Discussion:Suzanne Aron

Dernier commentaire : il y a 3 ans par Michel Gurfinkiel dans le sujet Quelle Suzanne Aron alors ?
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Quelle Suzanne Aron alors ? modifier

L'attribution à l'épouse de Raymond Aron de trois événements attribués à une Suzanne Aron est contestée :

  • en 1957, la pétition pour Djamilla Bouhired
  • en décembre 1940, la demande de libération de la famille Rudenski-Lizszye
  • en 1948, la fondation de l'école Yabné.

Les révocateurs sont priés d'apporter des éléments à l'appui de leur dires.--Barbanegre (discuter) 2 février 2020 à 17:00 (CET)Répondre

Pour la pétition, il faut attribuer l'affirmation de la signature de Suzanne à Pierre Vidal-Naquet. Elle ne semble pas contradictoire avec les positions du couple Aron contre la guerre d'Algérie. Pour la demande de libération dans l'Hérault, c'est effectivement bizarre si Suzanne est dès novembre 1940 réfugiée au Maroc. Ici on parle d'une Suzanne Aron très généreuse et de sa fille, amies inséparables d'Henri Schilli, à Montpellier avant guerre et à Valence après guerre. Sauf erreur, ce n'est pas la trajectoire géographique de la Suzanne Aron qui nous intéresse : à Toulouse avant guerre, à Paris après.--Barbanegre (discuter) 2 février 2020 à 18:16 (CET)Répondre
Pour la fondation de l'école Yabné, il n'y a pas trop de doute : il n'y a qu'une seule épouse de Raymond Aron. Et il n'y a aucune obligation de religion : à l'époque, pas mal de philantropes étaient protestants, me-semble-t-il, sans parler des justes... --34 super héros (discuter) 2 février 2020 à 19:23 (CET)Répondre
On a le lien entre la fondation de l'école Yabné et Suzanne Aron dès le jour de création de l'article en 2013.
Le 1er février 2019, BaronBark fait son unique contribution dans Wikipedia en supprimant l'information au motif : Dominique Schnapper (oral) et non mentionné dans Raymond Aron : Mémoires.
Le 30 octobre 2019, LeParc introduit la source countercurrents parlant clairement de l'engagement de Suzanne Aron pour Yabné dans un article centré sur Raymond Aron.
Le 13 janvier 2020, l'IP 176.159.122.26 révoque sur une homonymie en argumentant que Suzanne non juive n'a pas fait de philanthropie juive.
Aujourd'hui si on retourne sur la source countercurrents, on trouve en * la note suivante « This essay originally stated that Suzanne Aron “took up a remarkable interest in Jewish life in the postwar years, contributing to the foundation of two Jewish religious schools, the École Yabné (which initially was housed in and supported by the Gustave de Rothschild Foundation) and the École Moria.” Counter-Currents was even cited by French Wikipedia’s article on Suzanne Aron in support of this fact. However, Aron’s descendants have contacted us to say that these schools were in fact not founded by Raymond Aron’s wife, who was rather irreligious, but by a different woman of the same name. The text has been corrected accordingly. »
Dispose t'on encore d'une source non circulaire (6 ans de présence dans Wp) arguant explicitement d'un lien entre Yabné et l'épouse de Raymond Aron ?--Barbanegre (discuter) 2 février 2020 à 20:22 (CET)Répondre
Effectivement, c'est bien compliqué. --34 super héros (discuter) 2 février 2020 à 23:49 (CET)Répondre
Une dame Aron, qui n'était pas l'épouse de Raymond Aron mais l'héritière d'une famille juive fortunée, a effectivement créé et financé l'Ecole Yabné en 1948. Par la suite, en raison d'un différent avec la direction de cette école, elle a fondé et financé un autre établissement, l'Ecole Moria, dont elle a assuré la direction jusqu'à son décès dans les années 1980, conjointement avec le sieur Simon Blau mentionné dans la fiche de Suzanne Gauchon épouse Aron. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Michel Gurfinkiel (discuter), le 4 mai 2020 à 00:44 (CEST)Répondre
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