Utilisateur:Kastumichou/Brouillon

L'adoption au Québec est un concept où ont adopte un enfant qui a perdu ses parents. Lorsque les parents d'un enfant meurs l'enfant deviens orphelin et l'enfant en question doit cohabiter avec d'autre orphelin dans une orphelinat. L'enfant est alors forcé à vivre seul sans parents. Le but de l'adoption pour les adoptants est de devenir le parent d'un enfants. Le but de l'adoption pour les orphelins est de se trouver des parents.

histoire

modifier

En 1924, la première forme d’adoption est apparue officiellement dans les textes de la loi. Cela dit, qu’un enfant adopter, qui n’est pas dans la même lignée, ne fait pas partie de la famille.[1] Dans cette époque, l’État n'apportait pas de l'aide aux femmes devenues célibataires. En 1939, il est devenu possible d’adopter un autre enfant venant de notre famille. Entre 1960 et 1970, les mères ont maintenant accès à l’aide sociale et elles ont la possibilité de divorcer. Maintenant que les femmes peuvent divorcer, plusieurs unions libres et de monoparentalités se sont créées. Cela provoqua de nombreuses fermetures d’orphelinats, étant donné que les mères ont la possibilité de rompre les liens avec le mari, elles rompent aussi les liens avec l'enfant. En 1980, toute personne a le droit d’adopté, cependant il n’est plus possible d’adopter son propre enfant, car la notion de l’illégitime a disparu. Les enfants adoptés perdent maintenant leur lien parental initial lorsqu’ils sont adoptés. En 1994, le Québec fournit un crédit d'impôt remboursable pour l'adoption. En 2002, la loi 112 fait son apparition obligeant le gouvernement à contribuer à la renaissance des pauvres, qui a pour but de donner un travail à toutes les personnes qui sont dans la pauvreté ou d'augmenter le salaire de ceux qui en ont besoin. Apportent ainsi, aux orphelins, un travail. Tout en enrichissant, ceux qui gère les orphelinats.[2]En 2005, le fédéral suit l'exemple du Québec sur le crédit d'impôt. Cependant, le crédit fourni n'est pas remboursable.[3]En 2014, le fait de perdre le lien parental initial donne du pouvoir aux adoptants, car selon les droits du beau-parent, c’est eux qui éduqueront l’enfant adopter, quelle que soit la conséquence.[4]

Comment adopter

modifier

Pour adopter un enfant qui est mineur, l'adoptant doit être majeure et avoir 18 ans de plus que l'enfant adopté. Les adoptants doivent adopter dans l'intérêt de l'enfant. Les parents biologiques doivent consentir à l’adoption. L’enfant âgé de 10 ans et plus peut refuser d’être adopté. Si l'enfant refuse : « Le tribunal sera obligé de respecter son refus). »[5]Cependant, pour adopter un enfant majeur, il y a plusieurs règles. L'adoptant, doit avoir un lien avec l'orphelin avant qu’il devienne majeur. Aussi, l'orphelin doit être en accord avec le fait de se faire adopter.

Référence

modifier
  1. « Être parents », sur Gouvernement du Québec (consulté le )
  2. Loi visant à lutter contre la pauvreté et l'exclusion sociale, Québec, Éditeur officiel du Québec, , 20 p. (lire en ligne), NOTES EXPLICATIVES
  3. Chaine en fisclalité et en finances publiques., « Crédit d’impôt pour frais d’adoption », Objectifs et description,‎ (lire en ligne  )
  4. « De l’exclusion à l’exclusivité familiale : petite histoire de l’adoption légale au Québec » (consulté le )
  5. « Ce que tout le monde devrait savoir sur l’adoption au Québec avec un avocat! – JuriGo.ca », sur jurigo.ca (consulté le )

Bibliographie

modifier