Discussion utilisateur:Floréalréal/Brouillon

Voici mon brouillon.

Valeur du patrimoine

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Bonjour. Beau boulot  J'aime ! Je ne comprends pas la logique de la « baisse de la valeur du patrimoine ». Si cette valeur est exprimée en pouvoir d'achat de biens et services de consommation, elle augmente si le prix des actifs baisse moins que l'IPC . Faut-il indiquer que « d'habitude » le prix des actifs baisse plus ? J'ai la flemme de me plonger dans les manuels d'économie . Touchatou (discuter) 16 mars 2016 à 18:38 (CET)Répondre

Bonjour. Merci   Touchatou :  . En effet si la déflation ne touche que les biens de consommation, le ratio valeur des actifs sur IPC augmente. Mais là il s'agissait d'expliquer l'impact d'une déflation généralisée qui touche aussi le prix des actifs. La baisse du prix des actifs ampute les agents d'un réservoir de consommation dans le futur, et même d'une garantie pour emprunter et investir, ils sont donc inciter à maintenir leur encaisses réelles à un niveau constant même en valeur nominale, ce qui peut les conduire à réduire leur consommation pour épargner plus. J'espère être clair  . A bientôt ! --Floréalréal (discuter) 16 mars 2016 à 22:52 (CET)Répondre
Il s'agit (1) d'un problème de définition de la déflation, selon qu'on reconnait que les siècles passés ont ou non été parsemés de déflations "non généralisées" sans baisse du prix des actifs - ou selon qu'on accepte qu'une déflation puisse ne pas ressembler du tout à la crise de 1929 ; (2) d'une théorie de comportement contestable : je doute que ceux dont le seul actif sérieux est leur logement considèrent qu'il s'agisse d'un « réservoir de consommation pour le futur » ; les actifs des ménages sont extrêmement concentrés sur des ménages assez aisés pour que la valeur de ces actifs n'aient aucun effet sur leur consommation, etc. Touchatou (discuter) 12 mai 2016 à 00:25 (CEST)Répondre
Quand on parle de l'impact de la baisse du prix des actifs en période de déflation, le mécanisme est surtout opérationnel dans les pays anglo-saxon ou au Japon, ou les ménages détiennent beaucoup plus d'actif (types actions, obligations) que les français, ne serait-ce que parce que le système de retraite par capitalisation (à l'inverse de notre système par répartition) les obliges à investir dans de tels actifs. --Floréalréal (discuter) 12 mai 2016 à 10:44 (CEST)Répondre

Incohérence temporelle ou incohérence dynamique

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Bonjour. Sauf erreur, les économistes francophones préfèrent le terme "incohérence dynamique", que ce soit pour les comportements économiques (par ex., en:Time-inconsistent preferences qu'on a proposé de fusionner avec en:Dynamic inconsistency) ou les théories du style Kydland-Prescott. Pas uniquement pour traduire mot-à-mot en:Dynamic inconsistency, mais aussi pour éviter les conflits avec les psychologues (non psychoéconomistes) qui utilisent "incohérence temporelle" dans des sens différents : incohérence des traits de personnalité au cours du temps, incohérence entre les jugements, l'acceptabilité morale, etc. selon qu'ils concernent le passé ou l'avenir, etc. Chacun son jargon. Amha, « Incohérence dynamique (économie) » serait un meilleur titre. Touchatou (discuter) 11 mai 2016 à 23:59 (CEST)Répondre

Bonjour, je vous ai répondu sur la page de discussion de l'article en question   --Floréalréal (discuter) 12 mai 2016 à 10:45 (CEST)Répondre
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