Service d'actions et de renseignements militaires
| Service d'actions et de renseignements militaires | ||||||||
| Création | ||||||||
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| Disparition | ||||||||
| Affiliation | Forces armées zaïroises | |||||||
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Le service d'actions et de renseignements militaires (SARM) était le service responsable du renseignement militaire et de la sécurité intérieure du Zaire, pendant la dictature de Mobutu.
Organisation modifier
La hiérarchie du SARM est composée d'officiers des forces armées. Conçu pour briser les menaces intérieures et extérieurs, le service compte un régiment d'action commando[1]. Le personnel du SARM était estimé à environ 1500-2000 militaires[réf. souhaitée].
Histoire modifier
Un premier service de renseignements militaires et d'actions (SRMA) est créé le , son chef d'état-major est le général Bonsange Bompense[2],[3]. Le service d'actions et de renseignements militaires est lui créé le , commandé par le général Mahele[4]. Ce dernier sera ensuite remplacé par le général Bolozi Gbudu.
Références modifier
- (en) Peter Abbott (ill. Raffaele Ruggeri), Modern African Wars (4) : The Congo 1960–2002, coll. « Men-at-Arms » (no 492), , 48 p. (ISBN 978-1-78200-076-1), p. 24
- « Ordonnance no 85167 du 22 juin 1985, portant nomination du Chef d’État-Major du Service de Renseignements Militaires et d'Actions », Journal officiel de la république du Zaïre, no 13, , p. 13 (lire en ligne)
- Jean-Claude Willame, L'automne d'un despotisme. Pouvoir, argent et obéissance dans le Zaïre des années quatre-vingt, Paris, Karthala, , 226 p. (ISBN 2-86537-343-6, lire en ligne)
- « Ordonnance no 86279 du 6 novembre 1986, portant nomination d'un Chef d’État-Major du Service d'Actions et de Renseignements Militaires », Journal officiel de la république du Zaïre, no 22, , p. 42 (lire en ligne)
