Portail:Football canadien/Articles sélectionnés
IntroductionLa section Articles sélectionnés du portail permet de mettre en avant aléatoirement un article parmi les différentes sélections proposées ci-dessous. Pour ajouter un article au tirage aléatoire, veuillez suivre les étapes ci-dessous :
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Sélection 1C'est lui qui dirige l'offensive et appelle les jeux. Il se place généralement directement derrière le centre, l'un des joueurs de ligne offensive. C'est donc au quart-arrière que l'avant-centre remet le ballon au début de chaque séquence de jeu, après avoir reçu son commandement. Les joueurs de son équipe doivent le protéger d'un plaquage le temps qu'il envoie la balle ou la donne à un coureur, ou même qu'il n'entame soi-même une course. S'il se fait plaquer avant de passer le ballon et qu'il est toujours derrière la ligne de mêlée, cela s'appelle un sac. Il doit également éviter de se faire intercepter le ballon par l'équipe adverse ou d'être plaqué de sa zone de but, auquel cas l'équipe subirait un touché de sureté qui rapporterait deux points à l'adversaire et lui rendrait la possession du ballon. |
Sélection 2En cours de match, le botté de placement consiste pour le botteur de précision, à faire passer le ballon à la volée la barre horizontale entre les poteaux (ou leur prolongement) des buts adverses. Au fond de chaque zone d'en-but, un poteau des buts est dressé au milieu de la largeur du terrain. Ce poteau est complété par une barre horizontale située à 10 pieds de hauteur et elle-même complétée par deux poteaux verticaux distants de 18 pieds et 6 pouces, le tout mesurant 40 pieds. Contrairement au rugby où les poteaux forment un H, au football nord-américain, les poteaux ont la forme d'un Y. |
Sélection 3Au football canadien, les joueurs de l'équipe qui botte ne peuvent s'approcher à moins de 5 verges du receveur du botté avant qu'il ne touche au ballon. Le botteur et tous les joueurs qui étaient derrière lui avant qu'il effectue le botté peuvent récupérer le ballon même si aucun joueur de l'équipe adverse n'y ont touché. Si le ballon botté touche ou traverse la ligne de fond ou la ligne de côté dans la zone des buts, l'équipe qui a effectué le botté marque un point (simple). Si le receveur de botté attrape le ballon dans sa zone de but, il peut faire progresser le ballon ou concéder le (simple). Lorsqu'un (simple) est marqué. L’équipe contre laquelle le simple a été marqué remet le ballon en jeu, premier essai, n’importe où entre les traits de remise en jeu de sa ligne de 35 verges. |
Sélection 4On parle d'échappé pour tous les jeux où il y a perte de possession du ballon qui est en contrôle du joueur, ce qui exclus les passes (on parle d'interception), les bottés et les remises de ballon. Si le ballon touche le receveur de botté et tombe au sol, ou dans une remise la ballon glisse des mains du joueur, ce n'est pas considéré comme un échappé. En règle générale, on ne peut échapper un ballon qu'un joueur ne contrôle pas. La perte de ballon lorsqu'il y a contact avec le sol ne peut être considérée comme un échappé. Un échappé peut être provoqué par un joueur de la défensive lorsque celui-ci empoigne ou frappe le ballon et que celui-ci échappe des mains du joueur. |
Sélection 5 |
Sélection 6 |
Sélection 7Né de parents français du Pays basque émigrés au Nouveau-Mexique, Sam Etcheverry a joué pour l'équipe de l'université de Denver de 1949 à 1951. Le nouvel entraîneur des Alouettes de Montréal, Doug « Peahead » Walker, remarque une photo prise à l'université et apprécie sa façon de décocher une passe. Sans l'avoir vu jouer, il l'invite au camp d'entraînement des Alouettes. Au début de la saison 1952, le quart-arrière partant Frank Nagle se blesse et Etcheverry prend la relève. Il deviendra dès lors le quart numéro un des Alouettes pour les neuf années suivantes. À cette époque, il joue également comme secondeur et botteur de dégagements. |
Sélection 8Grant se voit offrir le poste d'entraîneur-chef des Blue Bombers en janvier 1957, alors qu'il n'est âgé que de 29 ans. Il reste dix saisons à ce poste, contribuant à l'une des périodes les plus glorieuses de l'histoire des Blue Bombers. En effet, sous sa gouverne Winnipeg gagne 127 des 187 matchs qu'ils jouent, participent à six finales de la coupe Grey et en remportent quatre. En 1967, il accepte le poste d'entraîneur-chef des Vikings du Minnesota de la National Football League (NFL). Il reste avec les Vikings pendant 18 saisons, soit de 1967 à 1983, puis encore en 1985. Durant ce temps, il remporte le championnat de la NFL en 1969 et le championnat de la National Football Conference en 1973, 1974 et 1976. Participant au Super Bowl ces quatre années, il n'en remporte aucun. Il est intronisé au Temple de la renommée du football canadien en 1983, et au Pro Football Hall of Fame en 1994. |} |