Geochelone
genre de reptiles
Geochelone
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Classe | Reptilia |
Sous-classe | Chelonii |
Ordre | Testudines |
Sous-ordre | Cryptodira |
Famille | Testudinidae |
Geochelone est un genre de tortues de la famille des Testudinidae[1].
Répartition modifier
Description modifier
Ces tortues terrestres sont principalement herbivores. Leur taille se mesure à la longueur de leur carapace.
Longévité modifier
Les tortues ont généralement des durées de vie comparables à celles des êtres humains, mais certaines des Geochelone sont connues pour pouvoir vivre plus de 150 ans. Pour cette raison, elles symbolisent la longévité dans quelques cultures, par exemple en Chine.
Liste des espèces modifier
Selon TFTSG (20 juin 2014)[2] :
- Geochelone elegans (Schoepff 1795) — Tortue étoilée d'Inde
- Geochelone platynota (Blyth 1863) — Tortue étoilée de Birmanie ou tortue à dos plat
et l'espèce fossile :
- Geochelone orthopygia (Cope, 1878)
- Geochelone burchardi (Ahl, 1926)
- Geochelone vulcanica (López-Jurado & Mateo, 1993)
- Geochelone gymnesica (Bate, 1914)
Taxinomie modifier
Les espèces des genres Aldabrachelys, Astrochelys, Centrochelys, Chelonoidis et Stigmochelys ainsi que l'espèce fossile Testudo atlas étaient autrefois classées dans Geochelone.
Publication originale modifier
- Fitzinger, 1835 : Entwurf einer systematischen Anordnung der Schildkröten nach den Grundsätzen der natürlichen Methode. Annalen des Wiener Museums der Naturgeschichte, vol. 1, p. 105-128 (texte intégral).
Voir aussi modifier
Liens externes modifier
- (fr + en) Référence CITES : genre Geochelone (sur le site de l’UNEP-WCMC) (consulté le )
- (fr + en) Référence ITIS : Geochelone Fitzinger, 1835 (consulté le )
- (en) Référence NCBI : Geochelone (taxons inclus) (consulté le )
- (en) Référence Paleobiology Database : Geochelone Fitzinger 1835 (consulté le )
- (en) Référence TFTSG : [PDF]
- (en) Référence UICN : taxon Geochelone (consulté le )
Bibliographie modifier
- Auffenberg, 1971 : A New Fossil Tortoise, with Remarks on the Origin of South American Testudinines. Copeia, vol. 1971, no 1, p. 106-117.