Utilisateur:Brutus12345/Brouillon

Les démarches pour l'adoption homoparentale sont beaucoup plus compliquées pour les hommes, car ils ont moins d'options. Ils n'ont pas accès à l'insémination et s'ils décident d'avoir recours à la gestation par autrui à l'accouchement, ils devront adopté l'enfant et les prénoms et noms de famille sur le certificat de naissance seront celui d'un des deux pères et de la mère porteuse, un des deux pères n'aura aucun droit si la mère porteuse ne rejette pas ses droits sur l'enfant. Le choix de la gestation par autrui ne garantit donc pas les droits du père non biologique puisqu'il n'existe aucun contrat légal qui les garantissent. La loi 84 a été acceptée à l'unanimité par l'Assemblée nationale de Québec, les parents peuvent maintenant avoir des droits mêmes s'ils ne sont pas les parents biologiques de l'enfant. Deux mères ou deux pères peuvent maintenant inscrire leurs noms sur le certificat de naissance d'un enfant adopté.Si deux mères décident d'avoir recours à la procréation amicalement assistée, l'homme qui est impliqué dans cette procréation a un an pour réclamer ses droits sur l'enfant. S'il décide de le faire, la mère non biologique perd tout ses droits sur l'enfant.Si des femmes optent pour l'insémination, le donneur n'a aucun droit sur l'enfant, car il a choisi d'offrir son sperme.De plus, la méthode de mère porteuse est une option, mais toute forme de rémunération est illégale au Québec.

Les pères sont moins nombreux à adopter, car plusieurs d'entre eux craignent d'élever un enfant dans un milieu hétérosexiste. 77% des couples homoparentales sont des femmes et 22% sont des hommes, le nombre de famille a doublé, il est passé de 975 en 2009 à 2 175 en 2016. Cette croissance semble être due à l’acceptations plus grande de l’homosexualité. De plus, un couple homosexuel sur dix sont parent, cette petite fraction est expliquée par la petite portion d'hommes pères.