Discussion:Hard bop

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C'est intéressant, ça. Les autorités anglophones attribuent le hard bop ou à une tentative de rendre le bebop plus invitant pour le public ou comme un développement naturel pendant une époque où bien des musiciens travaillaient dans tous les genres de la musique noire. Et qui sait qui a raison? Peut-être est-il vraiment expression de la "Black Pride." Je suppose qu'il pourrait étre de la recherche historique à ce sujet, mais on ne peut pas se fier à ça. Trontois

Ce qui m'amuse, c'est l'énergie que beaucoup consacrent à entériner un concept qui a pris un faux départ. Un jour, quelqu'un décide d'inventer un terme générique pour définir un courant musical. En général un non-artiste.

 C'est le cas pour ce "hard-bop" qui est sorti de nulle-part et que personne ne semble vouloir remettre en question. 
 Une chose est sûre: aucun musicien n'a changé sa façon de jouer en voulant "faire" du "hard-bop". C'est la même musique, dix ans plus tard, c'est à dire du Jazz, binaire (afro-cubain) ou ternaire. Tous les musiciens cités dans l'article sont des disciples de Charlie Parker, sans exception. Tous jouent le blues "Jazz", "swing" , "bop".
 Une chose reste, et qui échappe à ceux qui ne "font" pas la musique, parce qu'ils ne la jouent pas. C'est la faible exploitation du mode mineur dans le répertoire de Charlie Parker, qui a laissé une vaste étendue sonore à exploiter quand sa disparition a laissé un héritage monumental donc à la fois un vide et une liberté d'exploration.

Pourtant, le hard bop est plus près du funk que du be-bop, et par là, aussi éloigné du cool jazz que du be bop !

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