Marcela Aguiñaga

femme politique équatorienne

Marcela Paola Aguiñaga Vallejo, née le à Guayaquil est une femme politique équatorienne. Elle a occupé le poste de deuxième vice-présidente de l'Assemblée nationale de l'Équateur. Auparavant, elle était ministre de l'Environnement[1].

Marcela Aguiñaga
Fonction
Député
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
Université catholique de Santiago de Guayaquil (en) (legum licentiatus) (jusqu'en )
Université de Guayaquil (en) (maîtrise (en)) (jusqu'en )Voir et modifier les données sur Wikidata
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Partis politiques

Biographie modifier

Formation modifier

Elle fréquente l'Université catholique de Santiago de Guayaquil (en) où elle obtient un diplôme en droit. Elle poursuit ensuite ses études supérieures en droit de l'environnement et développement durable à l'Université de Guayaquil (en)[1].

Vie professionnelle modifier

Elle commence sa carrière en 1999 en tant qu'assistante juridique et avocate associée au sein de l'Estudio Jurídico Aguiñaga & Compañía. En 2000, elle poursuit sa carrière en tant qu'assistante juridique pour le parc national des Galápagos[2].

Carrière politique modifier

En 2007, Marcela Aguiñaga commence à travailler pour le ministère de l'Environnement. De mars à septembre 2007, elle est sous-secrétaire aux ressources halieutiques. Par la suite, elle occupe le poste de sous-secrétaire à l'aquaculture, de septembre à novembre 2007[2]. Elle est nommée ministre de l'Environnement par le président Rafael Correa le , en remplacement de l'avocate Anita Albán[1]. Elle met fin à son mandat de ministre de l'Environnement en novembre 2012 pour briguer un siège à l'Assemblée nationale en tant que candidate de l'Alliance PAIS aux élections de février 2013[3]. Elle est élue[4] et est nommée deuxième vice-présidente du Conseil d'administration législative (un organe de l'Assemblée) en mai 2013[5].

En 2019, elle révèle qu'elle est l'un des trois membres de l'Assemblée nationale sur lesquels le procureur général a enquêté pour avoir prétendument incité à la violence lors de la grève générale d'octobre 2019. Les deux autres sont Marcela Holguín (en) et Daniel Romero (en)[6].

Depuis 2021, elle est présidente du Mouvement de la révolution citoyenne, un nouveau parti de gauche pro-Correa[7].

Notes et références modifier

  1. a b et c « Marcela Aguiñaga Vallejo » [archive du ], Ministry of the Environment of Ecuador
  2. a et b « Marcela Aguiñaga Vallejo Curriculum Vitae » [archive du ], Ministry of the Environment of Ecuador
  3. « Perfil - Candidata Asambleista Nacional Lista 35 » [archive du ], Marcela Aguiñaga (consulté le )
  4. « Listado General de Asambleístas 2013 - 2017 » [archive du ], National Assembly of Ecuador (consulté le )
  5. « "Female" Assembly generates optimism in Ecuadorian women » [archive du ], Ecuador Times, (consulté le )
  6. « Tres legisladoras del bloque correísta son investigadas por presuntamente incitar a la violencia durante el paro », El Comercio,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. Rebeca Mendoza, « Glas appears before a judge in the Guayas Court of Justice », The Cuenca Dispatch,‎ (lire en ligne)