Utilisateur:Aurélie Elise/Brouillon

Barrière de séparation israélienne

Les Nations unies ont mis en place un registre pour recenser les plaintes relatives aux dommages causés à la propriété par la barrière de séparation. Kofi Annan, alors secrétaire général de l'ONU, a déclaré : « ... nous mettons en place cet enregistrement pour être capables d'aider à temps ceux qui ont des réclamations ». Le gouvernement israélien s'est engagé à ce que les arbres touchés par la construction soient replantés.

Selon l'agence United Nations Relief and Works Agency (UNRWA), 15 communautés ont été directement touchées, représentant 138,593 Palestiniens, y compris 13,450 familles réfugiées, soit 67,250 personnes.

En juin 2004, le Washington Times[6] [archive] a rapporté que les besoins réduits pour des incursions militaires israéliennes à Jenin ont incité à des efforts pour reconstruire les rues et immeubles dévastés et à un retour progressif à un semblant de normalité et, dans une lettre daté du 25 octobre 2004 de la mission israélienne de Kofi Annan, le gouvernement d'Israël a souligné que certaines restrictions à l'est de la barrière ont été levées du fait de la barrière, incluant une réduction des points de contrôle de 71 à 47, et des barrages routiers de 97 à 111.

Le Jerusalem Post rapporte que pour quelques Palestiniens qui sont citoyens israéliens, vivant dans la ville arabe d'Israël Umm El-Fahm (42000 habitants), près de Jénine, la barrière a « améliorer leur vie de manière significative » d'abord parce qu'elle dissuade les voleurs et terroristes de venir dans leur ville et ensuite parce qu'elle a augmenté le nombre de clients venant d'autres parties d'Israël qui se seraient normalement rendus à la banque de l'ouest (West Bank), provoquant un rebond économique.

who would normally have gone to the West Bank, resulting in an economic boon. The report states that the downsides are that the barrier has divided families in half and « damaged Israeli Arabs' solidarity with the Palestinians living on the other side of the Green Line »39.

A UN report released in August 2005 observed that the existence of the barrier « replaced the need for closures: movement within the northern West Bank, for example, is less restrictive where the Barrier has been constructed. Physical obstacles have also been removed in Ramallah and Jerusalem governorates where the Barrier is under construction. » The report notes that more freedom of movement in rural areas may ease Palestinian access to hospitals and schools, but also notes that restrictions on movement between urban population centers have not significantly changed40.