Utilisateur:Hockey200204/Brouillon

L'influence durable de Riel sur la politique nationale sera démontrée lorsque le 14 mars 1994,[1] la députée Suzanne Tremblay du Bloc québécois propose la loi C-288, « Ce projet de loi a pour objet l'annulation de la déclaration de culpabilité de Louis David Riel pour haute trahison, et non pas simplement le pardon à titre posthume.» [2]Il récidivait avec ce projet de loi C-228, mais il n'a pas eu plus de succès. La proposition est perçue dans la partie anglophone du pays comme une tentative de mobilisation des forces nationalistes québécoises à l'approche du référendum de 1995 sur la souveraineté de la Belle Province.[3]