Discussion:Françoise Morvan/archive1

Dernier commentaire : il y a 18 ans par Sammy Moreau dans le sujet censure
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J'ai remplacé "des découvertes renversantes" par "des découvertes qui la sidèrent". Ces découvertes ne sont pas universellement "renversantes", elles le sont pour Françoise Morvan. Gwalarn 10 mai 2005 à 00:57 (CES

Le breton unifié modifier

Dans ce paragraphe il est dit :

Dans son ouvrage : Le Monde comme si, elle met le doigt sur les ambiguïtés, selon elle, du régionalisme breton, et dévoile selon ses détracteurs au grand jour son "nationalisme français".

Phrase incomplète : qui sont ses détracteurs (des noms, des dates, des lieux) ? Pourquoi des guillemets : parce que c'est une citation ou parce que c'est une conclusion personnelle de celui qui a écrit cette phrase ? Plus une phrase est critique et plus elle se doit d'être précise. S'il n'y a pas de détracteurs identifiés, alors cette fin de phrase est un simple point de vue non neutre.Gwalarn 2 jul 2005 à 14:06 (CEST)

Tel que le paragraphe a été reformé la phrase n'a plus de raison d'être.

Quand Françoise Morvan soutient -que le breton est une langue "qui ne sert à rien", -qu'il vaut mieux dépenser pour les centres culturels français à l'étranger que pour les panneaux bilingues en Bretagne , c'est une bien curieuse façon de témoigner "une grande tendresse" envers la langue bretonne, et il est tout à fait logique d'y voir plutôt l'affirmation d'un choix politique, une position nationaliste française.

Modification de Ollamh: pour occulter aimablement le passé de Guyonvarc'h, ou le fait que Françoise Morvan n'hésite pas à chercher ses soutiens à l'extrême-droite quand cela l'arrange, pour les besoins de sa cause?

Modifications de PANDARAN: "C'est une érudite en contes populaires bretons dans leur version française "et bretonne"". POURQUOI PAS? CE DOIT ETRE FACILE A PROUVER! Mais qu'a-t-elle publié? Des contes en français... En breton? Toujours rien? mais un jour, peut-être...

"Elle estime plus urgent de défendre la culture francophone". Qu'en termes galants ces choses -là sont dites! Allez! Elle est bien plus précise quand elle s'en prend aux écoles Diwan, aux panneaux bilingues, au breton à l'université de Rennes, aux publications en breton "subventionnées" (seul le français aurait droit aux subventions pours raisons de linguistique constitutionnelle, les pommes de terre pour les uns, les épluchures pour les autres)...

Pour certains souhaitant "rétablir" le breton dans les administrations : http://elec.enc.sorbonne.fr/document188.html Treanna °¿° 8 juillet 2005 à 11:23 (CEST)

Cet article est lamentable (rempli d'erreurs et parfois gravement diffamatoire) et la discussion d'une bassesse affligeante. Est-ce qu'on peut réduire un écrivain à un unique livre qui n'a pas eu l'heur de plaire aux militants nationalistes bretons d'un bord ou d'un autre ? On ne croirait pas avoir affaire à une encyclopédie mais à une campagne de diffamation comme on en lançait sous Staline contre des écrivains.

Et un point Godwin, un. Quand à ta pseudo-neutralisation (ie on passe sous silence les procès qu'elle a perdu alors qu'elle se plaint d'être victime d'acharnement judiciaire (alors même qu'elle est à l'origine de tous les procès sauf un) tout en multipliant la liste de ses soutiens), elle n'avance pas l'état de cet article. Soig 28 juillet 2005 à 18:27 (CEST)
J'admire ce que tu appelle « j'ai corrigé les plus grosses erreurs de cet article » concernant ce sujet, en particulier dans tes modifications de l'article Pierre Denis où tu efface le fait qu'elle compte parmi ses soutiens un ancien gestapiste et où tu effaces toute traces des procès qu'elle a intenté et perdu.. Soig 28 juillet 2005 à 18:29 (CEST)
J'admire aussi la technique de Morvan/PLG, tronquer le texte remplacer « lourdes peines financières » par « lourdes peines » n'a évidemment pas du tout le même sens et conduit le lecteur à penser que l'individu en question a été condamné à une lourde peine de prison.
Au vu de tout ca, je reverte Soig 28 juillet 2005 à 18:39 (CEST)

A PEU PRÈS TOUT EST FAUX DANS CET ARTICLE : les dates, les faits...

LES RECTIFICATIONS INTRODUITES SONT SYSTÉMATIQUEMENT EFFACÉES POUR LAISSER PLACE AUX MÊMES PROPOS MENSONGERS, VOIRE OUVERTEMENT DIFFAMATOIRES.

C'EST TOTALEMENT SCANDALEUX ET INDIGNE D'UNE ENCYCLOPÉDIE QUI SE PRÉTEND OBJECTIVE.

Tiens, il faudrait que Wikipedia soit une succursale des ayatollahs de l'Osservatore Anticomunotaristo? des aparatchiki du PT et de la Pravda Libre Penseuse?

Tu es libre de corriger les dates, les faits, .... Corriger une date ou un fait ne signifie pas cacher le fait que quelqu'un se plaint d'acharnement judiciaire alors même que cette personne est à l'origine de tous les procès en question sauf un. Soig 28 juillet 2005 à 21:32 (CEST)

JE VIENS DE CORRIGER UNE DERNIÈRE FOIS LES ERREURS FACTUELLES DANS CET ARTICLE PARTISAN APPUYÉ PAR DES MILITANTS NATIONALISTES.

JE SUPPOSE QUE TOUTES LES RECTIFICATIONS VONT ÊTRE À NOUVEAU EFFACÉES.

JE N'INTERVIENDRAI PLUS SUR WIKIPÉDIA MAIS TIENS À MANIFESTER ICI MON INDIGNATION : RAGOTS, MENSONGES, DIVULGUÉS EN TOUTE IMPUNITÉ, SANS POSSIBILITÉ EFFECTIVE DE CORRECTION, C'EST SCANDALEUX.

Tes rectifications:
  • tu transforme l'exposé de l'opinion de Morvan en une vérité universelle
  • tu cache le fait qu'elle publie régulièrement sur des sites très orientés et que son propre compagnon dit qu'elle ne connait pas ces langues : tu insiste à nouveau sur les « années de procès » alors même qu'elle n'en a essuyé qu'un seul puisque tous les autres, c'est elle qui les a intenté. D'ailleurs, tu nie l'existence de ces procès dans les changements sur l'article Pierre Denis
  • dans un autre commit, tu cache d'autres procès qui te gêne
  • tu tronque le texte dans une optique « théorie du complot » où les nazis noyautent des organisations européennes et tu sort l'histoire de cette période en Bretagne du contexte général français
  • tu impose ton POV : pour toi apprendre ou enseigner le breton, c'est forcément « à titre militant », tu réécris l'histoire: « la prolifération des panneaux en breton imposée en territoire gallo est dénoncée depuis par des élus » : il s'agit de panneaux dans le Morbihan dont la moitié appartient au domaine bretonnant : il n'était donc que juste . Ensuite, concernant les erreurs factuelles dont tu es si friande: ce n'est pas des élus mais un, qui plus-est, un ex-élu. De plus, il a violemment été critiqué par les associations de défense du gallo.... Mais bon, de même ignore tu probablement qu'il existe des défenseurs du breton défendant le gallo (à l'UDB, à Skol an Emsav, ...) et vice-versa. Tu parle dans ce même commit de l'orientation des nominations de l'hermine. C'est vrai que l'accorder à des gens qui promeuvent le breton, et à ce titre uniquement, c'est un crime impardonable. D'ailleurs, l'accorder à Dan ar Braz, Per-Jakez Helias, René Pleven, Joseph Martray, ou Naig Rozmor, tous dangereux terroristes est très orienté. Et tu termine ton commit en effaçant les dérapages publics de F. Morvan sur Masson.
  • tu nie les articles publics parus dans des journaux nationaux qui ont fait une campagne contre les associations défendant le breton. Tu veux que je te cite les numéros? Je peux le faire pour l'express, il doit encore être dans mes archives, et je dois pouvoir retrouver celui du nouvel obs sur le net.
  • tu prétends que les connaissances et l'autorité de F. Morvan en la matière sont universelles. Republier les contes d'un écrivain et publier sur une autre région ne constitue pas un titre à la prétention à l'érudition sur « toutes les régions de France et notamment de Bretagne »
Ah, pour terminer, je trouve curieux ta politique consistant à critiquer sous ton login puis à faire des modifs en anonyme. Mais pourquoi les revendiquer après alors?
Soig 29 juillet 2005 à 01:18 (CEST)


Treanna> En réponse à :
«Modifications de PANDARAN: "C'est une érudite en contes populaires bretons dans leur version française "et bretonne"". POURQUOI PAS? CE DOIT ETRE FACILE A PROUVER! Mais qu'a-t-elle publié? Des contes en français... En breton? Toujours rien? mais un jour, peut-être...»
Françoise Morvan a publiés les "Carnets de collectage" de Luzel qui sont des contes en breton (avec traduction française en regard cosignée avec Marthe Vassalo). J'avais d'ailleurs mis cette info dans mon commenatire de modif.
Pandaran 29 juillet 2005 à 12:55 (CEST)

L'ouvrage étant introuvable, combien de contes traduits par Vassalo? Combien par Morvan?

Elle n'a donc pas republié les contes en breton publiés par AL LIAMM (4 volumes). L'édition de Morvan n'est alors pas intégrale. C'est surtout une édition française s'il y manque les trois-quarts des contes en breton. Le livre "contes inedits" mentionné par Pandaran contient 3 contes en breton. Un peu moins que les 4 volumes (plus de 700 pages) d'AL LIAMM.

censure modifier

On a donc modifié l'article Françoise Morvan dans un sens plus élogieux. Et quand un iconoclaste émet le moindre doute sur cet éloge, crac! on vire!

Interdit donc

-de faire mention de sa haine contre la langue bretonne, qu'elle lit mais ne parle pas; -de citer ses écrits qui le prouvent; -de citer son ami Markovicz quand il affirme qu'elle ne sait pas le russe, ce qui pourrait faire croire qu'elle ne peut pas le traduire.

j'ai supprimé un discours mal tapé, illisible, criard, sans plan. Si vous souhaitez discuter, il est possible de le faire, point par point. archeos 7 septembre 2005 à 12:21 (CEST)

Est-ce que "cosigner" une traduction et "traduire" sont synonymes? Si oui, elle a eu raison de cosigner les traductions de Marcovic et Vassalo. Si non...


CETTE DISCUSSION EST DIFFAMATOIRE

DE QUEL DROIT UN MILITANT NATIONALISTE EFFACE T IL LES CORRECTIFS APPORTES TOUT EN INTERDISANT QUE SOIENT SUPPRIMEES SES AFFIRMATIONS MENSONGERES ? Très intéressant le point sur la plus jeune agrégée de France. Henri Bergson ne fut que deuxième à l'agrégation de philo, devant Jaurès. Qui se souvient du premier?




Soig cherche absolument à maintenir la mention de collaborations avec le Réseau Voltaire et Pierrick le Guennec. Je n'en ai trouvé nulle trace, et FM elle-même récuse absolument ces collaborations, ce pourquoi j'ai mis le passage en commentaire. Si vous en trouvez, merci de l'indiquer. archeos 9 septembre 2005 à 13:19 (CEST)

Je ne cherche absolument pas à maintenir cette affirmation. J'ai juste remarqué qu'une IP anonyme virait des paragraphes sans commentaires, ce que tu (1) as revertte ainsi que d'autres. Ayant lu des papiers de FM sur les sites en question, j'ai à mon tour reverte ces changements quand ils sont réépparus. Merci de ne pas me faire apparaître comme un obstiné cherchant absolument à maintenir quelque chose quand une demi-dizaine de personnes revertent les changements de cette IP, y compris toi. Soig 9 septembre 2005 à 13:27 (CEST)

Il est normal de mentionner les collaborations de Françoise Morvan avec le Réseau Voltaire (de Thierry Meyssan) et la Libre Pensée (de Pierrick le Guennec, du Parti des Travailleurs) puisqu'elles sont publiques (voir http://perso.wanadoo.fr/union.rationaliste44/Cadres%20Actualites/conf%20lp%20morvan.htm), comme les textes de Françoise Morvan Pierrick le Guennec dans l'Observatoire du Communautarisme. La vraie question est: pourquoi vouloir cacher sur Wikipedia ce qui est public?

Mmmh, je crains que cette seule url ne puisse soutenir votre thèse, le fait que F. Morvan ait donné une conférence à la Fédération des groupes de la libre pensée ne la lie ni au Réseau voltaire, ni à Thierry Meyssan, ni à Pierrick Le Guennec et non plus au groupe Libre Pensée. Donner une conférence pour une écrivain est chose commune et si Morvan a donné une conférence à la maison des associations de Bordeaux, ça ne fait pas d'elle une bordelaise !! De plus votre dernière modification pullule de non-neutralité. (:Julien:) 15 septembre 2005 à 11:44 (CEST)

Soig, militant lié au POBL de Fouéré, parti d'extrême droite nationaliste breton, ne « cherche absolument pas à maintenir l'affirmation selon laquelle Françoise Morvan appartient au « Réseau Voltaire ». Mais il maintient obstinément cette affirmation au motif qu'il a « lu des papiers de FM » sur le site du Réseau Voltaire : quels articles ? où ? quand ? Qu'il les cite.

Tu as juste oublié de signaler que je suis également un dangereux agent de la CIA, un membre actif de l'Opus Dei et un criminel de guerre en fuite.
Et c'est toi qui ose parler de diffamation ?

Les liens avec le POBL sont établis par Soig lui-même sur son site : s'il juge diffamatoire qu'on les rappelle, libre à lui.

Ca devient encore plus pathétique quand tu hurle à la diffamation pour effacer en douce (entre autre, puisque tu vire aussi les écrits d'autres anonymes) les raisons qui m'ont amené à reverter tes pseudo-tentatives de neutralisation qui consistait à virer tous les POV sauf celui de Françoise Morvan. Je trouve pour le moins curieux que tu tienne tant par exemple à cacher la liste des procès intentés (et perdus pour la plupart) par Françoise Morvan alors qu'elle se fait passer pour la victime d'acharnement judiciaire dans son bouquin, et dont un autre contributeur avait cité qqpart les références judiciaires, alors même que Françoise Morvan les a reconnu dans son droit de réponse au droit de réponse de Per Denez à un de ses articles.

Quel fatras ! FM a rétabli les faits dans un droit de réponse exercé suite à un article de PD colportant ces allégations mensongères.

Maintenant, au moins, je peux mettre un nom sur la personne qui m'insulte de temps à autre et qu'Archéos voulait identifier.

Je note qu'il est insultant pour qui se vante de ses liens avec le POBL d'être considéré comme ayant des liens avec le POBL.

Quelle dommage qu'on ne te voit jamais intervenir pour reverter les changements d'Adsav/Pobl sur Nationalistes bretons et Adsav vu que tu semble si bien les connaître... Au moins, tu as bien assimilé les méthodes du monde comme si, ça je te l'accorde de bon coeur.

Il y a donc eu des changements sur Adsav, parti d'extrême droite breton et sur le POBL, encore lui ! Quels changements ? Mystère ! Mais Soig, lui, s'intéresse de près à ces partis.

Soig 13 septembre 2005 à 20:51 (CEST)
Estelle il faut que tu signes tes interventions s'il te plait. De plus il n'y a aucune honte à appartenir au Réseau Voltaire (àmha) si cela est averé par des faits. (:Julien:) 9 septembre 2005 à 23:51 (CEST)
si le réseau Voltaire publie FM, c'est peut être un début de collaboration, mais je n'en ai pas trouvé trace, ni par Google, ni par Yahoo (qui donne des résultats différents). archeos

Françoise Morvan signe ses collaborations sur le site de l'Observatoire du Communautarisme, comme d'ailleurs Le Guennec, candidat du Parti des Travailleurs . Facilement visibles.Pourquoi vouloir les cacher ici? FM a longtemps revendiqué sa collaboration avec le réseau Voltaire où les articles n'étaient pas signés. Depuis "l'effroyable imposture" cette collaboration semble devenue moins honorable.


Françoise Morvan a donné des articles pour le Groupe Information Bretagne qui existe depuis 2000. Les articles sont en copyleft et peuvent être reproduits librement. Ils ont été reproduits sur des sites divers. Aucun d'entre eux n'a été reproduit à ce jour sur le site du réseau Voltaire.

Où Françoise Morvan a-t-elle « revendiqué sa collaboration avec le réseau Voltaire » ? Cela n'apparaît pas.

Le Groupe Information Bretagne est hébergé depuis 2005 par le site de l'Observatoire du Communautarisme.

http://www.communautarisme.net/grib/

On peut publier dans un journal en restant totalement indépendant. Je ne trouve ni sur le GRIB ni dans « Le monde comme si » aucune inféodation à aucun parti. Effroyable imposture ou banal amalgame ? De toute façon, cette discussion serait mieux à sa place ailleurs : on ne peut pas réduire un auteur à un débat dans fin sur un unique livre qui n'a pas plu aux militants nationalistes. Estelle.

Quand Françoise Morvan collabore avec le traducteur Markowicz, il faut le mentionner. Avec les politiciens Thierry Meyssan et Le Guennec il faut le cacher? Prétendre que le GRIB de Françoise Morvan donne une "information indépendante", comme tient CTanguy à le faire croire, en effaçant les faits qui lui déplaisent, au vu de ses amitiés politiques, c'est abuser le lecteur.

Elle collabore aussi avec le pape. J'ai parcouru le GRIB et j'ai découvert la vraie foi par l'intercession de Bernadette Soubirou.

Elle a contribué à fonder le Groupe information Bretagne (GRIB) qui vise à apporter une information indépendante sur les sujets abordés dans ce livre. ceci est totalement faux, et le modifier déplait aux morvaniens, ESKIMBOT PAR EXEMPLE. Qui peut croire que la Morvan, qui s'en prend SUR SON SITE à Le Driant parce qu'il ose, crime majeur, parler d'identité bretonne, est capable d'information indépendante?

Je suis très étonné par la grossièreté de cette discussion. Je suis comédien. J'ai joué dans "Le jeu du songe" adapté par Françoise Morvan du "Songe d'une nuit d'été" de Shakespeare qu'elle avait traduit avec André Markowicz. C'est une adaptation extraordinaire, vraiment magnifique, et la traduction est à mon avis la meilleure qui ait jamais été faite de la pièce (c'est pourquoi je l'ajoute dans l'article car elle a été publiée depuis, en 2003, je crois). Tous les comédiens qui ont joué cette traduction ont partagé mon enthousiasme (elle a été jouée au théâtre de Tours l'année dernière). Heureusement qu'il y a autre chose au monde que les militants bretons et leurs tristes hantises. Nicolas.

Cher Nicolas, on peut être breton et aimer Shakespeare, même sans Françoise Morvan. On peut aussi le jouer dans une version (française, forcément) de Françoise Morvan sans abdiquer tout sens critique ni verser dans la morvanolâtrie. Lecture conseillée: "Le MONDE COMME JE" de Gérard Prémel, dans la revue HOPALA.

Comme certains interprètent Céline sans fermer les yeux sur son antisémitisme, on peut imaginer de jouer une traduction de Françoise Morvan sans vouloir ignorer ses "tristes hantises" brittophobes qu'elle déverse à pleins tonneaux sur divers sites nationaux-républicains et dans à peu près tous les journaux et magazines depuis des années. L'enthousiasme pour la prose, de Céline ou d'une autre, n'implique pas, heureusement, l'adhésion aux idées politiques de l'auteur.

On peut également ne pas aimer Françoise Morvan sans être ni militant breton, ni bretonnant, mais simple parent DIWAN, lassé de ses attaques maladives et répétées contre l'école de nos enfants ... Michel.

Ne pourrait-on arrêter les nationalistes de polluer cette notice ? On retombe dans la diffamation ! Estelle

On peut aussi ne pas apprécier les campagnes antibretonnes de Françoise Morvan sans être nationaliste. On peut même s'étonner de la suppression de la mention du livre de Treguer dans la bibliographie par Estelle. Suppression neutre bien entendu.

Pour un simple parent Diwan tu es rapide à répondre, « Michel » :) Sinon pour le livre je comprends pas très bien ce qu'il vient faire dans la biographie ? Treguer, c'est un nom de plume avéré de Morvan ? (:Julien:) ? 19 octobre 2005 à 10:45 (CEST)
Il décrit le parcour et les dérives de Françoise Morvan dans un chapitre. Soig 19 octobre 2005 à 12:21 (CEST)
Ah ses « dérives » ? Donc c pas vraiment NPOV comme livre, non ? (:Julien:) ? 19 octobre 2005 à 13:08 (CEST)
Il est neutre, il se contente de décrire pas de porter un jugement. En tout état de cause, il est bien plus neutre que le monde comme si qui expédie la question de l'orthographe en 1 phrase, en remarquant que l'on prononce généralement /emzao/ ce que l'on écrit emsav (de la même manière qu'en français, on prononce /roze/ le mot rose et que les mots aile et ailes se prononcent tous deux /ail/). Le mot « dérives » est un peu fort et est de moi. Soig 19 octobre 2005 à 13:40 (CEST)
Par exemple, il explique que Françoise Morvan aurait gagné un procès si elle avait accepté la médiation proposée par le juge au lieu de diffamer le médiateur (qui a « réhabilité La Villemarqué » alors que l'on sait depuis la découverte des carnets de collectage que La Villemarqué a bien plus respecté ce qu'il a collecté que Luzel qui lui ne notait que la trame générale des histoires et qui méprisait parfois la culture populaire (cf l'ouvrage sur l'argot d'une ville de la côte nord). Soig 19 octobre 2005 à 22:59 (CEST)


Faut-il laisser Wikipédia devenir une tribune pour les nationalistes bretons ? Des "campagnes antibretonnes " ! Certains savent donc ce qui est breton et ce qui est antibreton, ou de réservent le pouvoir de déterminer ce qui l'est et ce qui ne l'est pas, afin de l'imposer, pour peu que les circonstances s'y prêtent ? On a vu à quoi pouvaient mener de telles certitudes.

Treguer est un médiocre réalisateur TV qui, en un non moins médiocre pamphlet résume son itinéraire : soudain frappé par la révélation qu'il était breton, il se met à apprendre la langue de ses ancêtres, qu'il a, quand même, beaucoup de mal à parler, et se définit désormais comme « aborigène occidental » (titre de son essai), ce qui l'amène à régler leur compte à tous les écrivains qui, selon lui, ont trahi leur bretonnitude. Le donner comme référence bibliographique est non seulement absurde mais objet de litiges qui ne peuvent qu'être insolubles : il faudrait, du coup, le donner comme référence pour tous les écrivains auxquels il s'en est pris, ce qui provoquerait des polémiques sans fin, puisque sans jury de spécialistes en mesure de trancher — ne va-t-il pas jusqu'à dénoncer Ronan Calvez, professeur à l'université de Bretagne occidentale, auteur d'une thèse mettant en lumière de manière irréfutable les liens de Roparz Hemon et des nazis ? Appuyée sur des traductions précises, cette thèse a contribué à amener le conseil général du Finistère à demander à Diwan de débaptiser son collège Roparz Hemon. Treguer juge que Roparz Hemon n'était pas antisémite. Ce qu'il écrit sur Françoise Morvan est aussi aberrant. A Wikipédia d'assumer puisque Wikipedia entre en lice pour le soutenir. Sous l'apparence bénigne d'une bibliographie, on peut faire passer ce que l'on veut, à condition que les enjeux réels ne soient pas compris. Il est important qu'ils soient compris. Et c'est la raison pour laquelle je m'obstine à résister. Estelle.

Je ne vais pas rentrer dans cette polémique ni dans les attaque au dessous de la ceinture (« médiocre réalisateur », « médiocre pamphlet », ...). Je rappellerais juste qu'au sens de Wikipédia, la neutralité consiste à présenter tous les points de vue, et non à censurer les autres, surtout quand l'avis présenté est minoritaire. Pour les autres contributeurs:
  • Treger constate le nombre d'écrits antisémites (que j'ai d'ailleurs moi-même listé sur wikipédia) que l'on attribue à Roparz Hemon (sources : Henri Frévile et Ronan Calvez), à savoir 3 phrases et un court poème sur Ponce Pilate, ce qui est assez peu par rapport à tout ce qu'il a écrit.
  • Concernant Roan Calvez, il soulève simplement des problèmes de préjugés dans la forme.
  • Concernant Françoise Morvan, il remarque simplement qu'elle décrit tout le mouvement breton, de droite comme de gauche (y compris une partie de l'actuelle majorité socialiste du conseil régional de Bretagne) comme étant d'extrême-droite... tout en se réclamant de Christian-Joseph Guyonvarch qui lui fut un authentique milicien au côté des allemands (le seul survivant vivant peut-être?). Michel Treger regrette qu'elle soit parti dans une démarche (fouiller les biographies pour trouver 2/3 détails croustillants) « indigne du grand chercheur qu'elle est ». Si écrire que Françoise Morvan a du talent, c'est aberrant...
Plus que quelques heures avant les vacances :-) Soig 20 octobre 2005 à 16:02 (CEST)


Tout cela est scandaleux, et non seulement scandaleux mais mensonger et diffamatoire :

Soig ose ici alléguer que Roparz Hemon, qui a dirigé sous l'Occupation le journal antisémite et pronazi Arvor n'a été l'auteur en tout et pour tout que de trois phrases antisémites ! Et il s'appuie bien sur Treguer ! Il reconnaît, de plus, que Treguer falsifie la teneur des propos de Françoise Morvan (ce qu'il en retransmet est simplement grotesque).

Une encyclopédie a-t-elle vocation a donner des informations bibliographiques précises ou à lancer des polémiques à partir de ragots ?

ANTISEMITISME ET IDENTITE L'antisémitisme du siècle dernier, de certains Bretons comme de certains Français, se déroulait à l'ombre de la légalité française qui le favorisait. Ce problème, qui appartient aux historiens ne concerne PAS MOINS les générations actuelles que l'antisémitisme de Céline ou la collaboration de Mitterrand.

Cependant, les bretonnants d'aujourd'hui n'ont pas plus à porter le poids des erreurs, fautes ou crimes éventuels de leurs prédécesseurs, que la police et l'armée française d'aujourd'hui (et à plus forte raison la population) ne portent le poids des arrestations ou des massacres du Vel d'Hiv, de Sétif, de Madagascar, de Charonne, des paponnades de 44 ou 62... Comparons l'attitude Serge Klarsfeld qui s'indigne que d'aucuns voudraient faire porter la responsabilité des crimes de Papon à sa petite-fille, et celle de Françoise Morvan qui nous dit que l'identité bretonne est intrinsèquement nazie depuis le Barzaz Breiz au 19 ème siècle (interdisons-le), que l'orthographe du breton est nazie (interdisons la), que les écoles Diwan ont été fondées par le nazi Roparz Hemon (interdisons les). Guerre à l'identité bretonne.

Personne n'aurait l'idée d'enfermer l'identité française dans le pétainisme, ni l'identié allemande dans le nazisme. Pas même Françoise Morvan. Mais l'identité bretonne, si. Personne n'aurait l'idée de réduire l'identité française aux politiciens ou intellectuels collaborateurs, Pétain, Céline, Giraudoux, Cousteau, ni l'identité allemande à Hitler ou Goebbels. Pas même Françoise Morvan. Mais l'identité bretonne, si.

Si Françoise Morvan faisait la guerre, non à l'identité bretonne, mais à l'antisémitisme qui est au moins aussi français que breton, elle protesterait très-très fort dans tous les journaux et magazines qui ont accueillis à bras ouverts sa vindicte antibretonne (Télérama, Libération, le Monde, l'Humanité, l'Express, Charlie hebdo, le Nouvel Obs, pour ne citer que quelques uns) contre le Prix Goncourt, du noms de deux des plus virulents antisémites de la littérature française, et combien plus contre le Prix Goncourt des lycéens, qui célèbrent annuellement l'amnésie de l'antisémitisme français.

Françoise Morvan manipule aussi les mots. Si l'on n'adhère pas à ses idées on est "nationaliste breton", c'est à dire, c'est synonyme surement, un dangereux nazi. Et l'on doit dès lors être privé d'expression. Au nom bien sûr de Sa liberté d'expression. Si des esprits indépendants veulent mettre en doute le discours de ses thuriféraires sur Wikipédia on a droit à (citation): "Faut-il laisser Wikipédia devenir une tribune pour les nationalistes bretons ?" Le manichéisme ce n'est rien d'autre.

Si l'on n'adhère pas à ses campagnes contre la culture bretonne (à savoir, contre les écoles DIWAN, les panneaux bilingues, l'orthographe unifiée, et donc les livres et l'enseignement dans cette orthographe devenue majoritaire, le Breton à Rennes, la "bière identitaire"...), elle prétend être accusée de "campagnes antibretonnes ", et que de dangereux nazis veulent définir qui est breton, et que c'est déjà la guerre de Bosnie qui apparait. Citation: "Certains savent donc ce qui est breton et ce qui est antibreton, ou de réservent le pouvoir de déterminer ce qui l'est et ce qui ne l'est pas, afin de l'imposer, pour peu que les circonstances s'y prêtent ? On a vu à quoi pouvaient mener de telles certitudes".

Moralité: faire campagne contre la culture bretonne ce n'est pas "antibreton": c'est la défense des vraies valeurs franco-universelles.


UN BEL EXEMPLE DES MENSONGES DE VIGNAUD ET TREGUER Roparz Hemon auteur de trois petites phrases antisémites anodines ? Et Françoise Morvan combattant la culture bretonne et pas l'antisémitisme ? Elle a eu le courage de traduire « Arvor » le journal dirigé par Hemon sous l'Occupation

http://www.communautarisme.net/grib/Le-racisme-et-l-antisemitisme-de-Youenn-Drezen,-d-apres-ses-articles-publies-dans-le-journal-Arvor-dirige-par-Roparz_a22.html

Mais qu'elle continue donc son combat si courageux contre l'antisémitisme breton des Hemon et Drezen, et qu'elle n'oublie pas de l'étendre aussi à la littérature française si féconde sur ce sujet. Et qu'elle l'actualise en s'en prenant aux Goncourts des Lycéens qui se déroule dans sa ville de Rennes. Qu'elle demande le changement du nom comme elle a demandé celui du collège Roparz Hemon. Ayant obtenu l'un elle obtiendra sûrement l'autre.

Voilà donc reconnus les mensonges de Treguer et Vignaud : l'antisémitisme de Hemon et Drezen n'est plus niable, ni réductible à quelques petites phrases anodines, publiées dans le contexte d'un antisémitisme « normal » puisque donné pour banalisé. Selon la méthode habituelle des militants nationalistes, on finit par admettre l'évidence mais en rejetant la faute sur l'ennemi : ici, la France, forcément coupable. Coupable de quoi ? Du prix Goncourt ! Ou plutôt de son avatar, le ridicule Goncourt des lycéens, décerné à Rennes ! Aucun des frères Goncourt n'a été, que je sache, agent de la Gestapo en Bretagne comme Hemon, et si un écrivain a dénoncé le « prix Goncourt des lycéens », et le « comité consultatif à l'identité bretonne » de Rennes, comme pseudo-initiatives culturelles, c'est bien Françoise Morvan.

Bravo! Dommage qu'on ne l'entende que contre l'identité bretonne et pas du tout sur le Goncourt. Ceci dit personne n'a déclaré "la France coupable" du prix Goncourt! A force de pratiquer l'amalgame on en arrive à vouloir faire dire, et à dire, n'importe quoi. Encore une fois, on peut, librement, être en désaccord sur les attaques et les méthodes de Françoise Morvan, comme la revue Hopala, sans être nationaliste.

ping…………………………………………………………………………pong…………………………………………ping……………………………………pong……………………… (:Julien:) 25 octobre 2005 à 10:54 (CEST)

On peut, j'espère, être en désaccord, comme d'ailleurs certains historiens, avec Françoise Morvan sans être un menteur, même si on n'évitera pas d'être traité par elle comme tel. On peut aussi, comme la jeunesse d'aujourd'hui, se contrefoutre de savoir si les écrits antisémites de Hemon sont plus longs que ceux de Céline...

La question bassement matérielle est de savoir si on peut boire une Coreff sans que Morvan crie contre la bière identitaire, si on peut jouer de la harpe celtique sans qu'elle nous bassine avec son équation celtique = nazi, si on peut parler et écrire en breton sans qu'elle parle de "langue qui ne sert à rien", et envoyer son enfant à l'école Diwan sans qu'elle inonde les média parisiens d'attaques contre ces écoles.


NOUVEAU SUJET

Je ne m'intéresse pas aux problèmes bretons et je dois dire que je suis stupéfait par la hargne et la bassesse de cette discussion. J'ai joué " Le jeu du songe ", magnifique adaptation du "Songe d'une nuit d'été " dont la traduction est elle-même magnifique ; je n'imaginais pas quelles attaques Françoise Morvan devait subir ! cela ne fait qu'augmenter mon admiration pour son travail. J'ai complété la bibliographie puisque je possède cette édition qui n'est pas facile à trouver. Des milliers de comédiens sont heureux de jouer ses textes, j'en suis témoin ; et parce qu'elle a écrit un livre qui pointe, si j'ai bien compris, un problème lié à la Bretagne, on a l'impression que l'univers entier tourne autour du nombril des militants obsédés par leur identité. Qu'ils boivent donc leur bière identitaire, qu'ils jouent de leur harpe identitaire, qu'ils mettent leurs enfants dans leurs écoles identitaires, qu'ils se décernent tous les prix identitaires qu'ils veulent. Mais qu'ils nous lâchent la grappe ! Nicolas c.

Bravo! C'est exactement ce que tout le monde souhaite en Bretagne: qu'elle fouille les cendres et les archives, et qu'elle laisse les vivants en paix. Qu'elle fasse du théatre et qu'elle cesse ses attaques contre la culture bretonne. Toutle monde lâche la grappe, comme on dit en français, à tout le monde? Chiche!
A part cela, notons l'importance du vocabulaire dans l'arsenal morvanien: une bière locale n'est pas une bière locale, mais une "bière identitaire". Une harpe celtique n'est pas un instrument de musique mais une "harpe identitaire". Une école en langue bretonne n'est pas une école normale, mais une "école identitaire", un enseignant de breton n'est pas un enseignant de langue mais un agent de "commerce identitaire". Dans la langue morvanienne tout ce qui est breton devient identitaire, et l'identitaire vient du démon. Breton = identitaire = démoniaque. On touche là au religieux, ange ou démon. Et l'exorcisme n'est pas loin.
La défense de la Marseillaise, du vin français, le chauvinisme footballistique, les prix littéraires parisiens, ne sont pas identitaires. Ben voyons!
Et Shakespeare? En français c'est magnifique? Et en breton, c'est identitaire?
--31 octobre 2005 à 09:41 193.52.64.50
" C'est exactement ce que tout le monde souhaite en Bretagne " ?
Se prétendre " tout le monde ", c'est totalement totalitaire.
ON EN A MARRE DES BREIZHOPATHES.
Le breizhisme de passera pas.
--Sammy Moreau 31 octobre 2005 à 22:57 (CET)

On se calme! Le totalitarisme, c'est empêcher les gens de penser. C'est vrai, "tout le monde" c'est une généralisation hâtive, mais Françoise Morvan en est un des meilleurs adeptes, qui use et abuse du "on" dans ses articles. C'est vrai, Sammy, dis le bien fort à Nicolas: tout le monde ne souhaite pas qu'elle arrête ses attaques, les morvanolâtres, eux, veulent tous que leur championne reparte pour une prochaine campagne. et pourquoi pas contre les écoles Diwan? Piste suggérée: les étrangers même pas français qui y enseignent et y pratiquent abusivement le breton. Par ailleurs, BREIZHOPATHES est un terme sûrement affectueux, pas insultant pour un sou: tu devrais essayer ISLAMOPATHE dans certaines banlieues: succès garanti. Quant au "breizhisme" (que tu viens d'inventer?), tout le monde (mais n'est-ce pas "totalement totalitaire"?) aimerais que tu expliques en quoi ça consiste. Tu as changé le texte sur le Groupe d'Intervention Bretagne de Morvan. Tu crois vraiment si fort à son information indépendante?


Ce serait bien que celui qui mentionne le livre de Tréguer donne des réf. plus précises: où dans le livre parle-t-il de Madame Morvan? Sinon on tourne en rond.+ ce qui est paru dans la revue "Hopala"??? Claude Le Duigou


Après Soig du POBL Claude Le Duigou de skoazell Vreizh ! L'extrême gauche et l'extrême droite des nationalistes bretons liguée pour polluer cette notice ! Une encyclopédie n'est pourtant normalement pas le lieu où régler des comptes !

Pour 194.199.4.104: Merci d'expliquer en quoi ma remarque "pollue" cette notice. Le livre de Madame Morvan entraîne des réactions: pourquoi ne pas les mentionner, afin que les lecteurs puissent décider? Merci aussi de signer votre intervention. Rajout: en plus, je trouve certaines de vos interventions (ailleurs) intéressantes... RAJOUTS: 1. Une page de discussion, c'est fait pour discuter: je ne pense pas avoir été agressif, ou alors il faudra me le démonter; 2. Merci de vous identifier 194.199.4.104; 3. Vous pouvez aussi me contacter directement; 4. Merci d'indiquer ici quel(s) site(s) me donnent comme "membre de Skoazell Vreizh" (ce qui est vrai et que je n'ai jamais caché); si nécessaire, je nommerai moi-même le site source... Claude Le Duigou

La version politiquement correcte (après censure des sceptiques et contestataires) de la biographie de F. Morvan nous indique que ses travaux vont dans six directions. Il faudrait y ajouter qu'elle pratique aussi le mélange des genres. Dans son ouvrage sur les lutins chez Librio elle ecrit que (citation de mémoire) "les lutins sont des créatures farouchement antinationalistes". Et l'avantage de ne pas être "breizhopathes". D'ailleurs, les korrigans, ne seraient-ils pas, de plus, francophones? Attendons leurs interviews sur France-Culture.

ON EN A MARRE DES BREIZHOPATHES, écrit le doux Sammy Moreau. Il reprend donc fidèlement le terme créé par Françoise Morvan et publié dans http://pierre.campion2.free.fr/index.html On a là un cri du coeur où transparait toute la mesure et la neutralité wikipédienne.

Bien, comme 194.199.4.104 ne répond pas je donne ce qui figure sur un site à mon sujet et j'ajoute deux autres sites où on trouve la même chose:

"Les liens des nationalistes bretons avec les nationalistes corses et basques sont étroits et la solidarité avec les militants arrêtés dans le cadre des enquêtes sur les attentats s’effectue via les Comités Antirépression (en Bretagne, le CARB dont le porte-parole est Claude Le Duigou, naguère encore élu à la direction de Skoazell Vreizh)." http://membres.lycos.fr/leguenne/documents/emgann_bemdez/qui.htm http://www.communautarisme.net/grib/Emgann-Bemdez-Un-combat-de-chaque-jour_a8.html http://autre.bretagne.free.fr/bemdez/bemdez.htm

Pour avoir une idée plus précise de ma modeste personne, on peut chercher par "Google", il y aura beaucoup plus de matière. Claude Le Duigou

AU COMBAT! C'est reparti, Françoise Morvan a pris la tête d'une croisade contre les panneaux bilingues dans le Mor Bihan. Croisade indépendante, forcément, avec les lambertistes de la Libre Pensée.



Les nationalistes bretons sont souvent des parisiens fâchés avec Paris . C'est l'une des raisons pour lesquelles ils ont tendance à mettre l'Histoire de Bretagne à l'envers , comme la culotte de Dagobert. Je n'ai aucune envie de prendre parti dans le conflit Per Denez-Françoise Morvan . Per Denez explique sans détour pourquoi il tient à réhabiliter tout un quarteron de vieux collabos des années 40-44. A ce sujet , il a dit : " Les petits pays n'ont pas le choix de leurs alliances". Méditons cette phrase pour bien comprendre qui est Per Denez . Personnellement , un tel fanatisme national me fait froid dans le dos . Pour éviter toute méprise , je tiens à dire que je ne trouve pas le Chevènement de la nation dominatrice d'en face , plus fréquentable . Ce genre de type est tout-à-fait capable de dédier son mémoire de Sciences Po à Raoul Girardet , chef de l'OAS Metro , d'ailleurs il l'a fait. Je n'aime pas les nationalistes , ce sont des régressifs guerriers et anti-européens. De Villiers , Pasqua , Chevènement , ne sont pas très éloignés du cyclope de Saint-Cloud. Ils sont juste moins xénophobes , moins répugnants, mais c'est relatif. J'en arrive à Françoise Morvan et son ami originaire de Léningrad . Un jour j'ai lu deux pages de leurs histoires à dormir debout dans libération . Ils s'en prenaient à Edmond Hervé , Maire de Rennes , qu'ils accusaient de livrer la ville aux nationalistes bretons et patati et patata... Selon eux , les "vrais rennais" envahis par les ...bretons , en étaient réduits à se réfugier dans leurs jardins potagers pour y défendre les derniers vestiges de leur identité , la cou nu et le p'tit gris . Et patati et patata . Leurs deux pages glauques dans libé , m'ont fait monter la moutarde au nez.

Mais tiens donc , ci-dessus intervient le sieur Treanna . Je connais bien l'auteur de la page d'histoire de Rennes sur wilkipedia. L'auteur n'a eu que le tort de mettre là sa première ébauche de sa page d'histoire de Rennes. Depuis , il ne peut même pas en changer une virgule parce que le sieur Treanna s'est approprié la page sur wilkipedia et en a verrouillé le contenu. Ce Treanna qui , semble-t-il , s'occupe d'un site d'aristos se dit historien . Warfff!!!

Un rennais ami de l'histoire , de la cou nu et du p'tit gris aussi , mais sans potager.

Rassures-toi, "Rennais ami de l'histoire", Treanna ne t'embètera plus, il est décédé en septembre 2005. Quels que fussent les griefs que tu puisse avoir eu contre lui, il a été un des contributeurs les plus actifs du Wiki francophone, et il a toujours été disposé à tenir compte des arguments qu'on lui présentaient, même lorsqu'ils remettaient totalement en cause ses idées. Voir Discussion Utilisateur:Treanna/Livre d'or. Werewindle 23 novembre 2005 à 09:10 (CET)

Sans être rennais ni ami de l'histoire, on peut ajouter qu'elle s'(en prend à Hervé comme à le Driant, pourquoi pas, mais en les mettant sur le même plan que Le Lay, ce qui est risible. On peut aussi être agacé par le côté hagiographique de l'article sur françoise morvan, comme si elle n'écrivait que pour le théatre, et jamais pour la Libre Pensée trotskiste. Vu de Paris ou vu de Bretagne on a affaire à la même personne, pas forcément au même personnage.


"Je m’étais rendue à cette réunion dans le but de rédiger un article pour « Bretagne-Ile-de-France » et pour le Groupe Information Bretagne." écrit Madame Morvan le 5 décembre 2005. http://www.communautarisme.net/grib/

Ben, le GRIB, c'est pas mal, mais "Bretagne-Ile-de-France", ce n'est pas mal non plus: c'est le mensuel de l'U.S.B.I.F. (Union des Sociétés Bretonnes d'Ile-de-France) de Monsieur Le Lagadec, autrefois journaliste à "L'Humanité"; à recommander particulièrement dans ce mensuel: nécrologies des anciens combattants de l'Indochine "française" et de l'Algérie "française" (mais on sait que les trotskistes lambertistes ont soutenu les messalistes du M.N.A. contre le F.L.N.; les messalistes purs et durs ont dégénéré au point de collaborer avec les services spéciaux français) sans compter, au moins une fois, un compte-rendu non-distancié sur l'érection d'un monument à la gloire des militaires français ayant fait partie du "Bataillon de Corée"... Et, bien sûr, tel un certain Monsieur Jourdain, Madame Morvan ne fait pas de politique...


Totalement grotesque. « Bretagne-Ile-de-France » est un journal qui touche les Bretons de Paris. Autant accuser le chanteur Bertrand Aubrée qui y tient la chronique du gallo d'être inféodé aux staliniens et, via les trotskistes lambertistes, au FLN !...De la part des nationalistes bretons toujours prêts à crier à l'amalgame, bel exemple de désinformation. Et, pour l'objectivité sur cette discussion, on repassera : ça ressemble plutôt à la meute lancée sur celle qui ose penser diféremment
Sammy Moreau 7 décembre 2005 à 10:18 (CET)

Tiens, c'est drôle, cette référence aux "staliniens" pour désigner le P"C"F en 2005... De quelle famille politique cela peut-il donc venir? A croire que le XXème congrès du P.C.U.S. n'a jamais eu lieu... C'est bien les messalistes du M.N.A. que les lambertistes ont soutenu en Algérie, et ce avec constance. Creusez donc un peu "Kobus". Ramonick Mercaderec

Eh, Kobus, rien de net, ce serait pas BELLOUNIS, une fois? Ramonick n'est pas si pointu que ça sur l'Algérie.

La meute, c'est elle qui la lance en ce moment contre les panneaux bilingues, avec des amalgames de haute volée, Ofis ar brezhoneg et Mordrel...Toujours sans faire de politique! Chapeau bas! Et demain elle demande la fermeture des écoles Diwan, comme les lambertistes il n'y a guère, à nantes et St Nazaire? Même pensée, même combat.


Je suis Bretonne, rennaise, amie de l'histoire et amie du théâtre. J'ai suivi au lycée des cours de breton nullissimes, ce qui m'a rendue un peu sceptique à l'égard du "combat breton". En même temps, c'est à Rennes que j'ai vu une représentation du "Baladin du monde occidental" de Synge dans la traduction de Françoise Morvan et cette traduction était absolument géniale. C'set à Rennes aussi que j'ai vu "Bara an anaon " (le Pain des âmes) de Luzel dans l'adaptation de Françoise Morvan et cette adaptation était tellement géniale que je l'ai revue à Brest quand elle a eu le prix de la création régionale ; c'set à Brest aussi que j'ai vu le "Jeu du songe" traduit et adapté par Françoise Morvan du "Songe d'une nuit d'été" : pas de commentaires puisqu'au moins un acteur a dit ce qu'il en pensait. Tous les amis qui ont vu son adaptation de "Sainte Tryphine et le roi Arthur" de Luzel qui a fait l'ouverture du théâtre de Morlaix ont dit qu'elle était géniale; Les militants bretons devraient être fiers que, grâce à elle, le théâtre populaire ait été ainsi joué et reconnu plutôt que de l'accuser de faire du théâtre à Paris et de al politique pour nuire à la Bretagne. Voilà pour ma contribution à l'hagiographie, en tant que Bretonne, rennaise, amie de la vérité et ennemie du fanatisme. Et encore je ne parle même pas des dizaines d'autres pièces qu'elle a écrites ou adaptées, de Tchekhov ou d'autres, qui ont été jouées à Quimper, à Saint-Brieuc, partout en Bretagne. Opposer la vérité en Bretagne, le théâtre à Paris, le personnage en Bretagne, la personne à Paris, comme si tout ce qui sortait du monde des militants bretons était forcément faux, venant du complot tramé dans le dos des Bretons, par les jacobins, les lambertiens, les staliniens, les juifs, les francs=maçons... c'est tellement toujours pareil  : même pensée, même combat, c'set bien ça et c'est dangereux, ça mérite qu'on se révolte. Gaëlle.


Ah, Gaelle! le théâtre! La qualité du travail théatral de Giraudoux ou Anouilh ne les empêchait pas d'avoir des idée politiques. Plutôt proallemandes chez eux. Plutôt antibretonnes chez elle. Ceci dit, le théâtre populaire de Luzel dont tu nous parles était en breton. Pourquoi le cacher? Ce que François Morvan nous a produit est nettement moins populaire (même si c'est de qualité) et surtout pas en breton. Allez, un effort! dites le. Si quelqu'un poursuit le théatre populaire en breton c'est plutôt Strollad ar Vro Bagan. Qui eux travaillent en breton. Quant aux cours de breton nullissimes (comme peuvent aussi l'être des cours d'anglais ou de français) que prouvent-ils? Que la Morvan a raison d'en vouloir à cette langue? De s'en prendre AUSSI aux cours de breton?

"La Morvan" ! On reconnaît bien le style haineux des militants bretons ! J'ai assisté à Rennes à une représentation d'une pièce de Strollad ar Vro Bagan ("La grande passion" ou quelque chose du genre). C'était du sous-Savary, pire encore, du théâtre de patronage à gros budget. Avec mes cours nullissimes de breton, ça a contribué à mon refus de me laisser convertir par mon militant de prof. Gaëlle.

La Morvan , c'est du style populaire, du vrai, c'est tout. Certains y verraient m^mem une consécration comme "la" Callas. Si vos arguments ne sont pas meilleurs...

Vous avez le droit, fondamental, de ne pas vous laisser convertir par "un militant de prof". Souffrez que ce droit existe aussi pour tous ceux qui ne veulent pas se laisser polluer par le discours militant antibreton de Madame Morvan. Vous avez le droit de ne pas aimer Ar Vro Bagan, de juger que c'est du sous-Morvan. Souffrez que d'autres puissent apprécier. En breton il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent, on s'enthousiasme peut-être trop facilement. Mais dès que Madame Morvan nous aura traduit en breton ses chefs d'oeuvre, c'est sûr, le niveau s'élèvera. Mais même un mauvais théâtre ne vous donne pas le droit de faire disparaitre une identité, une culture, une langue.


Fabuleux! Les lambertistes, héritiers des comploteurs trotskistes-zinoviévistes, font semblant de croire que les restes du P"C"F sont encore "staliniens" et vous les suivez, Gaëlle.

Je me moque des trotskistes et des zinoviévistes comme des staliniens et des fascistes bretons : vous délirez au sujet d'un écrivain qui a le seul tort d'avoir du talent et d'oser dire ce qui vous déplait. Votre acharnement de groupe sectaire me scandalise, c'est tout.


Des "staliniens" qui décorent les anciens d'Indochine et d'Algérie devant les monuments aux morts le 8 mai et qui sont incapables de mettre une phrase un tant soit peu critique sur le "Bataillon de Corée". Chapeau! Ramonick Mercaderec

L'as-tu lue, "LaLettre à Lulu"? n°15

Hébert a-t-il un passé dont on fait les tables rases ? En «50 ans de luttes syndicales», Alexandre Hébert a infiltré FO pour le compte des trotskystes, servi la soupe à Chirac et serré la louche à Le Pen. Quelle anarchie !

Fin d’un secret de Polichinelle. Alexandre Hébert, 78 ans, souverain pontife de l’anarcho-syndicalisme, tout puissant patron de FO en Loire-Atlantique depuis 1947 -qu’il lègue en 1993 à son fils Patrick, l’actuel numéro un de l’union départementale- n’était qu’une «taupe» lambertiste infiltrée au sommet du vieux syndicat.

Les «lambertistes» ? La fraction pure et dure du mouvement trotskyste. Selon l’enquête effectuée par le journaliste parisien Christophe Bourseiller*, ce «parti-secte» a changé dix fois de noms (OCI, AJS, MPPT, Parti des Travailleurs...) mais jamais de chef : Pierre Boussel, dit Pierre «Lambert», le plus discret et le plus retors des gourous d’extrême-gauche. Hébert le vieil anar cachait en réalité une âme de bolchevique : membre secret du bureau politique de l’OCI sous le pseudo d’«Ernest», il orchestrait les congrès de FO dont il a "fait" les dirigeants Bergeron puis Blondel.

Ce livre confirme ce que tout le monde chuchote dans le milieu politico-syndical nantais : l’U.D. FO vit sous l’emprise d’une dynastie trotskyste, Hébert fils étant aussi membre du comité central du Parti des Travailleurs.

Mais il lève un pan de voile supplémentaire sur Alexandre Hébert, «personnage hautement paradoxal» qui n’hésite pas, en attendant le grand soir, à participer en 83 à la chute d’Alain Chenard, le maire PS de Nantes, au profit du RPR Michel Chauty, ou à soutenir activement Chirac aux présidentielles de 95. Encore plus fort, l’enquête s’attarde sur l’ami de longue date et hagiographe attitré** d’Hébert, Joël Bonnemaison, présenté comme un «ami personnel de Jean-Marie Le Pen (...) Dans les années soixante-dix, il est responsable du Front national en Loire-Atlantique» dont «il intègre le comité central en 1976, ce qui ne l’empêche pas de militer en parallèle à Force ouvrière (...) Lors de son premier mariage, Joël Bonnemaison aurait bénéficié de deux témoins de poids : Alexandre Hébert... et Jean-Marie Le Pen. Hébert serait lui aussi devenu une relation du président du FN. Les deux hommes se connaîtraient et s’apprécieraient. Il est vrai que la prose du leader lambertiste est parfois émaillée d’inquiétants dérapages. Dans (...) «l’Anarcho-syndicaliste» du 28 mars 1996, il commente l’élection de Mgr Jean-Marie Lustiger à l’Académie française en usant plus de sept fois du nom juif du prélat : Aaron Lustiger, ainsi que le font couramment «National Hebdo» et la plupart des journaux proches du Front national». Alexandre l’anar bras dessus bras dessous avec le chef d’extrême-droite ? On attend un vigoureux démenti.

David Ovitch15 La Lettre à Lulu N°15 Sept. 97

Ca vient de Wiki! Damned! Les lambertistes et la Seconde Guerre Mondiale : " février 1940: Pierre Boussel, alors soldat de deuxième classe, est arrêté avec seize militants se réclamant de la quatrième internationale. L'inculpation mentionne le chef d'accusation suivant : « infraction au décret du 1er septembre 1939 sur la publication de textes de nature à nuire au moral de l'armée et de la population ». Le rapport de police se termine ainsi «...se réclame ouvertement du marxisme-léninisme intégral, du défaitisme révolutionnaire et de l'antimilitarisme ». Il est condamné à trois ans de prison mais s'évade à la faveur de l'invasion allemande. Durant la guerre et sous l'occupation, les trotskistes sont emiettés, désorientés, perdus. Le principal dirigeant, Testu (Henri Molinier), ne « voit de solution que dans les organisations fascistes et staliniennes qui naîtront du triomphe du pacte germano-soviétique ». Testu préconise de poursuivre le travail d'entrisme, mais dorénavant dans les mouvements collaborationnistes. Une fraction clandestine pénètre le Rassemblement National Populaire de Marcel_Déat (Testu y prendra même la parole lors d'un meeting). En 1940-1941, Lambert, futur dirigeant de l'OCI, s'oppose à l'orientation de Testu sans toutefois quitter le parti. En 1943, Pierre Boussel dit Lambert est exclu avec sa compagne pour avoir tenté d'organiser des jeunes stagiaires pour le compte de l'opposition interne. Il demande alors son adhésion, en décembre 1943, à un autre groupe : le parti ouvrier internationaliste (POI) qui dévelope l'idée du défaitisme révolutionnaire quand d'autres choississent la résistance. « Derrière un soldat nazi se cache un travailleur allemand ! » explique la thèse de ralliement. Janvier 1944 : les groupes trotskistes s'unifient dans le Parti communiste internationaliste (PCI), section française de la quatrième internationale, dont l'organe est La Vérité, pour qui « le fascisme est le fruit naturel du capitalisme, et on ne peut le finir qu'en abattant le capitalisme ». Le PCI se démarque notamment en se prononcant contre l'union sacrée aussi bien extérieure (les Alliés et l'URSS) qu'intérieure (De Gaulle et le PCF). Cette attitude leur vaudra l'inimitié farouche du PCF qui les qualifie d'« hitléro-trotskistes ». 13-14 juillet 1952 : dissidence « lambertiste » (Pierre Boussel alias Lambert, Marcel Gibelin, Marcel Favre-Bleibtreu, Michel Lequenne, Michèle Mestre) du Parti communiste internationaliste (PCI) : création de l'Organisation communiste internationaliste (OCI), qui participera le 23 novembre 1953 à la création du Comité International de la Quatrième internationale (CI) " !!! Pour ce qui est de l'Union des Sociétés Bretonnes d'Ile-de-France présidée par Monsieur Le Lagadec, les liens avec le PCF sont évidents, il suffit d'aller sur leur site. Sur demande, une démonstration sera faite à partir des noms de militants, candidats, cadres et élus du PCF apparaissant sur ce site; ils ne s'en cachent nullement, c'est tout à leur honneur.

Bonjour à tous.

J'interviens dans le débat qui me semble un peu crispé.

1. A propos de "Bretagne-Ile-de-France" et de l'Union des Sociétés Bretonnes d'Ile-de-France présidée par Monsieur Le Lagadec, je confirme que les liens avec le PCF sont évidents, il suffit d'aller sur leur site. Les nécrologies des anciens combattants dl'Indochine d'Algérie y sont effectivement courantes, il y a une (et une seule, ce qui est peu) référence au Bataillon de Corée; on est bien loin de l'ambiance "Guerre Froide", c'est le moins qu'on puisse dire.

2. Quand Sammy Moreau répond au sujet de ces liens "Totalement grotesque", il devrait vérifier directement sur le site de l'Usbif (j'ai indiqué en gras quelques noms, il se trouve que je connais plus particulièrement deux des personnes citées, je croise régulièrement certaines autres dans des manifs, réunions politiques, syndicales, culturelles): "FÊTE DE L’HUMANITE Foule au stand des Bretons de l’Île de France durant trois jours Le nombre et la qualité des rencontres que nous faisons chaque année sur notre stand à la Fête de « L'Humanité » non seulement justifient pleinement que nous y soyons présents mais encore récompense le travail produit durant ces longues journées par nos équipes de bénévoles. (...) Au cœur des préoccupations des Bretons Les positions que nous affirmons tout au long de l'année au sujet des services publics, des transports, de la santé, de l'économie de la Bretagne... ont été souvent au cœur des discussions que nous avons eues durant ces journées. Quelques rencontres, particulièrement, nous ont permis d'aborder plus longuement ces problèmes. Avec Félix Leyzour, ancien député, maire de Callac et Gérard Lahellec, vice-président du conseil régional de Bretagne, (...) Christian Perron, le maire de Guémené-sur-Scorff, un des animateurs du collectif de défense du service public en Bretagne est venu accompagné d'une chanteuse, Anne-Marie Gloaguen. Celle-ci nous a chanté en Breton, sur un air de Ray Charles, les mésaventures d'une Bretonne à la recherche vaine de son bureau de poste ou de sa perception. Soutenu par notre président Jean Le Lagadec, Christian Perron nous a rappelé le combat des Bretons pour la défense de leur service public (voir la page 3 de notre numéro de juin). (...) Fait significatif il y avait dans chacun de ces stands au moins un participant à notre rencontre d'été à Hénon. En particulier Daniel Kerjean, au Morbihan et Albert Marzin au Finistère, nos collaborateurs. (...) Elus et artisans du journal Nous avaient aussi rejoints pour cette journée le docteur Jean-Yves Follezou, vice-président d'honneur de notre Union, Alfred Legros, maire-adjoint de Montfort-sur-Meu, André Danger, conseiller municipal de Ploufragan, Jean Touarin, notre rédacteur des pages des Côtes d'Armor, qui est aussi maire de Trémel, Daniel Kerjean, rédacteur des pages du Morbihan, ancien conseiller régional, Marie-Hélène et Albert Marzin, rédacteurs des pages Finistère, Jean-Marie Plonéis, auteur de la rubrique traitant de l'Onomastique, Claude Michel, secrétaire général de l'Institut C.G.T. d'Histoire sociale de la Bretagne venu dédicacer ses ouvrages. Le Conseil d'administration de l'Union était représenté, outre le président Jean Le Lagadec, par le vice-président Jean-Pierre Héno, le secrétaire général, Gabriel Delahaye, le secrétaire au folklore, Jean-Luc Caudal, aussi président de l'amicale de Champigny-sur-Marne, les membres du bureau Didier Parchemin et Pierre Poulichot, Rocher Beucherie, aussi président de l'amicale d'Aulnay-sous-Bois.

D'anciens membres du conseil d'administration, aujourd'hui résidents en Bretagne nous avaient rejoints : Job Evano, Raymond Evanno et Michel Morvan, venu avec l'actuel président de l'amicale de la RATP, Denis Souriment, ainsi que l’ancien secrétaire de l'Amicale de Champigny, Jean Hamoniaux, retraité de la RATP.

En passant à table, la parole fut donnée au président de la journée Patrick Le Hyaric. Après avoir salué les convives, il nous démontra qu'il était bien au courant des problèmes de la Bretagne. Il faut savoir qu'originairede Guémené-sur-Scorff où il fit sa scolarité primaire avant de fréquenter les lycées de Pontivy et de Lorient. Jean Le LAGADEC, Jean-Pierre BRARD, Anne-Marie IDRAC, Anicet Le PORS, Gabriel DELAHAYE

3. La référence aux "staliniens" pour désigner le P"C"F en 2005 vient le plus souvent des trotskistes, même si elle se fait apparemment plus rare chez ceux de la LCR

4. Les lambertistes ont soutenu en Algérie les messalistes du M.N.A., c'est un fait qui n'est contesté par personne, et qui est explicable.

5. Kobus n'a rien à voir dans ce film, par contre Bellounis me semble parfaitement clair...

6. "Opposer la vérité en Bretagne, le théâtre à Paris, le personnage en Bretagne, la personne à Paris, comme si tout ce qui sortait du monde des militants bretons était forcément faux, venant du complot tramé dans le dos des Bretons, par les jacobins, les lambertiens, les staliniens, les juifs, les francs=maçons... c'est tellement toujours pareil : même pensée, même combat, c'set bien ça et c'est dangereux, ça mérite qu'on se révolte." écrit Gaëlle qui n'a visiblement pas compris les "remarques pour initiés" .

7. "La Lettre à Lulu" est connue pour décaper à Nantes. Ceci dit, j'ai des doutes sur sur la rigueur du travail de Monsieur Bourseiller, sauf quand il cite des sources aisément vérifiables, comme «l’Anarcho-syndicaliste» ...

8. Pour ce qui est de l'attitude des trotskistes et du PCF , le "défaitisme révolutionnaire" et " l'antimilitarisme" me semblent, pendant la phase septembre 1939-juin 1940 , parfaitement conforme à la doctrine léniniste dont se réclament les uns et les autres. Par contre, la suite logique, pour moi, doit devenir la lutte de libération nationale menée par le parti révolutionnaire du prolétariat (analyse facile à faire après coup, bien sûr).

9. Là où ça dérape "grave", à mon avis, c'est quand "le principal dirigeant, Testu (Henri Molinier), ne « voit de solution que dans les organisations fascistes et staliniennes qui naîtront du triomphe du pacte germano-soviétique ». Testu préconise de poursuivre le travail d'entrisme, mais dorénavant dans les mouvements collaborationnistes. Une fraction clandestine pénètre le Rassemblement National Populaire de Marcel Déat (Testu y prendra même la parole lors d'un meeting)."

10. Le reste me semble conforme aux faits, à ce que j'en sais." En 1940-1941, Lambert, futur dirigeant de l'OCI, s'oppose à l'orientation de Testu sans toutefois quitter le parti. En 1943, Pierre Boussel dit Lambert est exclu avec sa compagne pour avoir tenté d'organiser des jeunes stagiaires pour le compte de l'opposition interne. Il demande alors son adhésion, en décembre 1943, à un autre groupe : le parti ouvrier internationaliste (POI) qui dévelope l'idée du défaitisme révolutionnaire quand d'autres choississent la résistance. « Derrière un soldat nazi se cache un travailleur allemand ! » explique la thèse de ralliement. Janvier 1944 : les groupes trotskistes s'unifient dans le Parti communiste internationaliste (PCI), section française de la quatrième internationale, dont l'organe est La Vérité, pour qui « le fascisme est le fruit naturel du capitalisme, et on ne peut le finir qu'en abattant le capitalisme ». (note: j'ai tous les numéros de "La Vérité" de la période en fac-simile, passionnant, quel courage dans une situation aussi dangereuse, même si je suis loin de partager les choix) Le PCI se démarque notamment en se prononcant contre l'union sacrée aussi bien extérieure (les Alliés et l'URSS) qu'intérieure (De Gaulle et le PCF). Cette attitude leur vaudra l'inimitié farouche du PCF qui les qualifie d'« hitléro-trotskistes ».

Bon, je résume mon propos: lien U.S.B.I.F.-"Bretagne-Ile-de-France-P.C.F." clair; lambertistes, M.N.A. clair ; Hébert-R.P.R.-F.N., à manier avec précaution; lambertistes-Seconde Guerre Mondiale, à creuser sur l'attitude de ceux qui deviendront les lambertistes. Je souhaite faire remarquer que je n'ai agressé personne et que je suis prudent dans mes affirmations .

Cordialement.

Claude Le Duigou


Et ajoutons les francs-maçons. D'ailleurs j'ai lu sur un forum que si elle passe toujours sur France culture, c'est grâce aux juifs (avec markovics, ce n'est pas étonnant).----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Rebonjour. Merci de ne pas faire d'amalgame entre les phrases ci-dessus et ma longue intervention qui les précèdent. Cordialement. Claude Le Duigou

Claude Le Duigou, c'est bien celui qui dirige la Commission (CARB)chargée de soutenir les poseurs de bombes de l'Armée révolutionnaire bretonne ? Et qui organise la "marche des libertés bretonnes " avec Joëlle Aubron d'Action directe ? Il renvoie plus haut sur des liens qui en disent long sur ses activités (je ne pense pas qu'ils soient faux puisqu'il les cite lui même et il y a des documents à l'appui) et il ajoute en plus : " si vous voulez en savoir plus sur ma modeste personne, allez voir sur google ". C'est donc à ça que sert Wikipédia, à permettre à des nationalistes de faire leur autopromotion ? Et à s'acharner sur un écrivain ? Les lambertistes, les communistes, les juifs, les francs-maçons, c'est bien ce que j'ai constaté plus haut : une vraie campagne de lynchage comme on en a déjà vu contre des écrivains (quand Pasternak a publié "le docteur Jivago", tous les littérateurs et les politicards se sont acharnés contre lui :il devait être trotskiste, lui aussi ! Tout est bon ! Gaëlle

___________________________________________________________________________________________ Réponse à Gaëlle.

Bonjour.

1. sur la C.A.R.B.: si nos activités ne vous plaisent pas, demandez au gouvernement ou à un tribunal de nous dissoudre: ils en ont le droit;

2. sur le fait que j'invite ceux qui le souhaitent (la recherche sur Google est un acte conscient et libre), c'était pour répondre à une information très partielle à mon sujet(et d'un intervenant qui ne signait pas, à part la référence IP);

3.Lambertistes et PCF: j'assume ce que j'ai écrit (en signalant que certaines choses sur les lambertistes méritent d'être vérifiées); pour ce qui est des juifs et des francs-maçons, relisez les deux phrases collées à la suite de mon texte et en-dessous de ma signature: je ne suis pas l'auteur de ces deux phrases.

4. Gaëlle est votre prénom, assumez donc en y ajoutant votre nom;

5. qu'avez-vous à dire sur le FOND de mon long texte?

6. parmi les personnalités marquantes de Rostrenen, vous m'excuserez de penser et d'écrire qu'il manque Olivier Perrin.

Cordialement.

Claude Le Duigou

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Bonjour.

Pour savoir qui écrit quoi sur cette page, il faut cliquer sur "Historique" en haut. Ca évitera de m'attribuer des opinions et des écrits qui ne sont pas les miens.

Cordialement.

Claude Le Duigou



Monsieur Sammy Moreau avait écrit:"Totalement grotesque. « Bretagne-Ile-de-France » est un journal qui touche les Bretons de Paris. Autant accuser le chanteur Bertrand Aubrée qui y tient la chronique du gallo d'être inféodé aux staliniens et, via les trotskistes lambertistes, au FLN !...De la part des nationalistes bretons toujours prêts à crier à l'amalgame, bel exemple de désinformation. Et, pour l'objectivité sur cette discussion, on repassera : ça ressemble plutôt à la meute lancée sur celle qui ose penser diféremment Sammy Moreau 7 décembre 2005 à 10:18 (CET)"


Sur le site de l'U.S.B.I.F., on trouve ceci: "Elus et artisans du journal Nous avaient aussi rejoints pour cette journée le docteur Jean-Yves Follezou (...)Jean Touarin, notre rédacteur des pages des Côtes d'Armor, qui est aussi maire de Trémel (...) Claude Michel, secrétaire général de l'Institut C.G.T. d'Histoire sociale de la Bretagne venu dédicacer ses ouvrages. (...) Jean Le Lagadec, par le vice-président Jean-Pierre Héno, le secrétaire général, Gabriel Delahaye

J'ai mis en italique les noms des personnes qui apparaissent une ou plusieurs fois dans "L'Humanité" ; pour Gabriel Delahaye, en janvier 2003, par exemple:

Le Web de l’Humanité: Franchise postale - Article paru le 4 ... Si la régionalisation est nécessaire, écrit Gabriel Delahaye, c’est à condition qu’elle soit synonyme de démocratie. " Telle une insulte... ...


• Franchise postale Tribune libre | Sam 4 jan 2003 nécessaire, écrit Gabriel Delahaye ... Gabriel Delahaye Pertinence : 100 % http://www.humanite.fr/journal/2003-01-04/2003-01-04-217367

et chez Pierrick Le Guennec...

http://membres.lycos.fr/leguenne/documents/luzel.htm


Cordialement. Claude Le Duigou

Rappels: en gras, ceux que je connais pour être militants du PCF

(...) Daniel Kerjean, rédacteur des pages du Morbihan, ancien conseiller régional, (...) Jean-Marie Plonéis, auteur de la rubrique traitant de l'Onomastique, (...) le président Jean Le Lagadec, (...) Félix Leyzour, ancien député, maire de Callac et Gérard Lahellec, vice-président du conseil régional de Bretagne, (...) Christian Perron, le maire de Guémené-sur-Scorff (...) une chanteuse, Anne-Marie Gloaguen(...) président de la journée Patrick Le Hyaric(...)Jean-Pierre BRARD(...)Anicet Le PORS (passage supprimé: attaque personnelle et réponse)

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