Metropolis (club)

discothèque de la banlieue sud de Paris

Le Metropolis, renommé LOFT Metropolis depuis 2009, est l'une des plus grandes discothèques de France située au sud de Paris, dans la commune de Rungis (94). Le bâtiment a pour originalité de former un pont au dessus de l'Autoroute A106. La discothèque est notamment connue pour avoir lancé le style de danse Tecktonik, qu'elle accueillait jusqu'en 2008[1].

Metropolis
Présentation
Type
Site web
Localisation
Adresse
10 rue du Pont-des-Halles (d) Voir et modifier les données sur Wikidata
Rungis, Val-de-Marne
 France
Coordonnées
Carte

Historique

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Le Metropolis a été inauguré en 1991 le nom était NOUBA CLUB de 1978 à 1991 [2]. La marque Metropolis a été déposée à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) le .

En 2009, le Metropolis est l'objet de travaux importants de rénovation à l'issue desquels il est renommé LOFT Metropolis[2].

Le Metropolis est considéré comme la plus grande discothèque de la région Île-de-France[3],[4]. Plusieurs ambiances cohabitent au sein de la discothèque divisée en quatre parties : Le LOFT (DanceFloor Music), Le Manhattan (Rn’B / Hip Hop / Dancehall), La Palmeraie (Disco Funk / Généraliste ), L’Hacienda (Zouk / Afro / Reggaeton)[2].

Avant de devenir une discothèque, l'endroit était occupé par un restoroute, apparu au cinéma en 1976, dans L'Aile ou la Cuisse de Claude Zidi, sous l'enseigne fictionnelle Tricatel.

En 1990, le Metropolis est utilisé pour quelques scènes du film S'en fout la mort de Claire Denis.

En 2015, la discothèque est utilisé pour une scène du film Le Transporteur : Héritage de Luc Besson.

Pour approfondir

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Liens externes

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Notes et références

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  1. « Divorce entre le Métropolis et la tecktonik », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  2. a b et c « Le Metropolis sur une nouvelle piste », sur le site du quotidien Le Monde, (consulté le ).
  3. « Des initiatives partout en France », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  4. Thierry Dague (avec Charlotte Moreau, « Au Metropolis, à chacun sa musique », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).