atteints de la sphère ORL et/ou de la peau et des muqueuses.

5. SOINS THERMAUX

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  • Cure de boisson
  • Douche gingivale
  • Gargarisme : Agit au niveau de la muqueuse du pharynx
  • Bain nasal : A l’aide d’une pipette, l’eau thermale circule d’une narine à l’autre et permet d’évacuer les impuretés des fosses nasales
  • Irrigation nasale : Assure une détersion des fosses nasales
  • Humage : L’eau thermale est pulvérisée dans un bol sous une pression forte permettant de baigner les fosses nasales, le rhino-pharynx, la gorge, les amygdales, le larynx et la trachée
  • Pulvérisation nasale : De fines particules d’eau thermale sont pulvérisées dans les fosses nasales
  • Pulvérisation pharyngée : de fines particules d’eau thermale sont pulvérisées sur le larynx
  • Douche nasale gazeuse : agit sur les muqueuses des voies respiratoires hautes et profondes. Le gaz thermal, capté à la surface de l’eau thermale dans les puits, est administré à faible pression à l’aide d’une canule spéciale individuelle
  • Aérosol simple : l’action se situe au niveau des fosses nasales, du cavum, de la trachée et des bronches. Des micelles (gouttelettes) d’un diamètre de 3 à 8 microns (millième de mm) sont obtenues grâce à un appareil spécifique. L’eau thermale est en circulation continue et permet un aérosol chaud. La granulométrie des micelles est sélectionnée par une colonne de Jouan.
  • Aérosol sonique : favorise la pénétration des particules au niveau des sinus et des voies bronchiques. Appareillage identique mais comporte en plus un vibreur sonique à ultrason qui permet une meilleure déposition des particules dans les voies respiratoires
  • Aérosol Mano sonique : favorise la pénétration des particules au niveau des sinus, de l’oreille moyenne et de la trompe d’eustache. A l’aérosol vibré et pulsé, s’ajoute un système permettant une surpression momentanée par commande manuelle du curiste.
  • Électro-aérosol : Technique mise au point à La Bourboule. L’indication de cette technique est le traitement des voies respiratoires bronchiques et profondes (asthme). Les particules d’eau thermales obtenues, de très faible dimension), sont chargée électriquement et restent en suspension. Leur faible dimension leur permette une pénétration jusqu’aux alvéoles pulmonaires.
  • Inhalation collective : Des brumificateurs alimentés en air comprimé produisent un brouillard d’eau thermale. Les particules sont de l’ordre de 3 à 5 microns.
  • Douche vapeur : projetée sur le thorax ou le dos du patient, la vapeur créé un effet de révulsion.
  • Douche au jet : (Méthode clapping) : A faible pression, l’eau a un effet sédatif sur l’organisme. Une variation de température et de pression permet l’expectoration des mucosites.
  • Bain : pénétration des composants actifs de l’eau thermale par voie cutanée. Effet calmant, sédatif, antiprurigineux et cicatrisant.
  • Pulvérisation externe générale : finement pulvérisée au moyen d’hélices placées dans les pulvérisateurs, l’eau thermale assure sa pénétration dans l’organisme par voie transcutanée. Elle a une action antiprurigineuse et cicatrisante.
  • Pulvérisation externe locale : finement pulvérisée, l’eau thermale est appliquée, selon le cas, sur la peau (visage) ou sur les muqueuses (périnée)
Soins thermaux complémentaires réalisé par un médecin thermal :
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  • Insufflation tubo-tympanique : réalisé par un médecin thermal, ce soin permet l’administration des gaz thermaux sous pression contrôlée à proximité de la trompe d’eustache et de la membrane tympanique
  • Douche pharyngienne : réalisé par un médecin à l’aide d’un pistolet à jet, l’eau thermale est projetée sur les muqueuses du pharynx et des amygdales
  • Méthode de déplacement de Proëtz : thérapie locale de drainage et de lavage des sinus grâce à l’injection de l’eau thermale dans les cavités sinusale.
  • Douche filiforme : inventée à la Bourboule en 1903 par le docteur Veyrieres pour le traitement des dermatoses. L’eau thermale est projetée sous pression réglable (jusqu’à 15kg par cm2) par un gicleur de diamètre variable (0,2 à 2mm). Cette pratique ne peut être faite que par un medecin. Un jet filiforme sous pression pétrit et masse les lésions, soulageant ainsi le prurit par anesthésie de surface et les lésions par détertion. En une ou plusieurs séances, le jet provoque une vasodilatation importante de la peau.
  • Douche filiforme gingivale : en stomatologie, elle traite les gingivites et les parodontites, affections des tissus de soutien qui fixent la dent au maxilaire


6. Voir aussi

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6.1 Repères bibliographiques

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  • Brigitte Ceroni, Jean-François Luneau, La Bourboule, thermalisme et villégiature, Puy-de-Dôme / Inventaire général, ADAGP. Edité par l'association Etude du Patrimoine Auvergnat. 2000. p. 5-9 et 11-13 [1]
  • Pierre-Antoine Donnet, Ville d'eaux en Auvergne / Editions Alain Sutton. 2006. p. 27-42 [2]

6.2 Artciles connexes

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6.3 Liens externes

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  • Station thermale de La Bourboule [3]

7. Notes et références

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7.1. Notes

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7.2. Sources et références

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  1. France. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Commission régionale Auvergne., Ceroni, Brigitte, 1959- ..., Choplain, Roger. et Maston, Roland., La Bourboule, Puy-de-Dôme : thermalisme et villégiature, Association Étude du patrimoine auvergnat, (ISBN 2905554215 et 9782905554215, OCLC 468841656, lire en ligne)
  2. Donnet, Pierre-Antoine., Villes d'eaux en Auvergne, A. Sutton, (ISBN 2849103861 et 9782849103869, OCLC 69170211, lire en ligne)
  3. « Grands Thermes de La Bourboule : station de cure thermale en Auvergne - Site officiel », sur www.grandsthermes-bourboule.com (consulté le )