Mio Mao: Fatiche ed avventure di alcuni giovani occidentali per introdurre il vizio in Cina

Mio Mao: Fatiche ed avventure di alcuni giovani occidentali per introdurre il vizio in Cina est une comédie politique turco-italienne de Nicolò Ferrari sortie en 1970.

Mio Mao: Fatiche ed avventure di alcuni giovani occidentali per introdurre il vizio in Cina

Réalisation Nicolò Ferrari
Scénario Nicolò Ferrari
Acteurs principaux
Sociétés de production Rizzoli Film
Akun Film Kollektiv Sirkati
Pays de production Drapeau de l'Italie Italie
Drapeau de la Turquie Turquie
Genre Comédie politique
Durée 103 minutes
Sortie 1970

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Synopsis modifier

Le jeune Judas est un manifestant italien qui voit son idéal révolutionnaire se concrétiser avec la révolution culturelle de Mao Tsé-Toung. Il décide donc de partir en Chine avec un groupe d'amis qui partagent ses idéaux.

Fiche technique modifier

  • Titre original italien : Mio Mao: Fatiche ed avventure di alcuni giovani occidentali per introdurre il vizio in Cina[1] (litt. « Mon Mao : Les efforts et les aventures de quelques jeunes occidentaux pour introduire le vice en Chine. »)
  • Réalisateur : Nicolò Ferrari
  • Scénario : Nicolò Ferrari
  • Photographie : Gerardo Patrizi
  • Montage : Marcella Benvenuti
  • Musique : Teo Usuelli
  • Décors : Paola Mugnai
  • Costumes : Danda Ortona
  • Maquillage : Stefano Trani
  • Sociétés de production : Rizzoli Film (Rome), Akun Film Kollektiv Sirkati (Turquie)
  • Pays de production :   Italie -   Turquie
  • Langue originale : italien
  • Format : Couleur par Eastmancolor - 2,35:1 - Son mono - 35 mm
  • Durée : 103 minutes
  • Genre : Comédie politique
  • Dates de sortie :

Distribution modifier

Accueil critique modifier

« "Les sentiments et l'amour ne doivent plus exister pour nous, ils sont la base de l'individualisme, la pire des drogues !". Le vocabulaire révolutionnaire poussé à l'extrême est celui que privilégient les dialogues délirants de Mio Mao, si nobles et en même temps si continuellement excessifs que le film glisse dans un registre politico-mystique incontrôlable [...] On pourrait presque croire à l'effort et à la nécessité de ce groupe de jeunes rebelles pour introduire le vice en Chine afin que la révolution développe les bons anticorps, disent-ils - s'il n'y avait pas l'incroyable musique de Teo Usuelli, des fugues élaborées au rythme du jazz avec des chœurs du XVIIIe siècle, qui ramènent tout au grotesque poussé et à l'excentricité sous-jacente des personnages et des lieux [...] Bientôt, le groupe commence à se séparer, à se perdre, chacun suivant sa propre voie. De même que le spectateur, qui ne suit plus le film et s'intéresse de moins en moins au sort de ses protagonistes... »

— Pierpaolo De Sanctis[2]

Notes et références modifier

Liens externes modifier