Rue Marie-et-Louise

rue de Paris, France

La rue Marie-et-Louise est une voie du 10e arrondissement de Paris, en France.

10e arrt
Rue Marie-et-Louise
Voir la photo.
Vue de la rue.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 10e
Quartier Porte-Saint-Martin
Début 33, rue Bichat
rue Alibert
Fin 8, avenue Richerand
Morphologie
Longueur 130 m
Largeur 12 m
Historique
Dénomination 1879
Ancien nom Rue Marie-Louise
Géocodification
Ville de Paris 5998
DGI 6076
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Marie-et-Louise
Géolocalisation sur la carte : 10e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 10e arrondissement de Paris)
Rue Marie-et-Louise

Situation et accès modifier

La rue Marie-et-Louise est une voie publique située dans le 10e arrondissement de Paris. Elle débute au 33, rue Bichat, au carrefour de la rue Alibert, et se termine au 8, avenue Richerand.

Origine du nom modifier

Marie et Louise sont les prénoms des deux filles de monsieur Dubois, ancien propriétaire[1].

Historique modifier

Cette voie est ouverte en 1873, par le propriétaire du terrain, M. Dubois, sous le nom de « rue Marie-Louise ». Comme ce nom pouvait laisser croire qu'il avait été donné en mémoire de l'impératrice Marie-Louise, épouse de Napoléon Ier, mariée en secondes noces au comte de Neipperg, elle a été modifiée par le nom de « rue Marie-et-Louise », par arrêté du , afin de respecter l'origine du nom voulue par monsieur Dubois.

Lors des attentats du 13 novembre 2015 en France, une fusillade frappant les clients du café Le Carillon et le restaurant Le Petit Cambodge, tout proches de la rue Marie-et-Louise, fait quinze morts[2]. Le Monde décrit peu après l'atmosphère particulière de convivialité régnant à l'angle des rues Bichat, Alibert et Marie-et-Louise, « carrefour de rien du tout mais névralgique d’un petit coin caché du Paris bobo populaire d’aujourd’hui et d’hier[3] ».

Annexes modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Références modifier

  1. Voir le site de la mairie de Paris.
  2. Camille Bordenet, « Dans le 10e, rue Bichat : “Le quartier en a vu d’autres, on va s’en remettre” », lemonde.fr, (consulté le ).
  3. Laurent Telo et Jean-Philippe Leclaire, « Dîner au Petit Cambodge et refaire le monde au Carillon », lemonde.fr, (consulté le ).