La Bayamesa

hymne national de Cuba

La Bayamesa est l'hymne national de Cuba depuis 1902. Il a été écrit par Pedro Figueredo et composé par Carlos Manuel de Cespedes (héros révolutionnaire) . Joué en public pour la première fois en 1867, un an avant la guerre de 10 ans.

La Bayamesa (es)
L'Hymne de Bayamo
Hymne national de Drapeau de Cuba Cuba
Paroles Pedro Figueredo
1868
Musique Carlos Manuel de Cespedes
1867
Adopté en 1902
Fichier audio
La Bayamesa (Instrumentale)
noicon
Des difficultés à utiliser ces médias ?
Des difficultés à utiliser ces médias ?
Des difficultés à utiliser ces médias ?

Paroles modifier

L'hymne comporte actuellement deux strophes, et les quatre strophes qui suivaient à l'origine ont été retirées officiellement.

Paroles actuelles (es) Traduction en français

Al combate, corred, bayameses,
Que la Patria os contempla orgullosa;
No temáis una muerte gloriosa,
Que morir por la Patria es vivir.

En cadenas vivir, es vivir
En afrenta y oprobio sumido;
Del clarín escuchad el sonido;
¡A las armas, valientes, corred!

Bayamais, courez au combat,
Que la Patrie orgueilleuse vous contemple;
Ne redoutez pas une mort glorieuse,
C'est vivre que mourir pour la Patrie.

Vivre enchaîné, c'est vivre,
Soumis aux affronts et à l'opprobre
Écoutez le son du clairon,
Aux armes, braves, courez!

Paroles retirées (es) Traduction en français

No temáis; los feroces iberos
son cobardes cual todo tirano
no resisten al brazo cubano
para siempre su imperio cayó.

Cuba libre; ya España murió
su poder y orgullo do es ido
¡Del clarín escuchad el sonido,
a las armas valientes corred!

Contemplad nuestras huestes triunfantes
contempladlos a ellos caídos,
por cobardes huyeron vencidos
por valientes supimos triunfar.

¡Cuba libre! Podemos gritar
del cañón al terrible estampido
¡Del clarín escuchad el sonido,
a las armas valientes corred!

Ne craignez pas les féroces Ibères
Ce sont des lâches comme tous les tyrans
Ils ne résistent pas au bras cubain
Leur empire est tombé pour toujours.

Cuba libre ! L'Espagne est morte
Son pouvoir et son orgueil, où sont-ils ?
Écoutez le son du clairon,
Aux armes, braves, courez!

Voyez nos armées triomphantes
Voyez comme ils sont tombés
Lâches, ils ont fui, vaincus
Braves, nous avons su triompher.

Cuba libre! Nous pouvons crier
au rugissement terrible du canon
Écoutez le son du clairon,
Aux armes, braves, courez!

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :