Utilisateur:Le best gentil arbre/La Terre Cuite en Vendée et plus précisemment à Aizenay

La Terre crue ou cuite est un des premiers matériaux utilisé par l'homme que ce soit pour la construction du bâti[1] ou pour la création d'objets du quotidien ou de décoration. C'est une technique existant depuis plusieurs millénaires. La Terre Cuite est constitué d'argile mélangée à de l'eau et façonnée avant d'être mise à sécher puis à cuire pendant environ 36h à une température montant jusqu'à 1 100 °C[2].

La Terre Cuite en Vendée du XIXe siècle à nos jours

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Voici une présentation succincte du travail de la terre dans les briqueteries et les tuileries de la fin du XIXe siècle à l’époque contemporaine. Les Pays de La Loire sont une région riche en argile[3]

Voici une présentation succincte du travail de la terre dans les briqueteries et les tuileries de la fin du XIXe siècle à l’époque contemporaine. Les Pays de La Loire sont une région riche en argile[4]. Un exemple détaillé de Grégoire Chamarre sur le canton des Herbiers [5].

En Vendée, au milieu du XIXe siècle, il y avait un peu plus de 120 briqueteries artisanales[6] qui occupaient environ 500 personnes. Il en reste 4 en 2023 : une à La Merlatière, une à Chauché, une à Chaillé-sous-les-Ormeaux et une à Aizenay .

La plupart des exploitations ont vu le jour à partir des années 1800. Chaque atelier produisait environ 6 fournées par an, pour une production de 8000 tuiles, 3000 briques, 300 carreaux et 8 tonneaux de chaux, en moyenne, par cuisson[7]. Elles se transmettaient familialement, de génération en génération. Cependant, de nombreuses briqueteries ont dû fermer au décès du successeur. Tel fut le cas, par exemple, de la briqueterie de la Touche, à Velluire, le fils Piffeteau étant tué à la première guerre mondiale.

 
Extraction de la Terre argileuse à la carrière d'Aizenay

Les briqueteries tuileries s'installaient près de leurs argilières (terres riches en argiles), Cette matière première est présente partout dans le sous-sol, mais avec des propriétés très hétérogènes, suivants les origines géologiques. Les argilières ont des caractéristiques bien particulières et les briqueteries tuileries pouvaient avoir plusieurs argilières en fonction de leurs besoins. L'argile utilisée pour fabriquer des briques, n'a pas les mêmes caractéristiques que celles utilisée pour la fabrication des tuiles.

À l’époque, les briqueteries sont nombreuses dans la région, les constructions étant essentiellement recouvertes de chaux et les toitures en tuiles.

Un travail différencié en fonction des saisons

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Fin XIXe siècle, pour les briqueteries-tuileries, le travail était différencié en fonction des saisons. En effet, la terre ne pouvait pas être travaillée, modelée durant l'hiver. En effet; les carreaux, tuiles briques, ne pouvaient pas sécher rapidement et risquaient de geler avant la cuisson. Durant cette période, l'argile était extraite à la main dans la carrière. Les ouvriers, munis de pelles en bois, ou de fraies (pelle longue) pour découper la terre , éliminaient les impuretés (cailloux, petits coquillages…), et lançaient en haut de butte, l’argile extraite, pour faire une levée. puis transportée à la brouette ou avec une charrette à cheval sur la briqueterie. Elle était stockée et mise à maturer pour quelques mois.

 
Malaxeur de la l'argile, briqueterie d'Aizenay

Ensuite au printemps, lorsque le gel était fini, elle était écrasée, humidifiée avec de l'eau, malaxée par une roue entraînée par un cheval. L'argile ainsi débarrassée des mottes était mélangée avec de l'eau afin d'obtenir une pâte lisse [8].

Les métiers dans les briqueteries

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Les briquetiers utilisaient des moules en bois pour transformer cette pâte en briques ou carreaux de sols. Ils tassaient la terre dans les moules, lissaient bien la surface supérieure. Ils décollaient la brique ou le carreau du moule à la ficelle, au fil métallique ou au couteau. Un bon mouleur pouvait fabriquer jusqu'à 1000 briques en une journée (10h) avec l'aide de manœuvres pour lui apporter l'argile malaxée ou aller conduire les briques sur des clayettes au séchoir. Les tuiliers utilisaient des courbes pour faire des tuiles dite tige de botte ou canal. Lorsqu'il y avait plusieurs mouleurs dans un atelier, chacun marquait sa production avec une marque distinctive s'ils étaient payés à la pièce. Cela pouvait être 2, 3 ou 4 doigts tirés à l'arrière du carreau, de la tuile ou de la brique.

En plus des manœuvres et des mouleurs, il y avait un contremaître qui était chargé du suivi de la cuisson du four, un ouvrier enfourneur pour remplir le four et un ouvrier défourneur pour vider le four après cuisson.

Les différents types de fours[9]

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Il y a deux grandes catégories de fours : les fours à feux continus et les fours à feux intermittents. Ces derniers sont plus anciens.

Le four debout (four intermittent)

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Les premiers fours construits en Vendée et ailleurs sont des fours gallo-romains, de conception très simple et archaïque. Ils ont été les plus nombreux. Ils consistent en une cheminée volumineuse, carrée ou rectangle, dans laquelle sont enfournés les produits à cuire. On les appelle également ‘fours debout’ car le tirage du feu est vertical. Les murs, en moellons, comportent souvent des chaînes d’angle en pierre de taille ; la cuve est chemisée en brique. Leurs bases sont presque toujours enfouies, et il faut aménager un accès à l’aire de cuisson, qui est donc disposée sous le niveau du sol (environ 1 m). La sole ajourée est composée de cintres en briques (ou carneaux). Ils étaient parfois recouverts d’une voûte ajourée, d’un toit en surplomb, ou plus sommairement de tessons de tuiles posées à plat sur l’enfournement.

Le four couché (four intermittent)

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Le ‘four couché’ (ainsi nommé car le tirage du feu y est horizontal) est sons doute le four le plus répandu en Vendée.Il a suppléé aux inconvénients du four debout. Ils se composent de 3 parties successives et attenantes : l’alandier (où s’effectue la combustion), le four (où sont enfournés les produits à cuire), et enfin la cheminée pour l’évacuation des fumées. Chacun de ces espaces est séparé par des carneaux.

L'enfournement et le défournement y sont plus simples que dans un four debout, la chaleur y est mieux répartie.

Le four cellule (four intermittent)

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Ce type de four est contemporain. Même s’il est assez technique et moderne, son fonctionnement convient aux entreprises artisanales.

Il s’agit d’un four intermittent, chauffé au fioul ou au gaz. Les produits verts sont enfournés sur des wagons amovibles, qui sont ensuite poussés dans le four. La cuisson est suivie par un automate qui contrôle la montée en température et les paliers de cuisson.

Le four Hoffman (four continu)

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Ce type de four inventé en 1858 par l’autrichien Hoffmann fut assez répandu en France et dans le monde. Il fonctionne en continu.

Dans ce four de forme ovale, le foyer se déplace dans un mouvement giratoire continu. Les produits sont ainsi préchauffés, cuits et refroidis au fur et à mesure de l'avancée du four.

Le four tunnel (four continu)

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Les produits sont enfournés sur des wagonnets qui traversent un tunnel rectiligne, en passant successivement par des zones de préchauffage, de cuisson, de refroidissement. Les briques sont cuites et finies en sortant du tunnel.

Les Terres Cuites à Aizenay

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Four couché pour la cuisson de produits en terre cuite. Il fut construit par Auguste et Pierre Gauvrit en 1868 à la briqueterie d'Aizenay (Vendée)

La terre d'Aizenay est composée d'une argile de bonne qualité, la forêt d'Aizenay à moins de 400 mètres de la briqueterie-tuilerie fournit le bois pour les fagots de fournilles et les bonnes bûches pour cuire les briques et tuiles. Le lieu est idéal pour implanter une briqueterie avec un four à tuiles et à chaux au lieu-dit La Gombretière[10],[11].

Les Terres Cuites d'Aizenay est une entreprise familiale, une briqueterie artisanale de fabrication de carreaux, de briques, de tuiles et tous produits en Terre Cuite. Depuis 150 ans, de père en fils, ils se transmettent un savoir-faire exceptionnel, le goût du travail bien fait et la joie du service et de l'écoute. Les méthodes de fabrication et de cuisson traditionnelles au feu de bois apportent une véritable beauté et authenticité aux produits.

L'histoire de la briqueterie et de la famille Gauvrit

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Première génération : Auguste Gauvrit

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La briqueterie est créée en 1868 par Auguste Jean Gauvrit. Les documents du permis de construire pour un four à tuiles et un four à chaux sont visibles dans la halle d'exposition à Aizenay et aux archives de Vendée[12]. Les fours à tuiles et à chaux étaient souvent construit ensemble, les maisons nécessitaient des tuiles pour le toit et les murs étaient recouverts à la chaux. Les briquetiers pouvaient aussi être appelés chaufourniers lorsque le four à tuiles était couplé à un four à chaux.

Auguste Jean Gauvrit s'est marié en 1835 avec Marie Buton[13] . Ils ont deux garçons : Pierre Louis Auguste[14] en 1840 et Pierre Célestin, dit Célestin en 1848 [15].

Deuxième génération : Pierre Gauvrit

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Suite à la mort prématurée de son père en 1868[16] , son fils Pierre reprend la briqueterie à 28 ans. Il termine la fabrication du premier four couché . Ce four est toujours utilisé pour la cuisson des carreaux, tuiles, briques, parements en Terre Cuite [17],[18] .

Pierre épouse Louise Barbeau en 1862 [19] et ils eurent 7 enfants : François Constant Célestin en 1863 [20], Baptiste Eugène en 1864 [21], Henri Marie Armand en 1867 [22], Marie Rosella Célestine en 1868 [23], Pierre Constant Clément en 1871 [24], Arsène Eugène en 1872 [25] et Marie Louise en 1874 [26].

Troisième génération : Baptiste Gauvrit

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Son fils Baptiste dit Eugène travaille à la briqueterie familiale. Au décès de son père en 1880, il reprend alors la briqueterie, il n'a que 16 ans. Il continue de fabriquer de la chaux, des briques et des tuiles pour la construction des maisons. Son frère Pierre viendra travailler avec lui. La troisième génération a travaillé en famille entre frères comme la sixième génération.

Eugène épouse Marie Joséphine Violleau en 1891 [27]. Trois garçons naquirent de cette nation: Victor Pierre Eugène Jean né en 1892 [28], Eugène Jean Célestin en 1893 [29] et Moïse Alcide Lucien en 1904 [30]. Malheureusement, les deux aînés décédèrent à cause de la première guerre mondiale: Victor, caporal au 164 ème, tué à Blaches[31] et Eugène, décédé en 1915[32] par insuffisance respiratoire due au gaz toxique utilisé dans les batailles.

 
M. Baptise Eugène Gauvrit à la fabrication
 
Baptiste dit Eugène Gauvrit, sa femme Marie et leurs trois garçons
 
Baptiste dit Eugène et Marie Gauvrit

Quatrième génération : Moïse Gauvrit

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Eugène Gauvrit avec une partie de ses frères et sœurs. Les 6 aînés sont présents

C'est donc Moïse qui reprend la briqueterie au départ en retraite de son père. Moïse épouse Hélène Cécile Joséphine Régina Vrignon (dite Cécile) en 1929 [33]. Ils eurent 9 enfants : Victor en 1931, Michel en 1932, Eugène en 1933, Anne-Marie en 1934, Joseph en 1936, Gabriel en 1937, Cécile et Moïse en 1940 et Geneviève en 1945.

Moïse construisit un deuxième four couché en 1959. Il démarre la mécanisation de l'entreprise en installant des broyeurs et une extrudeuse permettant de faciliter le travail de la terre. L'électricité n’arrivant pas encore à la Gombretière, les machines étaient entrainées par un moteur de bateau [34]. Ce four est toujours en activité à la briqueterie d'Aizenay.

Cinquième génération : Eugène Gauvrit

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C'est Eugène qui travaille avec son père et reprendra la briqueterie à sa suite.

 
Eugène chauffe le four

Eugène développe différents produits et continue la mécanisation de l'entreprise. Il construit un nouveau bâtiment et améliore la chaîne de fabrication. Il construit le troisième four à bois en 1967. Avec sa femme Paulette, ils eurent trois garçons : Jacques en 1967, Jean-Paul en 1969 et Pascal en 1974.

Eugène a diversifié les produits en fonction des différentes périodes et demandes. Il a fabriqué de la brique plâtrière, des drains agricoles pour drainer les champs, des tuiles ostréicoles pour les huitres, des carreaux de sols. Il était à une période, le seul fabricant de carreaux de sols à l'ancienne dans le grand ouest.

Il a maintenu les méthodes de fabrication traditionnelle de la terre cuite tout en améliorant le travail et en le rendant plus facile grâce à la mécanisation de la fabrication.

Il décède des suites d'une longue maladie en 1992. Paulette sa femme continue l'entreprise aidée de ses enfants qui cumulent travail à l'entreprise familiale et études.


Sixième génération : Jean-Paul et Pascal Gauvrit

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En 1996, Jean-Paul et Pascal décident de reprendre officiellement la briqueterie et lui donne le nom de Terres Cuites d'Aizenay [35].

Ils continuent de développer l'entreprise notamment à travers la réédition de carreaux anciens, le sur-mesure pour s'adapter à la demande des clients, tout particulièrement pour la restauration du bâti ancien et des monuments historiques.

Ils améliorent la chaîne de fabrication et de cuisson afin d'alléger les conditions de travail. Ils perdurent la cuisson traditionnelle au feu de bois qui confère aux terres cuites ses couleurs chaleureuses et lumineuses. Ils ont construit une halle d'exposition en 2007 pour présenter leur produits.

Ils ont reçu le Label Entreprise du Patrimoine Vivant en 2009,2014 et 2022. Le Label EPV [36] est un label officiel français, créé en 2005, délivré sous l'autorité du ministère de l'Économie et des Finances, afin de distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels jugés comme d'excellence.

C'est également la seule entreprise vendéenne, double gagnante du Prix des mains d'or de l'artisanat en 2011 et 2018. Prix organisé par la chambre de commerce et de l'artisanat de Vendée. Jean-Paul et Pascal Gauvrit ont également reçu le Grand Prix de Vendée pour le prix départemental Stars et métiers en 2009.



Notes et références

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  1. James W.P. Campbell, L'art et l'Histoire de la Brique - Bâtiments privés et publics du monde entier, Paris, Editions Citadelles et Mazenod, , 319 p. (ISBN 2-85088-208-9)
  2. Terre cuite
  3. Gaëlle Caudal, chercheur, « Etat des lieuxPatrimoine industrielRégion Pays de la Loire » [PDF], sur patrimoine Pays de La loire, (consulté le )
  4. Gaëlle Caudal, chercheur, « Etat des lieuxPatrimoine industriel Région Pays de la Loire » [PDF], sur patrimoine Pays de La loire, (consulté le )
  5. Guillaume Chamarre, « L’artisanat tuilier-briquetier dans le canton des Herbiers (Vendée) à l’époque contemporaine : méthodologie et perspectives de recherche », Revue archéologique de l'Ouest, no 37,‎ , p. 301–321 (ISSN 0767-709X et 1775-3732, DOI 10.4000/rao.7439, lire en ligne, consulté le )
  6. « BIB RES 9 - Annuaire statistique du département de la Vendée pour l'an XII (1803 et 1804), par le citoyen Cavoleau, secrétaire-général de la : Archives de Vendée », sur Les archives de la Vendée (consulté le )
  7. « Poiré-sur-Vie, Le > Tuileries de Lande blanche (les) - Dictionnaire toponymique de la vendée - Archives départementales de la Vendée », sur www.toponymes-archives.vendee.fr (consulté le )
  8. Mémoire orale des briquetiers. Transmission du savoir-faire de père en fils depuis 6 générations. transmission familiale à travers les archives, photos, outils.
  9. « Schémas des fours des tuileries-briqueteries - Patrimoine et inventaire de Nouvelle-Aquitaine - site de Poitiers », sur inventaire.poitou-charentes.fr (consulté le )
  10. « Depuis 150 ans, une briqueterie de père en fils », sur Ouest-France
  11. Le Patrimoine des communes de la Vendée, Paris, Flohic Editions, , 1199 p. (ISBN 2-84234-118-X), page 737
  12.  
    Plan du permis de construire du four en 1868 par le Sieur Pierre Gauvrit.
  13. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 229, acte 134
  14. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), Page 36, acte 109
  15. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), Page 142, acte 182
  16. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 2, acte 2
  17.  
    Permis de construire du four à chaux et à tuiles pour la famille Gauvrit
  18.  
    Permis de construire du Four à chaux et à Tuiles pour la famille Gauvrit - 1868
  19. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), Page 126, acte 6
  20. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), Page 91, acte 12
  21. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 107, acte 22
  22. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 136, acte 9
  23. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 202, acte 46
  24. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 173, acte 29
  25. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 210, acte 64
  26. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 45, acte 67
  27. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 146, acte 22
  28. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 10, acte 34
  29. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 19, acte 72
  30. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 50, acte 72
  31. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  32. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le )
  33. « Visionneuse - Archives départementales de la Vendée », sur etatcivil-archives.vendee.fr (consulté le ), page 12, acte 21
  34. Transmission orale de la famille et vérifiée par les écrits, outils transmis
  35. « LES TERRES CUITES D'AIZENAY: Découvertes de savoir-faire France, Pays de la Loire », sur www.enpaysdelaloire.com (consulté le )
  36. benais, « Découvrir le Label EPV », sur INMA - Institut National des métiers d'art, (consulté le )

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