Discussion:Marc Ravalomanana
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plutot que de dire que Marc Ravalomana s'est "emparé" (verbe que l'on emploirait plutôt pour un vulgaire putschiste, ce qu'il n'est pas) du pouvoir en juillet 2002, il serait plus objectif il me semble de dire qu'il a "accédé" au pouvoir, au terme de la crise politique...
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 62.39.240.207 (discuter), le 27 octobre 2003 à 20:34.
Ravalomanana s'autoproclame président dans un stade de football de la capitale devant 100.000 partisants.
modifierLe stade de football en question est celui de Mahamasina qui a une symbolique particulière : c'est dans ce stade que se trouve la pierre sacrée sur laquelle Andrianampoinimerina a été intrônisé Roi de Madagascar. Mahamasina d'ailleurs veut dire en français "qui sacre" de la racine masina : sacré. Alors plutôt que de dire dans un stade de football mieux vaudrait dire "dans l'enceinte où fût couronné le roi Andrianampoinimerina".
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 62.173.237.222 (discuter), le 26 novembre 2004 à 11:13.
Ce terme d'"auto-proclamation" résulte uniquement de la propagande française, dans le cadre de la politique dite de la françafrique. En réalité, dans le contexte local, au vu des institutions du pays, l'accès au pouvoir de Ravalomanana était parfaitement justifiable et ne s'apparentait en rien à un coup d'état. Le pouvoir était légalement vacant et ce sont plusieurs membres de la Haute Cour Constitutionnelle (dont la composition fut d'ailleurs "renovée" deux semaines avant le début des éléctions par Ratsiraka, ce qui était illégal comme il sera par la suite reconnu!) qui l'ont avalisé, aux côtés d'autres instances supérieures.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 80.119.219.59 (discuter), le 10 janvier 2006 à 01:22.
malagasy
modifier1947 et 1972 representent a madagascar l equivalent de l occupation sous vichy et mai 68 en france
Le president de la republique malgache represente une autre histoire de madagascar paradoxalement la 3° republique et la 4° republique n'ont pas été correcte avec elle
Il est maladroit de penser que la meilleure methode pour valoriser cette histoire est d effacer tronquer l autre histoire meme si paradoxalement elle a ete prise en consideration par la 5° republique
Les abus anterieurs sont detestables il ne faut pas faire la meme erreur de plus les livres d histoire sont la
La variete est une reponse a la complexite et un moyen de reecrire ou compenser l histoire en donnant une autre image de madagascar la preuve le rang economique de madagascar dans l economie mondiale
Les malgaches hors de madagascar sonT Postmodernes
Le ps est absent sur ce theme ( tripartisme et ramadier ) ............
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 129.102.254.253 (discuter), le 23 juillet 2005 à 18:04.
Oui mais bon quand on s'autoproclame président avant l'heure le mot "emparer" convient parfaitement. D'ailleurs ce n'est pas citer????
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 80.13.25.12 (discuter), le 21 octobre 2005 à 13:08.
Je voudrai revenir sur le passage "Ces vértiables actes de guerre, soutenus tacitement par la France ".
En dehors de la faute de frappe "véritables" et non "vértiables", je pense qu'il est tout à fait incorrect de parler d'actes de guerre soutenus tacitement par la France. En quoi la France a-t-elle soutenu les actes des pro-ratsiraka? Quel Etat a dénoncé et donc a déjoué l'arrivée de mercenaires qui avaient embarqués dans un avion privé?
La vérité est que l'ENSEMBLE de la communauté internationale s'est abstenue d'un quelconque soutien à l'une ou l'autre des parties, à l'exception de l'ancien Ambassadeur de Grande-Bretagne, qui entre temps a pris des fonctions dans une association proche de Marc Ravalomanana.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 194.2.239.195 (discuter), le 13 novembre 2006 à 17:11.
Reconnaissance
modifierLa phrase "Le 26 juin enfin, l'ensemble de la communauté internationale reconnaît pleinement la légitimité de l'élection de Ravalomanana, à l'exception de la France qui ne s'y décide que le 3 juillet, en dépéchant Dominique de Villepin, alors ministre des Affaires Etrangères à Antananarivo" est tout à fait inexacte. En fait de reconnaissance de "l'ensemble" de la communauté internationale, Marc Ravalomanana a eu la reconnaissance écrite des Etats Unis d'Amérique ce jour là. Par contre, ce qui est exact, c'est que le 6 Mai 2002, l'ensemble du corps diplomatique (les numéros 2 pour la plupart), à l'exception de la France était présent à Mahamasina pour l'investiture de Marc Ravalomanana.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 194.2.239.195 (discuter), le 13 novembre 2006 à 17:28.
Poursuites
modifierL'article indique: "Pour échapper à la justice, Ratsiraka, et nombre d'anciens dignitaires de son régime s'enfuient alors à l'étranger, en particulier en France où les autorités s'abstiennent de les poursuivre."
La phrase est ambigue. La France ne peut poursuivre l'ancien Président sans un mandat international, que Madagascar n'a jamais émis. La phrase correcte devrait être "...en particulier en France où les autorités malgaches s'abstiennent de les poursuivre"
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 194.2.239.195 (discuter), le 13 novembre 2006 à 17:31.
Je viens de modifier
modifierJe viens de modifier anonymement (bon, plus maintenant) en ajoutant la référence à la Lettre ouverte de Libération (dernière phrase à ce jour). Deux problèmes : je ne sais pas italiser ([i] ?) - donc, si la référence est conservée, merci d'italiser Libération - ni lier (avec l'article sur l'écrivain en question). Quid de ce discours de Dakar de N. Sarkozy ? Il y a déjà une entrée à ce sujet ?
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Jtombeur (discuter), le 13 août 2007 à 14:14.
Hors de propos et tendancieux
modifierNEUTRALITE, NEUTRALITE! "Les merinas qui se distingue par la préservation apparente de caractères ancestraux indonésiens (Les Merinas sont considérés par les autochtones comme faisant partie des derniers migrants venus à Madagascar. Et c'est ce qui explique l'absence notable dans l'histoire du pays des souvenirs des quelconques habitations des ces nouveaux arrivants dans les régions côtières) .Cette digression sur les merinas n'a rien avoir avec l'article et d'ailleurs c'est pur spéculation.Ravalomanana est un merina,point!Si le lecteur souhaite en savoir plus sur les merinas ,qu'il suit le lien.Qui sont considérer comme autochtones? Les Anglais ,les Français?...Wikipédia n'est pas un blog.Neutralité.Faits vérifiables. Citation des sources.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 41.204.106.25 (discuter), le 9 avril 2008 à 06:37 .
- J'ai cru bon d'ajouter l'interview suivant dans l'article : Le président déchu accuse la France par Sébastien Hervieu dans Le Monde. Asteriks (d) 29 octobre 2009 à 23:46 (CET)
Neutralité
modifierCet article a quelques soucis de neutralité (probablement dû au côté controversé du personnage, et des pouvoirs politiques en jeu).
Voici une liste de phrases que j'ai supprimé car non-sourcées et non-neutres:
- La capitale Antananarivo retrouve peu à peu son image d'antan, la ville est propre et se modernise.
- Le premier mandat du président Ravalomanana a été plutôt calme et stable. Le pays repart sur les rails du progrès et tous les indicateurs démontrent le bon développement du pays Économie de Madagascar. L'éducation et la santé sont les priorités du gouvernement mené par Maître Jacques Sylla. Des nouvelles routes dessinent le paysage malgache, tous les secteurs sont en développement exponentielle et les investisseurs accourent.
- Ces résultats (réélection) s'expliquent par le changement global ressenti au niveau de toute les couches de la population malgache.
- Cependant le style du président n'est pas du goût de ses opposants et d'une infime partie de la population qui profitait de la gabegie des précédents régimes, ainsi que ceux inquiets et inquiétés du monopole de fait qu'avait son groupe d'entreprise (Tiko) dans bien des secteurs du moment qu'il accédât au pouvoir. La corruption étaient de plus en plus maitrisée empêchant les fraudes douanières ainsi que les pots de vin au sein de l'administration, sauf pour les activités de son groupe d'entreprises.
- La politique de Marc Ravalomanana repose sur le multilatéralisme. En effet, le dernier président malgache élu démocratiquement a ouvert les investissement à diverses pays (Russie, Norvège, États-Unis, Canada, France...) mettant un terme au partenariat exclusif néo-colonialiste avec la France. C'est pour cette diversification des relations que Marc Ravalomanana a été taxé de francophobe alors qu'il est évident que dans cette ère de mondialisation, il n'y a que cette méthode qui permet au pays d'avancer. Marc Ravalomanana a ainsi fait jouer la concurrence pour l'exploitation du pétrole malgache causant ainsi la colère du groupe Total qui espérait en avoir l'exclusivité. Chose que Total a obtenu dès la chute du Président Ravalomanana.
- La population des bas quartier est payée pour suivre les meeting quasi-quotidien du maire.
- Le mouvement de contestation s’essoufflant, des gens payés par Andry Rajoelina saccagent la radio MBS, l'imprimerie Blue Print et les magasins Magros, tous appartenant à Marc Ravalomanana. Le 7 février 2009, les manifestants marchent sur le Palais Présidentiel et forcent 3 barrages des forces de l'ordre qui leurs indiquent que c'est une zone rouge. Un échange de tirs se produit entre des tireurs embusqués et la garde présidentielle causant alors de nombreux décès et blessés par balle. Aucune enquête n'a encore permis d'établir la vérité sur cet événement. --> interprétation dangereuse des faits, pas de vérité officielle
- Les putschistes refuseront toujours de mettre la lumière sur cette journée et rejettent l'entière responsabilité sur le président élu. En une partie de l'armée rejoint le mouvement de contestation et prend d'assaut le palais présidentiel d'Ambohitsorohitra, dans lequel toutefois le président Ravalomanana ne se trouve pas. Ceci démontre bien le coup d’État confirmé par le Président Nicolas Sarkozy.
- D'interminables négociations démarrent à partir de là dans le but d'obtenir la reconnaissance internationale mais Andry Rajoelina et ses collaborateurs campent dans l'unilatéralisme et plongent Madagascar dans une longue crise socio-économique. La signature d'une feuille de route le 17 Septembre 2011 apparait comme un début dans la résolution de la crise mais le pouvoir de transition refuse le retour de Marc RAVALOMANANA, dernier président élu démocratiquement, seul gage de la reconnaissance internationale.
-- Envahisseur, d, 15 février 2012 11:20