Discussion:Gouverneur général du Canada

Dernier commentaire : il y a 7 ans par Poky Pierre dans le sujet modifications
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J'ai apporté quelques modifications aux différentes sections, mais je me demande s'il est vraiment pertinent de raconter toute l'histoire du postes de gouverneur de la Nouvelle-France. Personnellement, dans cet article il s'agit d'une fonction dans un régîme britanique, je ne vois pas le lien.

Bien le gouverneur general(Nouvelle-France) dans ces temps si n'a pas la même valeur qu'avant.Je m'explique. Le Canada n'est plus considière comme une colonie mes bien un pays. Si je remonte dans l,histoire de la Nouvelle-France qui était le Canada le gouverneur étaient le remplacent du roi dans cette colonie.

Messieur David Johnson j'ai grand besoin de vous dire quelque chose en privé. Que dois-je faire svp?

                   Potensky CLERVOYANT Poky Pierre (discuter) 14 avril 2017 à 17:07 (CEST)Répondre

Commissaires des territoires modifier

J'ai enlevé la phrase :

et les commissaires des territoires,

Je ne pense pas qu'un commissaire soit le représentant de la Reine, au contraire, il représente le Parlement du Canada, et il est nommé par celui-ci. En fait, c'est ce qui distingue justement le lieutenant-gouverneur du commissaire.--Staatenloser 17 août 2005 à 21:12 (CEST)Répondre

La nomination du commissaire du Nunavut : [1]--Staatenloser 17 août 2005 à 21:22 (CEST)Répondre

Un bordel!? modifier

Quelqu'un a mis le bordel dans cet article.. je vais faire de mon mieux pour le remettre sur pied..

--Sir_mike 26 décembre 2006 à 04:00 (CET) -J'ai retouché un peu.. mais il vas falloir que quelqu'un d'expérimenté (notamment en politique et en histoire) retouche cet article. Car j'ai vue beaucoup d'erreurs...Répondre

Traduction= modifier

Visiblement, quelqu'un a tenté de rajouter pas mal de matériel depuis l'anglais à cet article, et il s'en ressent. Je n'ai pas le temps de m'y pencher mais il faudrait qu'une bonne âme s'y mette... - Boréal (:-D) 2 février 2007 à 04:32 (CET)Répondre

Le débat se déplace... modifier

Eh oui, c'est peut-être ici qu'il a sa place, le débat entamé sur les pages de Jeanne Sauvé, Adrienne Clarkson et Michaëlle Jean. En effet, ce sont les seules femmes ayant occupé ou occupant les fonctions de gouverneur général du Canada et, en tant que telles, l'Office français de la langue française du Québec a depuis plusieurs années adopté un "faux" féminin, créé par lui et repris par un effet de snobisme boomerang par certains autres francophones dans le monde: le fameux "gouverneure générale". Tous les mots en "-eure" sont du même tonneau, inventés de toute pièce en contradiction avec la grammaire du français pour ce cas. Je répète que l'Académie française, qui n'a évidemment aucun pouvoir pour faire respecter ses recommandations, est, en tout les cas, la seule autorité scientifiquement compétente pour émettre des avis sur notre grammaire, même (et je dirais même parce que) elle évolue. Pour le moment, les mots féminins en "-eure" n'existent pas, et il faut bien l'admettre. "Auteure, professeure, docteure" et autres barbarismes ont certes le droit de cité dans des ouvrages canadiens francophones, ou éventuellement belges ou suisses si ça leur chante, mais en France, c'est extrêmement incorrect. N'en déplaise à mon homonyme Cyriloo qui aura vite fait de lire ce commentaire au fil de ses recherches wikipédiennes, et certainement d'y répondre. Il est vrai que des choses incorrectes hier sont devenues admises et parfois conseillées dans notre grammaire, mais si nous nous mettons à admettre tous les usages, même s'ils contreviennent à notre grammaire, venant de la rue, de la presse ou de je ne sais où, à quoi bon avoir une langue structurée ? Admettons tout et son contraire, interdisons d'interdire, tout le monde il est beau et gentil, peace and love... Je dis ça également par rapport à l'invasion de l'anglais dans notre quotidien quand nous avons souvent un mot adéquat. Et pour montrer que le Québec a tout mon respect en dehors des absurdités sur le féminin cité plus haut, ils se font un devoir de faire respecter le français autant que faire se peut (tout au moins dans la langue écrite, car dans la langue orale, ils sont bien plus adeptes du franglais que nous le pensons). Un crash, ah ça fait bien de dire ça ! Eh bien le mot écrasement existe, au pire le mot accident même s'il est plus général. Mais songeons que le mot anglais crash est lui-même très général pour un anglophone et peut concerner un avion comme toute autre chose. Bravo pour le néologisme courriel qui vient combler un vide dans notre langue et contrer l'idiotie des anglicismes mail ou e-mail. Un joueur de football ou de tout autre sport est également désigné depuis longtemeps par des mots venus de l'anglais (mais qui ne sont pas le réel équivalent dans cette langue), ils sont à présent ancrés, soit. Mais au moins, soyons logiques et écrivons un footballeur, un volleyeur ou un handballeur (allemand). Le "tennisman" est lui une horrible création tenat plus du monstre de Frankenstein que d'un mot français. Quant au verbe "retoquer" que j'ai récemment entendu à tire-larigot dans les médias, c'est une pure invention (même si cette fois-ci, elle vient directement du français); le verbe retoucher n'existe-t-il pas ? Mais non, c'est la mode d'employer des barbarismes, des néologismes, des anglicismes, des italianismes... en veux-tu en voilà. Chacun est libre de faire ce que bon lui plaît dans le privé. Lorsqu'on est publié, dans la presse, l'édition ou sur internet, il faut non seulement veiller autant que faire se peut à employer une bonne orthographe mais aussi une bonne grammaire et un bon vocabulaire. Sinon, à quoi sert l'école ? Ah, on veut la bannir également ? Elle a des défauts, certes, mais elle est le garant (et non la garante) de notre culture collective, qu'on le veuille ou non. J'appellerai le cas de "gouverneure, auteure, etc." des surcorrections, tout comme l'exemple qui me vient à l'esprit et qui me hérisse tout autant, tout droit venu d'un savant mélange pseudo intellectuel entre l'italien, le latin et le français: le pluriel du mot scénario que d'aucuns veulent écrire "scénarii". Quelle honte ! Le mot scénario est entré dans la langue française il y a bien longtemps déjà, tout comme les pâtes également venues d'Italie, et on l'a habillé de notre grammaire avec un accent aigu et un simple "s" pour la marque du pluriel. Un scénario, des scénarios (un imprésario, des imprésarios). Le double i ("ii") vient du latin, alors que le mot scenario est italien; à la rigueur, son pluriel transalpin est scenari (un seul "i"). "Scénarii" est donc une surcorrection, un barbarisme, une atrocité, une connerie, quoi. Il en va de même pour "gouverneure".

On dirait que je me suis laissé déborder, mais maintenant, c'est fait !  --Cyril-83 18 septembre 2007 à 00:48 (CEST)Répondre

oui effectivement   Cela dit, je ne vois pas trop le rapport avec scénario, mais bon. sur le fond, ta position souffre de la même contradiction fondamentale que celle de l'Académie, à savoir considérer que l'on peut "arrêter" ce qui est juste ou faux à l'état de la langue à une période donnée. (l'exemple des néologismes tant onnis mais soudain accpetés comme préférables aux emprunts le montre à l'envi, même si sur ce point nous sommes d'accord) Or le critère est essentiellement celui de l'usage. Et c'est aussi le seul qui soit conforme à la règle générale de la neutralité de point de vue de WP. Il n'y a pas si longtemps, ministre était un mot masculin (Le Petit Robert, 1993), mais, même en France, l'usage de "la ministre" s'est imposé en quelques mois sous le gouvernement Jospin, malgré l'avis de l'Académie. Et même toi aujourd'hui tu es d'accord de féminiser première ministre - à juste titre! Bref, ma proposition de se baser sur l'usage est à mon avis la seule acceptable pour les partisan-e-s   de l'Académie comme pour les "rénovateurs", pour les Français comme pour les autres. Je conviens qu'il soit difficile pour les Français de comprendre l'agacement que suscite leur petit air supérieur de donner des leçons, notamment à leurs "amis" de la francophonie qui ont le privilège d'utiliser ce qu'ils considèrent comme "leur" langue, mais il s'agit d'une réalité que les Suisses, Belges et autres Québécois partagent avec bcp d'autres non francophones. Et je le dis malgré le grand respect et la grande admiration que j'ai pour la France, qui est aussi mon pays d'origine, comme beaucoup de Suisses à Genève. Et la même chose vaut pour Paris, je suis sûr que ça tu peux le comprendre. Oui, la France c'est un chouette pays démocratique, républicain, laïc, solidaire, de service public, de culture, etc., sur de nombreux points on devrait suivre l'exemple, mais d'autres fois c'est le contraire.   (désolé j'abuse du   mais il est dans mon presse-papier mnt  ). Bref, la meilleure chose serait de se mettre d'accord et de faire une petite recommandation, plutôt que de passer par une PDD lourde et dont on ne sait si elle aboutira à qqch... --Cyriloo 18 septembre 2007 à 09:02 (CEST)Répondre
Cher Cyriloo, que devra faire la Wikipédia francophone si un État non francophone a un jour une femme comme gouverneur ou gouverneur général ? Je songe à l'Australie, à la Nouvelle-Zeélande ou à tout autre État dont le chef est la reine d'Angleterre (pardon, du Royaume-Uni  ) ou des Pays-Bas et bien sûr aux États des États-Unis où un gouverneur est le chef de l'exécutif. Le Canada et consorts diront bien sûr "gouverneure (générale)", mais quelle autorité pour décider si c'est officiel ou pas dans le cas d'un État non francophone ? Je viens de me rendre compte que le cas existe à Sainte-LucieDame Pearlette Louisy, une femme donc, est mentionnée par l'épicène (donc au masculin neutre) gouverneur général. Qu'en penses-tu ?--Cyril-83 19 septembre 2007 à 20:31 (CEST)Répondre
Le cas est loin d'être annecdotique, effectivement (cf. Liste de dirigeantes politiques). (Pour le moment, je n'ai pas touché aux pages en question en attendant qu'on règle la question...  )) Ce que je proposais dans Discuter:Jeanne Sauvé: en l'absence d'usage majoritaire local attesté, par exemple pour la traduction de titres étrangers, usage d'une forme qui convient aux différents points de vue (ex. au lieu de "LE gouverneur Kathleen Blanco", une formulation épicène "Kathleen Blanco, gouverneur de l'Etat". En effet, gouverneur (au féminin sans E) est (était en tout cas) attesté en Belgique et en France, donc pourquoi pas, même si je trouve ça affreux. Pour aller dans le sens de la nouvelle proposition de Pingu King (Discuter:Jeanne Sauvé), on peut en plus ou alternativement procéder par note ou indication de la variante entre parenthèses comme cela se fait ailleurs su WP. Si la version masculine est plus utilisée parce que les médias français y ont recours, pas de problème pour moi d'en faire le terme principal, mais la formule épicène évitera de longs débats.  ) Une autre alternative inspirée de WP:en serait de s'en tenir en cas de doute à la version choisie par l'auteur initial, mais je trouve ça un peu boîteux et pas évident à définir. --Cyriloo 20 septembre 2007 à 09:56 (CEST)Répondre
L'article actuel dit : Mme Jean est devenue ainsi la 27e gouverneure générale et succède ainsi à la Très Honorable Adrienne Clarkson. De plus, Mme Jean est la troisième femme à accéder à cette fonction et la deuxième à ne pas être née au Canada. Or, Mme Jean n'est que la 3e femme, c'est bien précisé. Selon la logique des tenants du féminin en "-eure", il faudrait dire "27e gouverneur général et 3e gouverneure générale". Ah la la, c'est dur d'être logique avec soi-même !
Cela dit, je pense qu'il est temps de prendre une décision: on ne peut pas laisser le féminin en "-eure" pour le Canada et en "-eur" pour les pays non francophones, c'est illogique, stupide et indigne. Que fait donc notre wikipompier ?  --Cyril-83 3 octobre 2007 à 16:51 (CEST)Répondre
Tu marques un point, en tout cas un demi. L'avocat doit-il de même interpeler une avocate comme sa consoeur ou son confrère? Les deux sont faux, mais l'un heurte plus le sens commun... Bref, j'ai contourné la difficulté par l'emploi d'une formule neutre qui heureusement existe en l'espèce. Cela étant, j'attendais effectivement notre wikipompier, qui ne pensait pas je crois devoir résoudre une question si épineuse. Lancer une PDD est en effet très lourd et je suis assez sûr de ne pas avoir les connaissances et la disponibilité pour porter la chose sur mes seules épaules. Pour conclure, "indigne" me paraît un peu fort pour qualifier le manque d'uniformité sur cette question. Je viens de lire un compte rendu dans le quotidien suisse Le Temps sur les mercenaires étatsuniens de Blackwater qui ont impunément fait un carton en tuant 17 passants irakiens, sans que cela n'émeuve grand monde, alors d'autres choses sont à relativiser...--Cyriloo 4 octobre 2007 à 02:44 (CEST)Répondre

Pour l'article GG du Canada, la difficulté semble, en effet, contournée, et je n'y reviendrai pas, histoire de ne pas pinailler... tant que nous n'aurons pas réglé, bien sûr, la validité du féminin récriminé dans d'autres articles  . Bien sûr qu'il faut tout relativiser, mais comparons ce qui est comparable, veux-tu ? Cependant, je constate que tu emploies (certainement volontairement) dans ton commentaire le terme "étatsuniens" que je récuse aussi fortement comme un néologisme artificiel. Employé dans un article économique et ciblé, il me semble déjà inutile. Le terme "américain", même s'il peut renvoyer à deux réalités géopolitiques, a toujours été compréhensible selon le contexte. "Des mercenaires américains" est la forme correcte et la plus attestée qui nous laisse comprendre immédiatement qu'il s'agit de mercenaires venant des États-Unis. Ce besoin de créer un nouveau gentilé me semble complètement absurde, encore une fois. Je connaissais l'équivalent espagnol "estadounidense", à utiliser également dans un contexte économique bien précis et avec parcimonie, mais je ne sache pas que d'autres langues aient ressenti le besoin de créer un doublon d'un terme se suffisant à lui-même. D'ailleurs, j'ignore également si cette mode qui se répand également de façon pseudo-intellectuelle dans l'Éducation nationale tient son origine du Canada et de son Office québécois de la langue française, mais je trouverais loufoque d'entendre une phrase du style "Les Français, les Italiens, les Mexicains et les Étatsuniens...", ou bien "Bonjour, je m'appelle John Smith, je suis étatsunien." Aberrant, inutile et lourd. Je m'en vais de ce pas voir s'il existe un article sur ce sujet.--Cyril-83 6 octobre 2007 à 13:18 (CEST)Répondre

Je te taquine, et toi tu cours!   C'est toute la question: savoir si on peut faire évoluer la langue de manière un peu volontariste. "Altermondialiste" par ex. a me semble-t-il été inventé en Belgique, je me souviens encore qu'en Suisse son usage était très exotique, et finalement il s'est répandu comme une traînée de poudre, en à peine quelques mois. Je l'ai adopté dès le début, car à l'évidence "antimondialisation"W ne pouvait décrire un mouvement fondamentalement ouvert sur le monde. On verra ce qu'il adviendra d'étatsunien, dont le développement est un peu plus poussif, j'en conviens.--Cyriloo 9 octobre 2007 à 13:10 (CEST)Répondre

Retrait du bandeau modifier

Je propose le retrait du bandeau «Recyclage»; j'ai vérifié la plupart des informations qui pouvaient sembler fausses ou erronées et j'ai tenté de sourcer l'article de manière convenable, si vous trouvez certaines erreurs n'hésitez pas à m'en faire part. Guillaume (d) 29 décembre 2007 à 04:00 (CET)Répondre

Bien d'accord que le bandeau n'est plus nécessaire. J'ai corrigé ce que j'ai pu comme fautes restantes. Cortomaltais parloir ➔ 29 décembre 2007 à 06:47 (CET)Répondre

Pouvoirs du Gouverneur général modifier

Dans la section "Rôle gouvernemental" on trouve la phrase suivante :

"Un gouverneur général pourrait théoriquement refuser une dissolution, mais les circonstances qui le lui permettraient sont imprécises. Un refus pourrait être justifié si un gouvernement minoritaire était en fonction très brièvement et qu’un autre parti semblait pouvoir réussir à obtenir la confiance de la Chambre. La dernière fois qu’un gouverneur général a refusé de dissoudre le parlement, c’était durant la susmentionnée affaire King-Byng."

Pourtant ce droit est disparu depuis justement l'affaire King-Bing. Voici ce que j'ai trouvé à la page 638, 5e par. de "Actes de l'Amérique du nord britannique et statuts connexes, 1867-1962" de Maurice Ollivier, publié par l'Imprimeur de la Reine, Ottawa.

"Le droit qu'avait le gouverneur d'accepter ou non l'avis de ses ministres au sujet de la dissolution des Chambres, droit qui a été si âprement discuté lors de la crise politique de 1926, est disparu à la suite de la décision prise à l'époque par le peuple canadien, et il paraît impossible qu'un gouverneur refuse aujourd'hui une dissolution au parti au pouvoir, puisqu'il est maintenant, comme l'a déclaré la Conférence de 1926, «dans la même position, en ce qui concerne l'administration des affaires publiques des dominions, que Sa Majesté le Roi en Grande-Bretagne». Or il est admis qu'en Angleterre le roi doit suivre l'avis de ses ministres. Le Gouverneur général doit donc, lui aussi, suivre l'avis des ministres du dominion dont il est le gouverneur."

GCloutier (d) 4 décembre 2008 à 21:09 (CET)Répondre

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