Utilisateur:Cezrok/Brouillon
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Marjolaine Dégremont, née le 19 novembre 1957 à Buenos-Aires en Argentine est une artiste peintre et sculpteure franco-argentine.
Elle passe son enfance à Paris
Biographie[modifier | modifier le code][modifier | modifier le code]
modifierFille d'Albert Dégremont, avocat , militant socialiste auprès de Léon Blum, maire de Méru SFIO entre 1932/1937, en 1939 il fuit la guerre et part s'installer à Buenos Aires, Marjolaine grandit entre Paris et Buenos-Aires.
À partir de 1977, après le décès de ses parents, elle devient l'assistante d'un peintre -décorateur et se spécialise dans les peintures en trompe-l'œil . Elle travaille avec les plus grands décorateurs parisiens durant environ cinq ans et développe une expérience de la fresque, un rapport à l’espace et l’architecture qui se retrouve dans toutes ses installations et un intérêt particulier pour l' histoire de l'art et les primitifs italiens.
A partir de 1984 elle s'engage vers un travail plus personnel et devient artiste plasticienne à part entière dans l'art contemporain.
Elle apprend sa séropositivité en 1991
Elle développe un double parcours en s'engageant dans la lutte contre le SIDA à partir de 1997 avec Act-UP Paris où elle reprend la commission femmes , jusqu'à la Présidence d'Act up-Paris en 2008/2009[1]
œuvre artistique
Artiste contemporaine et sculpteure, sa première exposition personnelle a lieu en 1986 à la Galerie Philippe Boulakia, puis elle est lauréate de la Villa Médicis Hors les Murs en 1990 pour la Toscane où elle s'installe. .
Elle vit trois ans à Sienne où elle développe une recherche sur la relation entre l’espace bleu du ciel des primitifs italiens et l’art moderne des monochromes. Durant ces années elle expose avec avec la galerie Alessandro Bagnai à Sienne et Florence .
Elle travaille avec plusieurs galeries durant les années 80 et 90 , Philippe Boulakia, Isabelle Bongard, Alessandro Bagnai ...
De retour en France elle construit une "maison-objet" en Champagne où elle vit actuellement.
Son travail d'artiste plasticienne se développe vers les installations in situ et la sculpture.
Nuit Blanche 2013 à Paris avec la Déclaration Universelle des Droits Humains aux Archives Nationales de Paris
2018, "Topologie d'un espace intérieur blanc" au Cloître des Billettes
2022, Friche de l'escalette
2023 publication d'un premier livre VIVANTE, tiré à 200 exemplaires, premier d'une série de quatre livres, comme une mise au point de sa vie en lien avec son oeuvre.
Elle est lauréate de plusieurs appels à candidatures dont celui du Forum de l'Universel
Son travail est soutenu par le marchand d'art et collectionneur Eric Touchaleaume galerie 54
Elle écrit plusieurs articles dans le quotidien le Monde, notamment :
Un en alertant Ségolène Royale sur la difficulté d'être séropositive et de mener une carrière[2]
Et un co-signé avec Pierre Bergé sur la pénalisation de la transmission du VIH[3]
et participe à de nombreuses émissions de télévision et radios France Culture.
Son portrait a été publié dans REFORME[4]
- ↑ « »
- ↑ , dans , 3 mai 2022 (lire en ligne)
- ↑ , dans , 5 avril 2022 (lire en ligne)
- ↑ , dans , 18 avril 2022 (lire en ligne)
- ↑ , dans , 22 mai 2022 (lire en ligne)
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- Act Up-Paris, « Un peu d’histoire », sur Act Up-Paris, (consulté le )
- « Ségolène, ta solidarité ne suffit pas, par Marjolaine Degremont », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « La transmission sexuelle du sida au tribunal, par Marjolaine Degremont et Pierre Bergé », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Marjolaine Dégremont : Séropositive attitude », sur Reforme, (consulté le )