Utilisateur:Alexander Doria/(Brouillons)

Classement des Œuvres d'Hérillos
Domaine concerné Logique Éthique Politique Ambiguë ou inconnu
Œuvres à sujet abstrait Sur la précompréhension Sur l'entraînementSur les passions
Œuvres à personnes abstraites Le MaîtreLe RéviseurLe Correcteur Le Législateur MaïeutiqueL'Adversaire
Œuvres mythologiques HermèsMédée
Autres Thèses Éthiques Dialogues


The symphonic poem, "Festklänge," begins with a martial rhythm given out by the kettle drums, which is taken up in the horns and other instruments, until, passing through a non-accord, it rests on a second accord of C with the C flat in the basses. This whole section, repeated a step higher, and closing on a second accord of D, with C in the basses, then runs into an Andante sostenuto, which, after a short passage in the brasses, develops a delicate treatment of a non-accord on G and A, and after eight measures returns into the first tempo, and, with a short modulation, strikes the principal theme, which is worked up to considerable length, when the rhythm of the Introduction enters in a Coda of eight measures, connecting with an Allegretto in polacca time. Its chief melody closes with a trill cadenza, after which the violins respond with a phrase based on inversion, followed by a livelier figure of a more pronounced polacca character, which appears alternat! ely in the violins and flutes, and which predominates during the rest of the movement, until its return to the first tempo. The Allegro mosso con brio is repeated in more extended form, and with new and enriched orchestration, only to return once more to the Polacca intermezzo, treated with similar variations and leading into the last Allegro in common time. Utilizing the themes of the march movement and reiterating the more essential motives, it runs into the Coda, which by the free use of the trumpet figure at the very opening and a very forcible ascending motive in the basses brings the composition to a close in truly festive style.

With the exception of the exuberant Festklänge - written in 1854 when Liszt was still hoping to marry his mistress, Caroline Sayn-Wittgenstei

Les leitmotivs dans le poème symphonique
Leitmotivs Force (Prométhée) Douleur Rédemption Persévérance
1ère partie Mesures 5 et 48sqq. Mesures 22 et 48sqq. (Allegro molto appassionato) Mesure 129
2de partie Mesure 225 sqq. Mesure 225 sqq. Mesure 161 (Allegro moderato)
3ème partie Mesures 237 (tempo primo), 299 et 385-443 Mesures 245 et 269 Mesures 304 et 364 Mesure 323



partie I - A : l’homme

1) le déroulement de la vie de Franz Liszt: biographie montrant les grandes lignes de son existence

2) les dimensions de l’homme

a)Un homme: la rédemption par l'amour?

  • l’amoureux : L'impact des femmes sur son existence: d'abord un violent rejet et un refuge dans la religion, puis son amour quasi-platonique avec Saint-Cricq qui le marquera à vie. Soit donc les trois Carolines et Marie D'Agoult (peut-être aussi mentionner Cosima)
  • le séducteur : Tous les éléments ne relevant pas de l’amour mais de son charme pour les éléves, jusqu’aux menaces de mort de certaines face à un rejet et les lettres d’amours qu’il recevait quotidiennement encore alors qu’il était âgé de plus de 60 ans; ainsi que des aventures éphémères (la comtesse Laprunarède, la comtesse Plater).

b)Un homme : cosmopolitisme ou nationalisme?

  • Cosmopolitisme: les voyages incessant d'un bout de l'Europe à l'autre suivant une sorte de quadrilatère: Paris-Weimar-Pest-Rome
  • Nationalisme: La question de l'origine de Liszt

c) Un homme : La recherche de l'engagement

  • Religieux: le catholicisme, la Franc-maçonnerie
  • Social: St-Simon, les concerts de charité (à l'occasion des inondations de Pest)


partie I - B : le musicien

1. Un musicien : le pianiste virtuose

on met “liszt pianiste” évidemment

2.Un musicien : le professeur (à qualifier comme il faut)

  • La méthode musicale (approfondire la partie sur le Lisztéisme+l'impact de l'enseignement de Czerny
  • Liszt et ses élèves: ses protégés, son rôle à l'académie de musique de Pest, la compagnie musicale qu'il tient à Weimar

3. Un musicien : le compositeur de son temps

  • L'engagement pour la musique de l'avenir: Weimar.
  • Ses relations avec les autres compositeurs. Soit, par ordre d'importance: Wagner, Chopin, Berlioz, Schumann, Brahms, Rossini, Verdi…



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La vie sentimentale modifier

L'amour forme la troisième composante de l'âme du compositeur hongrois, et il n'aura de cesse de vouloir l'unir avec les deux autres: en l'occurence l'art et la religion. Son père avait eu avant de mourir l'intuition du poids que celui-ci allait tenir dans sa vie: Il craignait que les femmes troubleraient mon existence et me domineraient (lettre à Carolyne de Sayn-Wittgenstein du 26 août 1874). Le premier émoi amoureux de Liszt remonte en fait à un concert donné à Vienne le 1er décembre 1822 où se produisait également une cantatrice hongroise de 7 ans son ainée Karolina Unger, qui fit sur lui, alors agé de douze ans, une forte impression. Jusqu'à la mort de son père, Franz Liszt effectue une sorte de refoulement de ses penchants amoureux en se réfugiant dans la religion. Or, la disparition d'Adam Liszt va l'amener à organiser des cours de piano afin de s'assurer son confort matériel. L'une de ses élèves n'étant autre qu'une certaine Caroline de Saint-Cricq, fille du ministre du commerce et de l'industrie. Avec le consentement de la mère de celle-ci, un amour platonique se développe entre eux, les amenant à prolonger la leçon de piano jusqu'à 10 heure du soir. Or, la mort de Md. de Saint-Cricq, qui a pourtant déclaré avant d'expirer qu'elle souhaitait leur mariage, va mettre fin à cette idylle. Mr. de Saint-Cricq refuse en effet que sa fille épouse un artiste, et renvoie celui-ci en mettant fin aux leçons. Caroline se mariera avec le comte d'Artigaux et Franz Liszt, désespéré, sombrera dans une nouvelle crise mystique.

Remis sur pied par la révolution de 1830, Franz Liszt connaîtra des aventures éphémères avec la comtesse Plater, muse de Chopin, et la comtesse Adèle de Laprunarède. Puis, il fait la rencontre en 1832 de Marie d'Agoult née Flavigny dans le salon de la marquise de Le Vayer. Il laissera tout de suite à celle-ci toujours froide d'apparence une vive impression: "Madame Le Vayer parlait encore que la porte s'ouvrait et qu'une apparition étrange s'offrait à mes yeux. Je dis apparition, faute d'un autre mot pour rendre la sensation extraordinaire que me causa, tout d'abord, la personne la plus extraordinaire que j'eusse jamais vue" (Comtesse d'Agoult, Mémoires 1833-1854). Leurs relations au cours de l'année qui va suivre seront difficile, et faites de ruptures et de réconciliation successive. La mort de la fille de Marie et du comte d'Agoult, Louise, va mettre fin à ces tergiversations. En effet, lorsque Liszt de retour de la Chênaie vient la réconforter, Marie lui demande: "Qu'aviez-vous à me dire et qu'allez vous m'apprendre? Vous partez?", et Liszt de répondre "Nous partons" (ibid). Le couple s'enfuit alors en Suisse, où tous deux connaîtront deux mois de bonheur: "Personne ne savait notre nom (…) Presque partout à nous voir si semblables (…) on nous prenait pour frère et sœur; nous en étions tout ravis. Une telle erreur ne témoignait-elle pas, mieux que tout le reste, des affinités secrètes qui nous avaient si fortement attirés l'un à l'autre" (ibid). Mais Liszt commet ensuite une double erreur: faire venir son jeune protégé Hermann Cohen qui viole leur intimité, puis accepter, à la suite de l'insistance de son ami Pierre Wolloff un concert à Genève. D'autant que la société genevoise est plutôt médisante à l'égard de Marie. En témoigne le journal de Valérie Boissier: "C'est une femme de 30 ans au moins, un blonde fade!". Entretemps, une fille Blandine est née, mais Liszt rêve de partir à Paris pour en découdre avec la nouvelle étoile montante, Thalberg. Il y part pour trois jours, il rentrera 2 mois plus tard, le 6 juin 1836. À son retour, l'atmosphère genevoise commençant à devenir pesante lui et Marie décident d'aller rejoindre George Sand à Chamonix. L'année suivante, Liszt repart à Paris pour le duel final avec Thalberg tandis que Marie s'installe chez George Sand à Nohant. Désireux de relancer leur couple, Liszt et Marie font une nouvelle échappée amoureuse en Italie. Le souvenir qu'en garderont l'un et l'autre sera assez différent: pour Liszt "Lorsque vous écrirez l'histoire de deux amants heureux, placez-les sur les bords du lac de Côme" (Lettres d'un bachelier ès musique), alors que Marie est plus circonspecte "Je m'étonne quelque fois de le voir si constamment gai, si heureux dans la solitude absolue où nous vivons" (Mémoires). Lentement, la situation se dégrade, et Liszt saisit l'occasion des inondations de Pesth de 1838 pour faire une série de concerts dans l'empire autrichien. Alerté par un de ses amis que la santé de Marie s'est dégradé, il abrège son séjour et rentre à Venise. Finalement la séparation de facto a lieu en octobre 1839: Liszt partant pour Vienne, tandis que Marie gagnait Paris. Désormais leur union n'aura plus qu'un caractère formel: Marie le rejoint lors de sa tournée à Londres, et tous deux passeront leurs vacances trois années successives à Nonnenwerth. La parution en 1846 de Nélida, roman à clé où Marie peignait, sous le pseudonyme de Daniel Stern, un bilan négatif de son union avec Liszt; va être le prétexte pour celui-ci à la rupture définitive. Au total le roman d'amour entre Liszt et Marie d'Agoult suscitera des jugements contrastés. Des Lisztiens comme Zsolt Harsanyi porteront ainsi tous les torts sur Marie d'Agoult, qui, il est vrai, portait le flanc à la critique en écrivant dans Nélida: "Il (c'est-à-dire Liszt) sentit la supériorité morale que Nélida (c'est-à-dire elle-même) prenait sur lui en cette circonstance. Cette supériorité devint chaque jour plus évidente, et aussi plus insupportable".

Au début de l'année 1847, Liszt par pour Kiev où il organise un concert caritatif au bénéfice des salles d'asiles. Le prix des places est fixé à 5 roubles. Or une mystérieuses bienfaitrice en offrit 100 roubles. Intrigué Liszt apprend qu'il s'agit de la princesse de Sayn-Wittgenstein, qui, vivant seule en Podolie, était venue à Kiev régler diverses affaires, et lui rend visite à Woronice en octobre après une série de concerts en Russie. Des liens forts, platoniques et artistiques, entre eux se mettent en place au cours de ce séjour: Liszt compose Les glanes de Woronice qu'il dédie à sa nouvelle muse, tandis que Carolyne aurait pressenti, selon une légende non entièrement accréditée, que celui-ci serait le plus grand compositeur de son temps, en écoutant son Pater noster. Carolyne vivant séparé de son mari, elle pense pouvoir obtenir aisément le divorce pour l'épouser. Ayant accepté les fonctions de maître de chapelle à Weimar, Liszt se rend début janvier à la principauté où Carolyne doit le rejoindre, tandis que les révolutions font rage en Europe. Afin d'éviter les troubles en Pologne, le tsar décrète la fermeture de la frontière: Carolyne et sa fille, Marie, passent in extremis. Par souci des convenances, Liszt s'installe à l'hôtel Erbprinz, et Carolyne au palais de l'Altenberg. En 1849, tous deux se rendent à Bad Eilsen où ils rédigent les principaux ouvrages de Liszt sur Chopin et la musique tzigane. Puis Liszt, là d'attendre un divorce qui ne vient pas, en dépit de l'influence de la grande-duchesse de Weimar sur le tsar, décide de s'installer avec Carolyne à l'Altenburg. Les conséquences ne s'en font pas attendre: la société conservatrice de Weimar puis la cour grande-ducale, ferment leurs portes à la princesse. De la sorte leur existence devient très précaire : "Nous étions réduits aux dix doigts de Liszt". En 1854, Carolyne est bannie de Russie, et tous ses biens sont saisis. Dès lors, Carolyne va suivre le quotidien de Liszt pendant la décennie qui va suivre, exception faites d'un séjour à Zurich, chez Wagner, de la princesse.

Liste des liaisons féminines de Franz:

  1. Karolina Unger (1822 et 1835)
  2. Caroline de Saint-Cricq (1827)
  3. Adèle de Laprunarède
  4. Comtesse Plater
  5. Marie d'Agoult
  6. Camilla Pleyel (1837)
  7. George Sand (1837)
  8. Md. Solnsev (1846, St-petersbourg)
  9. Lola Montès
  10. Carolyne de Sayn-Wittgenstein
  11. Agnès Denis-Street née Klindworth (weimar)
  12. Olga Meyendorff
  13. Olga Janina
  14. Lina Smalhausen