Prix du rayonnement français (homonymie)
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Plusieurs « prix du rayonnement français » portent des noms très voisins qui peuvent prêter à confusion :
- Grand prix du rayonnement français[1]. Créé en 2009 par Joëlle Garriaud-Maylam, sénatrice des Français établis hors de France, ce prix du rayonnement français « récompense chaque année les femmes et hommes qui font rayonner les valeurs de la France sur tous les continents ».
- Prix du rayonnement de la langue et de la littérature françaises[2] ; grand prix de l'Académie française. Adossé à la Fondation Broquette-Gonin, ce prix annuel, créé en 1960, est destiné à des personnalités françaises ou étrangères ayant rendu à la langue et aux lettres des services particuliers.
- Prix du rayonnement français ; il récompense une personnalité s'étant illustrée par sa contribution au rayonnement de la langue et de la culture françaises et par la défense de la langue française. Attribué par le Comité du rayonnement français installé en Suisse depuis le début des années 1990, il a été attribué entre 1996 et 2013. Le comité a changé son nom en Association suisse pour le rayonnement des cultures francophones en 2002 [3]
- Un prix du rayonnement français est attribué tous les deux ans en mathématique et physique-chimie. Ce prix, d’un montant de 7500 euros, émane de l’associa- tion Réalités et Relations internationales (ARRI)[4]. La liste des lauréats inclut notamment :
- Georges Charpak (1982),
- Bernard Malgrange (1986),
- Pierre-Arnaud Raviart (1991),
- Cécile DeWitt-Morette (1992),
- Arnaud Beauville (1995),
- Jean-Pierre Bourguignon (1997),
- Thomas Tursz (2001)
- Michel Duflo (2002),
- Françoise Barré-Sinoussi (2003)
- Jean-Louis Krivine (2004),
- Jean-Marie Tarascon (2004)
- Anne-Marie Lagrange (2007)
- Jamal Tazi (2009)
- Mathias Fink (2010)
- François Bouchet (2011).